LYFtvNews
LYFtvNews
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.




LYFtv-Economie
LYFtv-Economie
Nombre de messages : 245
Age : 60
Date d'inscription : 23/04/2012
http://www.economie.lyftv.com
10022017
UN AN APRÈS LA LOI, COMERSO DRESSE UN BILAN POSITIF
Et si la loi anti-gaspillage permettait de réconcilier pour la première fois dans l'histoire, la logique économique et les préoccupations humanitaires, pour donner naissance à une nouvelle catégorie : les entreprises engagées ? Dans un climat de crise et de baisse de confiance généralisée, elle permettrait aux entreprises de transformer leur image et de regagner la confiance des consommateurs, tout en se positionnant en allié des gouvernements dans la résolution des problématiques de précarité.
Un bilan positif pour la la loi anti-gaspillage alimentaire Distri10
Le 11 février 2016, la France promulguait une loi obligeant les entreprises à donner leurs invendus alimentaires aux associations caritatives de leur choix. «Celle-ci avait pour objectif d'encadrer et de favoriser la récupération des denrées alimentaires au bénéfice des associations.
 
Pour y voir plus clair sur les économies réalisables grâce à cette loi, l'ADEME [url=#_edn1][/url] a réalisé il y a deux mois une expérimentation avec Comerso et une dizaine de magasins et d'enseignes. Celle-ci a démontré qu'à travers des actions parfois simples et avec des coûts peu engageants, l'ensemble de la grande distribution pourrait réduire son gaspillage alimentaire et économiser plus de 700 millions d'euros par an et offrir des repas aux plus grands nombre. Les magasins ont réussi à réduire leur gaspillage alimentaire de 23% pendant ces 3 mois d'expérimentation ce qui offre de nouvelles perspectives dans le projet de l'UE de réduire de moitié les déchets d'ici 2025.
 
Quand les intérêts des entreprises coïncident avec ceux des pouvoirs publics et des associations en matière de lutte contre la précarité et la malnutrition, il y a de belles raisons d'espérer.
 
 
2,5 millions de repas distribués en 2016:
Comerso se démène depuis sa création en 2013 pour proposer un cercle vertueux entre les entreprises et les associations en les accompagnant dans la logistique de ces invendus.
 
En prenant en charge tout ce transport-logistique, COMERSO permet ainsi aux entreprises et aux associations d'améliorer et de sécuriser leurs approvisionnements, en se déchargeant d'une logistique lourde et concentrer leurs efforts au service des plus fragiles et de la lutte contre le gaspillage. 
 
En 2016, la loi a permis d'accélérer la prise de conscience pour les enseignes que des outils efficaces existaient.
 
Et c'est donc un bilan 2016 très positif pour Comerso qui a déjà signé plus de 150 magasins
1500 tonnes de marchandises ont été collectées dans toutes les enseignes de  distribution alimentaires (Intermarché, Système U, Casino, Carrefour, Leclerc...)
2,5 millions de repas ont pu être ainsi distribués
80 associations sont livrées quotidiennement dans toute la France
 
Comerso ne s'arrête pas la :
Le moral des Français n'a jamais été aussi bas. C'est le dernier baromètre Ifop [url=#_edn2][ii][/url] qui l'affirme, avec seulement 28% des français qui, en pensant à l'avenir, se déclarent optimistes pour eux ou leurs enfants. Dans ce climat général de défiance, le débat sur le gaspillage alimentaire a favorisé une prise de conscience sociétale. La loi a ouvert une autre voie que celle de la destruction pure et simple des marchandises, catastrophique pour l'image des entreprises de la grande distribution. Le dispositif réglementaire a donné à ces dernières des outils concrets pour gérer et valoriser leurs invendus, tout en les positionnant comme un partenaire clé des associations et des pouvoirs publics, en matière de lutte contre la précarité.
 
