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AgenceEMC
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Date d'inscription : 15/04/2013
11072013
La première enseigne de magasins éphémères, poursuit son développement et débarque à Dijon. Désormais, Chronostock est présent dans 151 villes de France et de Belgique. 
Prolongeant une histoire lancée en mars 2008 à Saint-Etienne, Chronostock, la première enseigne hexagonale de magasins éphémères, ouvre le vendredi 19 juillet 2013, son premier point de vente à Dijon. Fidèles à la stratégie qu’ils ont mise en place depuis cinq ans, Edouard de Jandin et Bruno Poncet, les créateurs de l’enseigne, ont choisi d’implanter le concept au cœur de la ville en proposant sur 140 m² des produits de grandes marques à petits prix.
 
Chronostock à Dijon
La vente débutera vendredi 19 juillet prochain et s’achèvera le samedi 15 février 2014, autour du thème du petit électroménager et des accessoires de cuisine. Le point de vente de 140 m² est situé dans le centre-ville de Dijon, 40 rue de la Liberté. Il sera ouvert en non stop, du lundi au samedi et de 10h à 19h.
Comme l’explique Bruno Poncet : « Chaque semaine, nous recevrons un nouvel arrivage  et comme le veut le concept Chronostock, il s‘agira uniquement de produits de marques, liés à différents univers autour de la cuisine et de la décoration : arts de la table, cuisson, petit électroménager, décoration… vendus à prix cassés de 20 à 70% moins chers que dans le commerce traditionnel. »
Bruno Poncet et Edouard de Jandin surfent sur le succès à Dijon, et développent leur concept : « Pour nous accompagner dans cette aventure, nous avons créé 3 emplois afin d’animer le magasin pendant toute la durée de la vente ».
Cette nouvelle implantation porte ainsi à 302 le nombre de magasins déjà ouverts. Car c’est bien d’un véritable phénomène de société qu’il s’agit. Avec le développement du e-commerce et des sites de ventes privées, les consommateurs ont pris l’habitude de dénicher des produits de marque à prix sacrifié, quelle que soit la période de l’année. Une concurrence à laquelle le commerce traditionnel de centre-ville n’était pas préparée, puisqu’il doit se contenter de périodes de soldes, très précisément encadrées dans le temps.
 
Un concept novateur
Avec le concept des magasins éphémères, Chronostock a trouvé la parade et redonne vie, pendant 1 à 6 mois selon les cas, à des sites commerciaux urbains en quête d’un nouvel élan. Dans ces magasins, dont la surface commerciale moyenne est de l’ordre de 100 m², Chronostock propose en « vente flash » des articles 20 à 70% moins chers que dans le commerce traditionnel.
Aujourd’hui, Chronostock souhaite développer son concept en testant de nouvelles thématiques de vente. Comme l’explique Bruno Poncet, « Maintenant que nous avons un savoir-faire reconnu dans la gestion des ventes événementielles, nous voulons ouvrir le concept à d’autres thématiques comme le textile, l’enfant, le jardin… . En effet, après avoir éprouvé le concept autour du monde du petit électroménager et des accessoires de cuisine, l’objectif est de nous positionner sur  de nouvelles thématiques de ventes en fonction des attentes des consommateurs  mais également  des opportunités de déstockage que nous détectons.» L’offre commerciale de Chronostock se caractérise donc non seulement par son incomparable positionnement en termes de prix, mais aussi par sa formidable diversité.
Car au cœur du succès de l’enseigne, se trouve un concept savamment étudié basé sur la réactivité et sur la chasse aux surcoûts inutiles. Ainsi, aucun investissement n’est engagé pour aménager les locaux commerciaux dans lesquels les ventes sont organisées. Il faut seulement 5 jours, à une équipe de trois personnes, pour installer le magasin et présenter le stock et à peine 2 autres jours pour vider les lieux, une fois la vente achevée. Les produits sont présentés sur des tables ou sur des palettes et le client ne paie donc rien d’autre que son produit.
Chronostock communique via son site Internet et une newsletter envoyée à ses abonnés, qui ont pour vocation d’informer l’internaute de toutes les ouvertures en cours et à venir et de localiser en temps réel sur une carte de France, les magasins éphémères.
 
Un modèle économique efficace
Pour alimenter les magasins éphémères, Edouard de Jandin et Bruno Poncet négocient des contrats avec de grands fabricants, des grossistes et des distributeurs, qui cherchent par exemple, à écouler leurs invendus ou les produits dont le packaging est amené à changer.
Forts de la réussite obtenue en France, où désormais 107 villes ont été conquises, les créateurs de Chronostock ont fait leurs premiers pas à l’international, en novembre 2009, en Belgique. Après avoir signé une Master Franchise avec Jean-Luc Roisin, un professionnel local expérimenté et bien implanté sur son territoire, ils ont en effet ouvert un premier magasin éphémère à Louvain, à une vingtaine de kilomètres à l’est de Bruxelles. A ce jour, 94 magasins dans 44 villes de Belgique ont été ouverts. Une nouvelle étape de cette croissance à l’internationale a été franchie en 2011 avec l’ouverture de plusieurs magasins en Flandre.
Afin de soutenir cette croissance, les deux fondateurs finalisent en septembre 2010 un tour de table de 2,5 millions d’euros auprès d’Idinvest. Désormais accompagné de ce partenaire qui prend place dans son capital, l’opérateur de magasins éphémères envisage une croissance exponentielle au cours des prochaines années. « Nous prévoyons l’ouverture de plus de 80 magasins éphémères en 2013 », précise Edouard de Jandin, Directeur Général qui « vise prioritairement les agglomérations de plus de 150 000 habitants, sans négliger pour autant celles qui abritent plus de 50 000 habitants ».
 
Une aventure humaine
Lyonnais de naissance, Edouard de Jandin et Bruno Poncet ont fait le pari de mener à bien cette aventure commerciale en la fondant sur des valeurs d’amitié et de complémentarité. Respectivement âgés de 40 et 39 ans, ils ont tous deux évolué dans le milieu du discount pendant quelques années, développant chacun un savoir-faire précis en matière d’achat et d’immobilier commercial.
Au terme de leur première année d’activité, les magasins éphémères, qui ont vu le jour en 2008 à Lyon et dans sa banlieue ont réalisé un chiffre d’affaires de 1,4 million d’euros. En 2012, celui-ci s’est établi à 12 millions d’euros.
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