Si l'alimentaire est en train de faire sa révolution dans ce domaine, le don reste encore marginal dans d'autres secteurs, comme celui des biens de consommation durables. Les produits étant non périssables, ce secteur est culturellement habitués à traiter avec les canaux habituels de valorisation des invendus (soldes et promotions, magasins d'usine, centres de marques, site internet). Les invendus résiduels, quant à eux, sont écoulés par d'autres canaux (ventes privées, soldeurs, grossistes en déstockage). Les surplus sont donnés (2% des invendus seulement), détruits, recyclés ou stockés. Ce secteur détruit cinq fois plus qu'il ne donne. Or, une grande partie des produits détruits sont encore d'une qualité suffisante pour être donnés ou réutilisés. L'Agence du Don en Nature a estimé que chaque année 530 millions d'euros de ces marchandises sont jetées [url=#_edn3][iii][/url], qu'il s'agisse de produits d'hygiène, de vêtements, de chaussures ou autres. Ceux-ci s'avéreraient pourtant fort utiles aux populations en situation de précarité. Grâce à la loi, ces entreprises ont l'opportunité de changer cet état de fait et de s'engager dans la bataille de l'anti-gaspillage. Certaines d'entre elles commencent d'ailleurs à s'y intéresser de très près.
 
Ainsi, début 2017, Comerso a ouvert son service à la restauration collective, aux industries Agro-Alimentaires et aux Coopératives agricoles et compte bien s'attaquer au don sous toutes ses formes puisqu'il a déjà collectés 250 tonnes de produits non alimentaire pour les re-dispatcher aux associations.
 
En 2017, Comerso souhaite répondre aux attentes d'une nouvelle génération de clients
La nouvelle génération de consomm'acteurs est en attente de transparence et de respect de l'environnement. Elle souhaite un engagement accru des entreprises, en interne, mais aussi vis-à-vis de de la gestion du cycle de vie des produits, depuis leur conception jusqu'à leur fin de vie et leur recyclage. L'heure est à la société de partage et à l'invention de nouveaux modèles économiques directs qui viennent rendre la vieille économie obsolète.
 
Avec cette loi anti-gaspillage, les acteurs économiques traditionnels ont une opportunité unique de se projeter dans le futur, en regagnant la confiance et l'amour des consommateurs. Elles ont de moins en moins le choix : elles doivent devenir des entreprises engagées. 
 
La France est le premier pays au monde à s'être doté d'une loi contre le gaspillage alimentaire et Le marché de la gestion des invendus se développe de plus en plus :  d'ici quelques années tous les produits auront une seconde vie et Comerso espère bien participer largement à cette transformation.
 
A PROPOS DE COMERSO
COMERSO, est une société qui propose un ensemble d'outils permettant la collecte des denrées invendues auprès des enseignes alimentaires, le transport des produits en toute sécurité dans des camions réfrigérés et la distribution des dons aux associations. La société s'appuie sur les toutes dernières technologies disponibles pour rationnaliser chaque étape de la collecte. Grâce à une plate-forme numérique innovante et la technologie RFID, elle assure une traçabilité des flux de marchandise. Tous les produits sont ainsi tracés et les magasins, transporteurs, associations savent en temps réel, où est la marchandise, à quelle température, qui l'a reçu, en quelle quantité et à quelle heure ... Ainsi, Comerso permet de garantir les meilleures conditions de redistribution dans des délais très courts grâce à des partenariats avec toutes les associations locales des régions qu'elle couvre. Et pour aller au bout de la démarche environnementale et sociale, COMERSO distribue les marchandises avec le réseau de réinsertion Envie déjà implanté sur toute la France.
Aujourd'hui, Comerso compte plus de 150 magasins sur 23 départements. L'entreprise à ouvert en janvier 2017 son service à la restauration collective, aux industries Agro-Alimentaires et aux Coopératives agricoles.
 
Pour plus de renseignements, retrouvez Comerso  via :
Le site : http://comerso.fr


http://www.ademe.fr/distributeurs-engages-contre-gaspillage-alimentaire
Partager cet article sur :reddit

Commentaires

Aucun commentaire.

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum