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31 résultats trouvés pour logement

par LYFtv-Paris
le Mer 14 Fév 2024, 9:58 pm
 
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Sports, JO, Handisports

Sujet: JO 2024 à Paris : A quel prix louer (ou sous louer) votre appartement ?
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JO 2024 à Paris : A quel prix louer (ou sous louer) votre appartement ?

La France attend 15 millions de touristes cet été pour les Jeux Olympiques. Aux yeux de beaucoup de Français, et surtout des parisiens, les JO semblent l'occasion de louer son appartement à un tarif extraordinaire, du fait de la demande. Qu'en est-il exactement ? Jusqu'où peut-on placer la barre ? En fonction de quels critères ?
PAP, le site de Particuliers à Particuliers, propose un dossier très complet sur le sujet :
On parle de Paris pendant cette période, mais de nombreuses villes sont concernées. Dix villes majeures au total vont accueillir les JO :
Paris ;
Saint-Denis ;
Lille ;
Nice ;
Nantes ;
Marseille ;
Bordeaux ;
Châteauroux ;
Saint Étienne ;
Teahupoo (Tahiti), pour le surf.
Attention ! Paris n'est pas la seule ville a avoir adopté un réglement de location saisonnière : de nombreuses villes appliquent une réglementation spéciale. Voici la liste :
  • Paris
  • Versailles
  • Établissement Public Territoire Paris Ouest La Défense
  • Grand Paris Seine Ouest
  • Boucle Nord de Seine
  • Marseille
  • Aix-en-Provence
  • Lille
  • Nice
  • Cannes
  • Bordeaux
  • Lyon
  • Toulouse
  • Montpellier
  • Nantes
  • Strasbourg
  • Communauté Pays Basque
  • Annecy
  • Saint-Paul-de-Vence
  • Sète
  • Roquebrune-Cap-Martin
  • La Baule

par LYFtv-LYon
le Mer 14 Fév 2024, 3:44 pm
 
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Lyon actualités

Sujet: Crise du logement : 49 projets soutenus par Lyon Métropole
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Crise du logement : 49 projets soutenus par Lyon Métropole

La Métropole de Lyon a activé un plan d’urgence de 10M€ complémentaires au budget habitat (518 M€ pour le mandat 2020-2026), afin de permettre la sortie des opérations immobilières dans un contexte national de crise du logement. Quelques mois après son activation, la mesure porte ses premiers fruits avec une cinquantaine d’opérations soutenues.
L’objectif du plan d’urgence métropolitain est de relancer à court terme la production de logements neufs avec le rachat d’une part de logements libres par les bailleurs sociaux, la Foncière Solidaire du Grand Lyon ou les opérateurs du logement locatif intermédiaire. Cette intervention, financée en partie par la Métropole de Lyon (pour les BRS et les logements sociaux de type PLS), permet de débloquer les opérations à deux stades :
- en phase amont, avant démarrage des travaux, lorsque les promoteurs n’arrivent pas à commercialiser 50% de leur opération, celle-ci se trouvant bloquée,

- en phase aval, lorsque des logements demeurent invendus sur des opérations démarrées.


Quelques mois après sa mise en œuvre, le plan d’urgence métropolitain a rapidement porté ses fruits avec une centaine d’opérations financées ou en cours d’instruction, soit près de 5500 logements concernés au total. 49 opérations sont d’ores et déjà validées concernant 3020 logements au total dont 833 logements sociaux : 29 opérations ont été sauvées et vont pouvoir démarrer en travaux et pour 20 opérations, la commercialisation a pu être finalisée. 43 opérations sont en cours d’étude, soit près de 2300 logements dont 550 logements sociaux.
Au niveau local, la Métropole de Lyon coordonne son plan d’urgence pour le logement et l’immobilier avec les interventions de la Caisse des Dépôts et Consignations Habitat (CDC Habitat) et Action Logement pour soutenir les opérations en difficulté, en lien étroit avec l’État.
« Nous avons besoin de construire plus de logements, en accession libre, comme de logements sociaux ou en bail réel solidaire, qui sont de véritables remparts face à la crise du logement. Une cinquantaine d’opérations sont soutenues par notre plan d’urgence, représentant 3000 nouveaux logements, et 43 sont en cours d’étude. Le plan d’urgence est aussi un outil de soutien pour le secteur économique de la promotion immobilière et du BTP : ce sont des emplois sauvés et des carnets de commande qui vont pouvoir se remplir. » 
Bruno Bernard,
Président de la Métropole de Lyon  
«  Le plan d’urgence a un effet levier au service de la sortie des logements libres, grâce au logement social qui joue un rôle contracyclique. Ces premiers résultats témoignent de la pertinence de l’intervention métropolitaine, coconstruite avec la Fédération des promoteurs immobiliers et les bailleurs sociaux, en relation étroite avec les Communes concernées. Le plan d’urgence est une mesure exceptionnelle qui ne doit cependant pas pallier une politique gouvernementale de long terme. Il nous faut une politique en faveur du logement social et répondant aux besoins des classes populaires et des classes moyennes, les premières impactées par la crise actuelle. »
Renaud Payre
Vice-Président de la Métropole de Lyon en charge de l’habitat, du logement social et de la politique de la ville
par LYFtv-LYon
le Mar 13 Fév 2024, 10:54 pm
 
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Lyon actualités

Sujet: Evolution du DPE petites surfaces : un simulateur en ligne dès février 2024
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Evolution du DPE petites surfaces : un simulateur en ligne dès février 2024

Le gouvernement annonce une évolution des diagnostics de performance énergétique avec des nouveaux seuils pour DPE petites surfaces. Pour ceux qui ont réalisé un DPE récemment, un simulateur est en ligne. Il donnera lieu à une attestation en juillet 2024. Il n'y a donc pas lieu de refaire le diagnostic.
Les professionnels de l'immobilier ont fait valoir que ces logements sont statistiquement pénalisés pour des motifs objectifs et documentés liés au calcul des indicateurs par unité de surface. A ce titre, un arrêté modifiant les seuils des étiquettes DPE pour les logements d’une surface de moins de 40m² est en cours de consultation. Il entrera en vigueur à partir du 1er juillet 2024.
Si votre logement présente une surface inférieure à 40m², son étiquette DPE est susceptible d’être impactée par cet arrêté :


  • L’arrêté en consultation ne modifie pas la méthode de calcul du DPE, il n’est donc pas nécessaire de réaliser un nouveau diagnostic ;


  • Vous pouvez simuler ci-dessous, à partir du numéro de votre DPE actuel, l’étiquette de votre logement sur la base de la modification proposée au sein du projet d’arrêté.



Au 1er juillet 2024, cette page vous permettra de générer une attestation permettant de justifier de la modification de l’étiquette DPE de votre logement. Cette attestation pourra être annexée au dossier de location ou de vente de votre logement afin de justifier de la performance de votre logement.
Pour plus d’information, consultez la FAQ.


Quels logements seront interdits à la location à partir de 2025 ?
À compter de 2025, le niveau de performance énergétique minimal sera régulièrement rehaussé pour qu’un logement puisse être qualifié de décent et ainsi être loué sans risque. Sont concernés :
la location vide ou meublée à usage de résidence principale du locataire ;
le bail mobilité ;
le bail « logement de fonction » ; il s'agit du logement loué en raison de l'exercice d'une fonction ou de l'occupation d'un emploi ;
la location consentie à un travailleur saisonnier.
Tous les logements classés G interdits à la location dès 2025

À partir du 1er janvier 2025tous les logements classés G (environ 600 000 logements) seront interdits à la location car leur performance énergétique sera devenue insuffisante. À cette date, pour être mis en location, il faudra donc que le logement soit au moins classé F.

Tous les appartements classés F interdits à la location dès 2028

À partir du 1er janvier 2028, en plus des logements classés G, tous les logements classés F (environ 1 200 000 logements) seront interdits à la location. À cette date, pour être mis en location, il faudra donc que le logement soit au moins classé E. Si le calendrier prévu par la loi Climat est respecté, c'est donc l'ensemble des « passoires énergétiques » qui aura été éradiqué en 2028, soit environ 17 % du parc de logement actuel. L'objectif est pour le moins ambitieux !

Tous les logements avec la classe énergétique E interdits à la location dès 2034

À compter du 1er janvier 2034, en plus des logements classés F et G, tous les logements classés E (environ 2 600 000 logements) seront interdits à la location. A cette date, le niveau de performance d’un logement décent sera donc compris entre la classe A et la classe D.

Ces échéances découlent des lois « énergie-climat » de 2019 et « climat et résilience » de 2021. Le maintien, l'accélération ou le report de tout ou partie de ces échéances dépendra des orientations prises par le Gouvernement, du niveau des aides aux travaux qui existeront à l'avenir et de la disponibilité d'une main-d’œuvre suffisante pour réaliser les travaux de rénovation énergétique. 

La durée de validité du DPE après la réforme de 2024

Il n'est à ce jour pas question de modifier la durée de validité du DPE qui restera donc certainement de dix ans. Enfin, jusqu'à une prochaine réforme... En revanche, les DPE antérieurs à la réforme (date prévisionnelle au 1er juillet 2024) devront être corrigés, gratuitement via le simulateur de l'Ademe, soit pour avoir un meilleur classement, soit pour rassurer acheteurs et locataires, soit enfin pour savoir à quoi s'en tenir quant à ses propres obligations de travaux.

Quelle est l'importance du DPE en 2024 ?

Qu'il s'agisse de la vente ou de la location d'un logement, le diagnostic de performance énergétique joue en 2024 un rôle important sur le marché immobilier.

Le DPE est à prendre en compte pour fixer le prix de vente

Si le DPE est un des éléments de la fixation du prix, son résultat n'interdit jamais de vendre.

Le DPE a une incidence sur le prix de vente d'un logement

Le diagnostic de performance énergétique a d'ores et déjà une influence sur le prix de vente d'un logement. En effet l'importance de la « valeur verte » d'un logement est grandissante du fait d'une part de la prise de conscience de l'impératif de la rénovation énergétique et d'autre part de son coût et de sa complexité. Le résultat du DPE est donc logiquement et légitimement pris en compte par le candidat acquéreur pour fixer son prix et formuler son offre d'achat. Ainsi, un appartement classé A ou B se vend en moyenne 20 % plus cher par rapport au prix d'un logement moyennement classé alors que la décote d'un appartement énergivore est de 11 %. Une maison dont le DPE est A ou B a un prix en moyenne de 15 % supérieur tandis que la décote d'une maison très mal isolée atteint 21 %.

Le classement d'un logement résulte du diagnostic de performance énergétique (DPE)

Le DPE classe les logements par niveau de performance décroissant, en fonction de leur niveau de performance énergétique et de leur performance en matière d’émissions de gaz à effet de serre. Ce niveau de performance est exprimé en kilowattheures d’énergie primaire par mètre carré et par an, s’agissant de la consommation énergétique, et en kilogramme de dioxyde de carbone par mètre carré et par an, s’agissant des émissions de gaz à effet de serre induites. 
* La classification de A à G de la performance énergétique du logement est définie selon la consommation totale d'énergie et la quantité d'émissions de gaz à effet de serre. Pour connaître les seuils de chaque classe du DPE (en kWh/m²/an et en kg CO2/m²/an), il faut consulter l'annexe 5 de l'arrêté du 31 mars 2021 relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments ou parties de bâtiments à usage d’habitation en France métropolitaine. La méthode de calcul du DPE, dite "3CL-DPE 2021" est fixée par l'arrêté du 8 octobre 2021 modifiant la méthode de calcul et les modalités d’établissement du diagnostic de performance énergétique.
par LYFtv-Politique
le Mar 06 Fév 2024, 8:10 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Performance énergétique : les géomètres experts "rassurés" par le gouvernement Attal
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Performance énergétique : les géomètres experts "rassurés" par le gouvernement Attal

Sur le Diagnostique de Performance Energétiqueappliqué aux petites surfaces, l’Ordre des géomètres-experts salue la proposition du Gouvernement. L’annonce de la simplification du DPE, et en particulier de la refonte du calcul pour les petites surfaces, par le Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires a fait réagir l’ensemble des acteurs de la filière du diagnostic immobilier. 
En juin 2023, déjà, l’Ordre des géomètres-experts identifiait cet enjeu à l’occasion de son Grand Débat consacré au DPE. À l’époque, la profession avait proposé d’amender la Loi Climat Résilience pour autoriser le Gouvernement à déroger au nouveau DPE par voie réglementaire, soit en excluant les logements inférieurs à une certaine surface du dispositif, soit en adaptant le calcul de la performance énergétique aux spécificités de ces petits logements.
« Mi-février, j’annoncerai une simplification du DPE qui permettra de conserver l’ambition du calendrier initial tout en fiabilisant le dispositif pour les petites surfaces et en actant des mesures de flexibilité qui permettront aux propriétaires et aux locataires d’aborder la date du 1er janvier 2025 avec plus de confiance », c’est par ces mots que Christophe Béchu a annoncé, ce 1er février, la volonté du Gouvernement de réformer une nouvelle fois le mode de calcul du DPE. 
Le 28 juin dernier, les géomètres-experts s’étaient penchés sur ce sujet à l’occasion de leur Grand Débat « Le nouveau DPE va-t-il provoquer l’effondrement du marché immobilier ? » auquel avait participé la Députée Marjolaine Meynier-Millefert et Robin Rivaton, CEO de Stonal et spécialiste de l’immobilier.

Les géomètres-experts acteurs de la filière du diagnostic immobilier
Garants du cadre de vie des Français, les géomètres-experts rappelaient alors qu’ils s’étaient positionnés sur les enjeux de diagnostic immobilier dès la mise en place des obligations de diagnostic plomb en 1998 puis amiante en 2006. « Les géomètres-experts possèdent les compétences techniques et juridiques en pathologie du bâtiment pour mener à bien ces missions », comme le soulignait Xavier Prigent, Vice-Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, « Il est donc logique de contribuer par notre expertise et notre savoir-faire aux débats liés au DPE aujourd’hui ».
L’inadaptation du nouveau DPE aux logements de petites surfaces, type studio, inférieures à 40 ou 30 m2, avait notamment émergé lors du débat.

Les petites surfaces condamnées de facto par le nouveau DPE ? 
En effet, en rapportant le critère de décence à l’énergie finale par mètre carré de surface habitable et par an, le nouveau DPE condamne de facto les petites surfaces d’après les géomètres-experts. «Même en ayant réalisé des opérations lourdes sur l’enveloppe du bâtiment, avec notamment l’isolation des sols, de la toiture et des façades, ces biens restent qualifiés au regard des méthodes de calcul du nouveau DPE comme peu performants sur le plan énergétique », avait ainsi alerté Michel Greuzat, géomètre-expert en Seine-et-Marne, « Le nouveau DPE entraîne un impact sur deux facteurs du logement : le ballon d’eau chaude et le chauffage électrique. La seule solution serait donc de les remplacer par un ballon thermodynamique et une pompe à chaleur, et dans un logement de petite surface ce n’est techniquement pas possible ».
Une réforme du mode de calcul du DPE nécessaire 
Pour éviter que les studios et les petits appartements sortent massivement du stock locatif, alors même que les besoins sur ce type d’habitation sont de plus en plus croissants, Xavier Prigent, le Vice-président du Conseil supérieur de l'Ordre des géomètres-experts, avait notamment proposé à Marjolaine Meynier-Millefert d’amender la Loi Climat Résilience pour autoriser le Gouvernement à déroger au nouveau DPE par voie réglementaire, soit en excluant les logements inférieurs à une certaine surface du dispositif, soit en adaptant le calcul de la performance énergétique aux spécificités de ces petits logements.
C’est pourquoi l’Ordre des géomètres-experts salue l’annonce du Gouvernement en faveur d’une réforme nécessaire du mode de calcul du DPE pour les petites surfaces. La profession se tient à sa disposition pour contribuer tant aux échanges sur ce sujet d’envergure nationale qu’à la préservation du cadre de vie des Français, dont elle est le garant.


Grand Débat de l'Ordre des géomètres-experts : "Le nouveau DPE va-t-il provoquer l'effondrement du marché immobilier ?" (intervention de Michel Greuzat à partir de la 57'34'')
LES CHIFFRES CLÉS DE LA PROFESSION DE GÉOMÈTRE-EXPERT

1.874 géomètres-experts inscrits au tableau de l’Ordre



2.205 établissements répartis sur l’ensemble du territoire



Une filière de 10.000 emplois structurée essentiellement en PME

À PROPOS DE L’ORDRE DES GÉOMÈTRES-EXPERTS
Depuis 1946, l’Ordre des géomètres-experts est délégataire d’une mission de service public de régulation de la profession. Personne morale de droit privé créée par la loi du 7 mai 1946, l’OGE a pour vocation à représenter la profession auprès des pouvoirs publics, veille à la discipline, et s’assure de la qualité de service fourni aux consommateurs.
Il est le garant du respect de la déontologie et des règles de l’art et agit, à ce titre, en tant qu’autorité indépendante. Depuis sa création, l’institution ordinale a évolué pour devenir une véritable instance de management stratégique de la profession. 
par LYFtv-Loisirs
le Mar 23 Jan 2024, 4:13 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Literie : la location de matelas peut elle se généraliser ?
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Literie : la location de matelas peut elle se généraliser ?

Alors que des grands magasins comme Boulanger annoncent la possibilité de location de gros élecroménager, la société Maliterie annonce la généralisation de la location avec un taux de 0% sur ses matelas, sommiers et fauteuils de relaxation. Face à l’inflation et à l’évolution des modes de consommation qui tend à plébisciter plutôt l’usage que la propriété, le fabricant français Maliterie propose même des fauteuils et canapés convertibles !
69% des Français se disent intéressés par la location longue durée d’équipements (étude OpinionWay pour SOFINCO – juillet 2021). Si celle-ci reste minoritaire sur le marché du mobilier en général (ex. : 18% des canapés), la location s’inscrit dans un mouvement de fond qui correspond à une nouvelle façon de consommer, surtout par les jeunes générations.
Dès 2019, Maliterie avait lancé une expérimentation sur un matelas d’entrée de gamme, avec une durée courte (24 ou 36 mois) destiné à séduire en priorité les jeunes.
La proposition est aujourd’hui renforcée. C’est désormais l’ensemble de la gamme du fabricant - matelas, sommiers (fixes ou électriques), fauteuils et canapés de relaxation – qui est concernée (pour une valeur d’achat minimum de 1000€).
Le contrat « Sérénité Plus » de Maliterie est basé sur une offre de location avec un taux d’intérêt à 0% pour le client (car pris en charge par Maliterie, en partenariat avec Sofinco) et un loyer fixe pendant toute la durée de la location de 5 ans (60 loyers).
Exemple : pour un matelas à 1000€ - 1e mensualité : 50€, les 59 suivantes : 16,10€. (soit 1000 € sans intérêt sur cinq ans)
Le contrat inclut l’installation et la livraison premium du produit, la garantie étendue (5 ou 10 ans, 100 nuits d’essai sur les matelas), ainsi qu’un kit annuel d’entretien du matelas ou du fauteuil.
A son terme, le consommateur pourra choisir d’acheter le produit pour un montant symbolique équivalent à 1% du prix de vente initial, d’opter pour une nouvelle location ou d’arrêter la relation. Les matelas, sommiers et fauteuils repris sont alors recyclés. « La location est particulièrement adaptée aux personnes qui ne veulent ou ne peuvent pas faire l’avance de trésorerie, à celles qui envisagent des changements rapides dans leur situation (déménagement, cellule familiale, etc.) ou encore qui renouvellent régulièrement leur literie (idéalement tous les 5 ans). Elle permet de maîtriser son budget tout en ayant accès à un produit et des services de qualité » explique le fabricant.
Déjà en place dans certains de ses magasins Maliterie depuis quelques mois, la location y représente jusqu’à 20% de l’activité.

A propos du Groupe Maliterie
Le Groupe Maliterie est un des fabricants historiques de literie (depuis 1945, usine près du Mans) et de sièges de relaxation (depuis 1905, usine Chaillard en Haute-Saône, près de Besançon) en France. Il propose une gamme complète de matelas, sommiers et accessoires literie, ainsi que de fauteuils et canapés, fixes ou relaxation, convertibles ou non. La majorité de ses produits reçoit les certifications du secteur (Belle Literie, Belle Literie Excellence, NF Ameublement et CTB Literie). Il est également leader sur le segment des lits électriques en France. Longtemps sous-traitant pour de grandes marques, Maliterie maîtrise entièrement sa distribution depuis 2007 au travers d’un réseau de 80 magasins détenus en propre sur toute la France.
CA consolidé : 40M€ - Effectif : 250
Dirigeants : Stéphane Comptour et Laurent Crepin
par LYFtv-LYon
le Sam 06 Jan 2024, 11:17 am
 
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Lyon actualités

Sujet: Logement social à Lyon : la préfète punit les communes qui ne respectent pas les quotas
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Logement social à Lyon : la préfète punit les communes qui ne respectent pas les quotas

Alors que la crise du logement frappe rudement notre pays, impactant de manière directe la production de logement social sur le territoire, la Métropole de Lyon salue la décision de Fabienne Buccio, préfète du Rhône, de retirer la délivrance des permis de construire aux communes qui ne respectent pas la loi SRU en matière de production de logements sociaux. La loi du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et renouvellement urbain, dite loi SRU, impose aux communes de plus de 3500 habitants de la métropole de Lyon de disposer d’une part minimum de 25% de logements sociaux. 
#Lyon #Politique #Logement #Métropole
 La Métropole de Lyon salue la décision de la préfète du Rhône 
Cette loi est partiellement respectée sur le territoire de la métropole puisque 28 communes, dites SRU, ne disposent pas de ce taux minimum de logement social et s’acquittent donc d’une pénalité annuelle proportionnelle au nombre de logements manquants.
Tous les 3 ans, l’État impose aux communes SRU des objectifs de production de logements sociaux pour parvenir à atteindre la part de 25%. Certaines communes n’ont pas respecté les objectifs de la dernière période triennale 2020-2022 et l’État considère qu’un nombre restreint de celles-ci sont peu coopérantes dans l’attribution de nouveaux permis de construire. 
Les communes de Caluire, Mions, Saint-Genis-Laval et Tassin-la-Demi-Lune sont concernées par la mesure annoncée par la Préfète sur le territoire de la métropole.
La Métropole de Lyon, engagée pour l’accès au logement pour tous, mobilise une programmation pluriannuelle des investissements inédite avec 518 M€ dédiés à l’habitat et au logement sur le mandat 2020/2026. Face à la crise de production du logement, la Métropole a activé un plan d’urgence de 10M€ supplémentaires afin de permettre la sortie des opérations immobilières, et ainsi débloquer la production de près de 3000 logements à court terme avec 900 logements sociaux supplémentaires.
Cette mesure supplémentaire annoncée par la Préfète du Rhône permettra de conduire une politique du logement plus juste en faveur de la cohésion sociale et d’équilibre du territoire métropolitain, mais aussi d’accès au logement pour toutes et tous.
« L'impératif de justice sociale et de cohésion sur notre territoire exige que toutes les communes prennent leurs responsabilités en matière de production de logement social. La plupart d’entre-elles sont aux côtés de la Métropole de Lyon pour y parvenir. Mais étant donné les blocages qui sont encore présents pour quelques-unes, je salue la décision prise par la préfète du Rhône, inédite sur notre Métropole. Au-delà, et en lien avec tous les professionnels et acteurs de l’immobilier et du logement, nous continuons à utiliser tous les leviers possibles, pour faire face à la crise de la production de logement actuelle. » , déclare Bruno Bernard, Président de la Métropole de Lyon  
Pour Renaud Payre, Vice-Président de la Métropole de Lyon, en charge de l’habitat, du logement et de la politique de la ville « La Métropole de Lyon agit depuis de nombreuses années pour le rééquilibrage de l’offre de logement social, notamment à travers les secteurs de mixité sociale sur 46 communes dans notre PLU-H. Dans le contexte de crise de production du logement, plus que jamais l’effort doit être collectif et l’ensemble des échelons d’action publique doivent être mobilisés. Je salue la décision de la Préfète de reprendre la délivrance des permis de construire des communes qui ne prennent pas leur part dans la production de logement social. Nous nous tenons dès à présent à disposition des services de la Préfecture et des Communes pour avancer ensemble et dans le même sens. Nous demeurons, dans la continuité de notre pratique depuis le début du mandat, dans le dialogue et l’accompagnement des communes concernées, afin de favoriser la meilleure réponse possible aux besoins de logement des habitants de la Métropole.» 
par LYFtv-LYon
le Dim 17 Déc 2023, 7:08 pm
 
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Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours
Sujet: Logement d'urgence : de nouvelles places d’hébergement dans la métropole de Lyon ?
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Logement d'urgence : de nouvelles places d’hébergement dans la métropole de Lyon ?

Une délégation de travailleurs sociaux mobilisés dans le cadre du collectif Hébergement en danger, a été reçue jeudi par Renaud Payre, vice-président au logement, et Lucie Vacher, vice-présidente enfance, famille, jeunesse, en marge d’une manifestation réclamant l’ouverture de nouvelles places d’hébergement d’urgence. Le président de la Métropole, Bruno Bernard,  soutient la demande des travailleurs sociaux en faveur de la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence. Il a déjà interpelé à plusieurs reprises par courrier le gouvernement sur ce sujet et a une nouvelle fois réitéré sa demande en début de semaine lors d’un entretien avec la préfète de région.
La métropole de Lyon, avec de nombreuses communes, se déclare prête à accompagner l’Etat pour l’ouverture de ces places d’hébergement dont la nécessité se fait chaque jour plus criante.
Au-delà de ces réponses d’urgence, et afin d’apporter des solutions durables, la Métropole rappelle qu’elle œuvre, en lien avec les services locaux de l’Etat, à la construction de nouveaux logements sociaux. Elle est également favorable au principe de la régularisation par l’emploi des personnes qui pourraient intégrer des filières économiques en tension.
L’engagement de la Métropole depuis 2020
Dès 2020, la Métropole de Lyon a fait le choix de l’hospitalité envers les personnes confrontées au sans-abrisme et mal-logement. Cette nouvelle politique de l’accueil, fondée sur la mise à l’abri et l’accompagnement, répond à des urgences sociales, sanitaires et humaines.

Aujourd’hui, plus de 3000 personnes sont mises à l’abri par la Métropole dont un tiers relève de la compétence de l’Etat.
Depuis septembre 2020, à la demande de l’État, confronté à la crise sanitaire et à l’évacuation du collège Maurice Scève, le nouvel exécutif de la Métropole de Lyon a développé une politique d’accueil et de mise à l’abri sans précédent. 60 millions d’euros ont ainsi été déployés pour réduire le sans-abrisme avec notamment la création de sites d’hospitalité en collaboration avec les communes (Lyon, Villeurbanne, Oullins, Vernaison) et le monde associatif (Foyer Notre Dame des Sans-abris, Armée du Salut, Alynéa, Le Mas, Habitat et Humanisme Rhône). Huit sites accueillent des femmes isolées avec des enfants de moins de trois ans pour un total de 414 places :

  • Les Amazones (FNDSA) : tiny houses (40 places)


  • La Base (Le Mas) : tiny houses (51 places)


  • Les grandes Voisines (FNDSA) : bâtiment en intercalaire (60 places)


  • Cocon La Saulaie (FNDSA) : modulaires chalets (44 places)


  • Vernaison (HHR) : ancien presbytère (20 places)


  • Logements intercalaires (Alynéa) : logement Métropole et/ou OPH (52 places)


  • Bancel (HHR) : bâtiment en intercalaire (novembre 2023) (50 places)


  • Remorquage (FADS) : Remorques / modulaires (décembre 2023) (30 places)


Pour l’année 2024, deux nouveaux sites sont prévus : le « 22D » à Villeurbanne (50 places) et des tiny houses sur la commune de Neuville-sur-Saône (50 places).
La Métropole met par ailleurs 160 logements vacants lui appartenant au service de cette politique.  680 ménages, soit 1 929 personnes sont également hébergées à l’hôtel depuis janvier 2023. 
En novembre 2023, la Métropole de Lyon a enregistré plus de 2700 arrivées de jeunes primo-arrivants sur son territoire (contre 1 159 sur l’ensemble de l’année 2022).

Environ 50 demandes d’évaluation de minorité sont traitées chaque semaine par l’association Forum réfugiés en charge de cette délégation.

Alors qu’un grand nombre de départements aujourd’hui refusent d’accueillir et d’évaluer ces jeunes, la collectivité voit son dispositif saturé laissant nombre de jeunes primo arrivants sans solution.
Une fois l’évaluation faite, le jeune reconnu mineur non accompagné intègre le dispositif de protection de l’enfance de la Métropole de Lyon.
Si sa minorité n’est pas reconnue, il relève du droit commun et de l’hébergement d’urgence de compétence de l’Etat comme l’a rappelé la secrétaire d’État en charge de l’enfance, Charlotte Caubel, dans un courrier daté du 27 novembre 2023.
par Gilles Roman
le Mer 13 Déc 2023, 9:39 pm
 
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Immobilier, Achats & Ventes
Sujet: Architecture & Urbanisme : les lauréats des Grands Prix SIMI Habitat & Logement 2023
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Architecture & Urbanisme : les lauréats des Grands Prix SIMI Habitat & Logement 2023

Le SIMI a décerné, ce mercredi 13 décembre, les Grands Prix SIMI Habitat & Logement 2023 qui mettent à l’honneur depuis 2022 les opérations immobilières d’habitat et de logement remarquables. Ils saluent le rôle essentiel du logement et de l’habitat en qualité d’acteurs de l’attractivité des territoires, de socles essentiels à la création d’un environnement urbain propice à la qualité de vie. Ce palmarès a distingué 3 lauréats pour leur réalisation d’exception. 

GRAND PRIX SIMI 2023 HABITAT & LOGEMENT

SKY & GARDEN 
Asnières sur Seine (92), présenté par EDOUARD FRANCOIS MAISON 
Des jardins dans le ciel. «Sky & Garden» est le quartier résidentiel de la nouvelle Zac du Parc d’affaires d’Asnières-sur-Seine. Un quartier dédié à l’architecture urbaine, dans lequel certains immeubles sont coiffés de serres agricoles ou de potagers partagés. Les pieds dans le grand parc central qui finit sur Seine, il est fait d’immeubles en pierre et brique qui se jouent de l’architecture faubourienne. Un jeu savant dans lequel s’entremêlent des références « HBM, ceinture rouge», et son école « Jules Ferry » twistée. Entremêlée, une tour éponyme innove dans les usages avec ses «balcons jardins dans le ciel» détachés des logements situés en dessous. De la pure « hauteur pour tous » dans laquelle les logements les plus bas orientés nord, se voient offrir les terrasses les plus hautes côté sud avec en prime des vues Seine panoramiques. Bien perché, un immense triplex-terrasses situé au 17/18/19-ème étage s’offre 360 degrés d’horizons franciliens. Un signe clair de désirabilité pour ce nouveau territoire du Grand Paris, soustrait à la banlieue.

PRIX SPÉCIAL SIMI 2023 HABITAT & LOGEMENT “TRANSFORMATION URBAINE” 
LA PORTE BLEUE 
Marseille (13002), présenté par GROUPE CONSTRUCTA 
Une résidence de tourisme exceptionnelle. Une mixité d’usages au cœur d’un quartier en pleine mutation (Euromed I) avec la création d’une résidence de tourisme 4* exploitée par Odalys avec 252 chambres complétée par 64 appartements avec des vues mer époustouflantes qui ont permis, là aussi, de créer un marché résidentiel haut de gamme dans le secteur. 
- 414 voûtes comme autant de références aux architectures méditerranéennes séculaires réinventées par PietriArchitectes. 
- La vertu et l’impact d’une architecture et d’une construction en circuit court.
- Le premier béton blanc décarboné grâce à l’utilisation d’un déchet ultime dans sa composition : le laitier des hauts fourneaux sidérurgiques de l’étang de Berre (à quelques km de l’implantation de La Porte Bleue). 
- 75% de Gaz à Effets de Serre (GES) en moins lors de sa phase d’exploitation grâce à sa connexion avec la boucle d’eau de mer Thassalia installée sur le Port de Marseille. 

PRIX SPÉCIAL SIMI 2023 HABITAT & LOGEMENT “INNOVATION DES USAGES” 
ECLA PARIS PALAISEAU Palaiseau (91), 
présenté par OCEANIS PROMOTION 
La plus grande résidence d’Europe. Océanis, filiale de Uxco Group, conçoit depuis 25 ans des résidences services à vocation hôtelière et étudiante. A la genèse d’ECLA, en 2016, Océanis initie un Think-tank, composé d’universitaires, de chercheurs, philosophes et sociologues, pour l’accompagner sur la conception des résidences de demain en tenant compte des évolutions des modes de vie. 
Peu à peu, le concept s’est dessiné, mettant en avant l’importance de créer un véritable lieu de vie, où la technologie se met au service de l’apprentissage et de l’épanouissement personnel. Le plus gros pari a été de penser ce concept dans un volume atypique : le projet étant basé sur la volonté d’offrir une offre de services plurielle, il a fallu trouver le bon rapport entre la superficie des espaces communs et le nombre de logements. Aujourd’hui se déploient près de 1400 logements, proposant une variété d’hébergements. ECLA est plus qu’un logement, c’est la proposition d’une véritable expérience de vie. 

A propos du SIMI
Organisé par le Groupe Infopro Digital, le SIMI est, depuis 2002, le rendez-vous professionnel de référence dédié à la filière immobilière et à l’ensemble de ses acteurs intervenant dans l’hexagone. Un évènement annuel qui rassemble promoteurs, développeurs, investisseurs, proptech, territoires, conseils... pour partager innovations et projets en réponse aux besoins de construction et d’aménagement des villes au service de l’humain. Au-delà d’un lieu de rencontres et d’expositions, le SIMI, véritable lieu d’échanges et de débats, s’impose en tant qu’indicateur de fin d’année pour le marché immobilier d’une part, et observatoire au service de la communauté immobilière d’autre part, permettant de mettre en lumière les tendances émergentes et aussi de saluer les performances qui ont marqué l’année. 

UN JURY D’EXPERTS PRÉSIDÉ PAR Bernard MICHEL président du conseil d’administration de VIPARIS, Président du Jury ET COMPOSÉ D’EXPERTS : 
- Antoine AUBRY Global Head of Fund Management, AMUNDI IMMOBILIER 
- Stéphan DE FAŸ Directeur Général, GRAND PARIS AMENAGEMENT 
- Loic HERVE Directeur Général Délégué PERIAL 
- Stéphanie JEANNERET Senior Real Estate Advisor RESIDE ETUDES 
- Arnaud LUNEL Directeur Île-de-France SNCF IMMOBILIER 
- Christophe MILLET Trésorier - CNOA 
- Mickaël NOGAL Ancien député, Président-Fondateur CONVERGENCES 
- Marie-Noëlle SIXTRE Responsable du Développement & des Partenariats CATELLA RP - Bloc (libres, gérés) & Lot
par Gilles Roman
le Mar 12 Déc 2023, 10:27 am
 
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Sujet: Politique de la ville : Bron va bénéficier d'un fort financement de la Métropole
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Politique de la ville : Bron va bénéficier d'un fort financement de la Métropole

Le conseil de la métropole de Lyon a voté le 12 décembre la convention NPNRU (Nouveau programme national de renouvellement urbain) portant sur le renouvellement urbain du quartier prioritaire de Parilly à Bron. Ce projet d’envergure, dont l’investissement total des partenaires est estimé à 177M€, vise à améliorer durablement le cadre de vie des habitants d’aujourd’hui et de demain, avec une action volontariste sur le logement, les services et les espaces publics.

La transformation urbaine de Parilly s’engage, portée par Lyon Métropole, conjointement avec la Ville de Bron et le bailleur social Lyon Métropole Habitat. Le quartier va connaître 10 ans de changements : 
- rénovations, amélioration des espaces extérieurs,
- installation de nouveaux services et activités. 
Le périmètre du projet porte sur l’ensemble du quartier, au nord et au sud de l’autoroute A43 et concerne plus de 5000 habitants.

Lors du conseil métropolitain du mois de décembre 2023, les élus ont délibéré sur les rapports relatifs au projet concernant :
La signature de la convention NPNRU (Nouveau programme national de renouvellement urbain), qui vient concrétiser l’engagement partenarial sur ce projet, négocié depuis de nombreuses années et validé par l’ANRU fin 2022.
La subvention d’équipement à Lyon Métropole Habitat pour la réalisation d’opérations de démolition et de recyclage et curage de logements sociaux
Bron-Parilly : un projet pour transformer durablement le quartier
Pendant les 10 prochaines années, le renouvellement urbain de Bron-Parilly doit permettre de réintégrer le quartier au cœur de la ville, de diversifier l’habitat et de favoriser la mixité urbaine avec du logement, des activités, des commerces et des équipements. Les premières réalisations démarreront dès fin 2025.
Ce projet passe à la fois par des actions sur les résidences existantes et aussi par la création de logements neufs diversifiés :
536 logements seront réhabilités dans les UC3 et UC4 : amélioration phonique, énergétique. Toutes les parties communes, façades, réseaux et logements seront rénovés, ainsi que certaines pièces intérieures des logements.
401 logements seront démolis (partiellement l’UC5 puis l’UC6a)
166 logements seront transformés dans l’UC5 en logements sociaux étudiants, et logements locatifs intermédiaires avec Action Logement.
710 logements neufs diversifiés sont prévus sur l’ensemble du projet d’aménagement.

Ainsi, ce sont 75% des logements du périmètre de projet qui seront soit neufs, soit réhabilités en profondeur. Le projet a mis l’accent sur la réhabilitation de Parilly Sud, plutôt que sur des démolitions massives.
Des actions sont également programmées sur les services et les espaces publics avec la création d’un pôle d’équipements publics dédié à l’enfance et la petite enfance, l’amélioration des espaces publics et de la connexion avec le parc de Parilly,  l’installation de nouvelles activités économiques et le renfort de l’offre de commerces et services. En parallèle des actions sont menées conjointement par la Métropole de Lyon et l’État pour apaiser l’autoroute A43.
Une opération ambitieuse de recyclage urbain pour l’UC5
Parmi les opérations démonstratrices de cette transformation urbaine, l’opération de recyclage de 186 logements sociaux vise à métamorphoser complètement la partie non démolie du bâtiment UC5, appartenant à Lyon Métropole habitat. Cette opération d’envergure va initier le changement d’image du quartier, tout en conservant le bâtiment existant. Il s’agit à la fois de reconnaître le patrimoine de ce quartier, son histoire et son paysage, mais aussi d’inciter à réduire le bilan carbone de ces opérations de renouvellement urbain, en limitant les démolitions.
Le projet consiste à mettre à nu le bâtiment jusqu’à la structure béton, puis le transformer à travers la création de 166 nouveaux logements. Une partie de la structure sera cédée à Foncière logement dans le cadre des contreparties foncières prévues par la convention NPNRU.

L’opération permettra le curage de 90 logements sociaux en vue de leur cession pour transformation par Foncière logement en 56 logements locatifs privés après travaux,
la transformation par LMH de 96 logements sociaux familiaux avant travaux en 96 logements sociaux étudiants et 14 logements sociaux familiaux équivalents à du neuf après travaux.

Le relogement des locataires est amorcé depuis mai 2023. Les travaux de curage sont prévus pour démarrer en 2028, pour une durée de 28 mois.

Un projet partenarial

Le projet Bron-Parilly est piloté par la Métropole de Lyon en lien étroit avec la Ville de Bron et le bailleur unique Lyon Métropole Habitat.

Les investissements prévisionnels sont de 95,9M€ HT pour LMH, 55M€ HT pour la Métropole de Lyon et 26,2M€ HT pour la Ville de Bron. Les subventions de l’ANRU sont de 35,45 M€ et les prêts d’Action Logement de 18,8 M€.

À propos du NPNRU
Le NPNRU est issu de la loi 2014-173 du 21 février 2014 de programmation pour la ville et la cohésion urbaine. Pour la Métropole de Lyon, le NPNRU constitue un levier essentiel pour poursuivre et conforter le processus de transformation des quartiers populaires amorcé grâce au 1er programme national de rénovation urbaine 2005-2015. En partenariat avec l’ANRU, la Métropole, au travers du NPNRU, poursuit l’objectif de mieux relier les quartiers populaires à la ville, d’y introduire de la mixité résidentielle et fonctionnelle, de leur redonner une attractivité urbaine et de changer leur image, ainsi que d’en faire des quartiers exemplaires, innovants dans leur aménagement et intégrant les principes de quartiers durables, en co-construction avec les habitants.

Verbatims :
« Nous travaillons avec ce projet à un cadre de vie apaisé à travers des aménagements sur l’ensemble des espaces extérieurs du quartier : espaces verts qualitatifs, nouvelle entrée du parc Parilly, amélioration des cheminements et installation de nouveaux mobiliers. Le projet est mené avec et pour les habitants. » Béatrice Vessiller, Vice-président de la Métropole de Lyon en charge de l’urbanisme et du cadre de vie
« Je me réjouis de la signature de cette convention qui vient concrétiser l’engagement des partenaires et les négociations engagées auprès de l’ANRU depuis plusieurs années. Le projet Bron-Parilly comprend notamment une intervention très ambitieuse et inédite sur les logements à travers d’importantes actions de réhabilitation de résidences existantes et la création de logements neufs diversifiés. » Renaud Payre, Vice-président de la Métropole de Lyon en charge de l’habitat, du logement et de la politique de la ville
par LYFtv-LYon
le Lun 11 Déc 2023, 3:14 pm
 
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Politique villes départements & métropoles

Sujet: Crise du logement : Lyon Métropole vole au secours des constructeurs
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Crise du logement : Lyon Métropole vole au secours des constructeurs

Dotée d’une première enveloppe de 10M€, cette mesure exceptionnelle qui a été votée le 11 décembre 2023, doit permettre à court terme de débloquer la création de 3000 logements, dont entre 600 et 900 logements sociaux déjà validés. Il s'agit d'une intervention exceptionnelle qui s’ajoute à la mobilisation de la Métropole pour le logement avec un investissement de 518 millions d'Euros sur le mandat.

Comme toutes les grandes métropoles et agglomérations sur le territoire national, la Métropole de Lyon est touchée par une crise de l’immobilier inédite affectant à la fois l’offre et la demande. Cette crise se manifeste par une chute de la production de logements et un arrêt des commercialisations des logements en accession.
Quelques chiffres :
le nombre de logements démarrés est en baisse de 31 % au 1er trimestre 2023
les ventes sont en forte baisse de 48 % par rapport à juin 2022.
Les conséquences de la crise du logement se reportent sur les parcours résidentiels des ménages, en particulier les plus modestes. Dans ce contexte, la Métropole de Lyon est particulièrement mobilisée pour soutenir le secteur du logement et de l’immobilier, et indirectement celui du BTP et des métiers associés, et actionne tous les leviers en sa possession pour assurer la sortie des opérations.
Une stratégie métropolitaine de soutien à la construction
La production neuve de logements représente 89 % de la production de logements sociaux en 2022. Ainsi, quand les opérations de construction de logements libres sont bloquées, c’est aussi le logement social qui est impacté. Dans ce contexte et afin de soutenir la sortie des logements abordables pour les familles modestes et les classes moyennes, la Métropole de Lyon a établi dès février 2023, une stratégie d’intervention proposant aux promoteurs trois solutions possibles de retournement des opérations « bloquées » :
- les baux réels solidaires (plus de 1500 BRS sont déjà engagés sur le territoire) avec la Foncière solidaire du Grand Lyon,
- les logements sociaux prêts locatifs sociaux, dits PLS, en pleine propriété ou en usufruit locatif social avec engagement sur une durée longue de démembrement d’au moins 20 ans,
- le logement locatif intermédiaire (LLI) avec un souhait d’engagement sur une durée fixe de 20 ans.
Ces solutions ont ensuite été complétées à la rentrée 2023 par le plan d’urgence pour le logement et l’immobilier, qui apporte un soutien financier important permettant d’assurer la sortie réelle des opérations et passer d’une logique d’intention à une logique de soutien fort et massif.
10M€ pour le plan d’urgence pour le logement et l’immobilier
Le plan d’urgence concerne les opérations pour lesquelles les logements en accession libre ne trouvent pas d’acquéreurs. Les programmes concernés sont ceux dont la commercialisation a démarré, mais avec pas ou peu de ventes réalisées ou des difficultés d’écoulement des logements.
L’objectif est d’apporter un soutien financier au développement des produits locatifs sociaux (PLS) et des BRS, cela une réponse permettant la sortie des opérations bloquées, tout en répondant aux besoins des ménages et aux objectifs métropolitains de productions de logements abordables. L’objectif du plan d’urgence est avant tout de mobiliser les moyens d’action de la Métropole en soutien d’une production supplémentaire de logements abordables pérennes, tout en profitant de l’effet levier de son intervention au service de la sortie des logements libres.
La Métropole mobilise donc des moyens financiers complémentaires pour un système d’aide exceptionnelle aux bailleurs sociaux et Foncière solidaire du Grand Lyon.
À ce jour, 85 opérations sont en cours d’étude.  L’objectif visé étant de financer environ 700 logements sociaux plan d’urgence de type PLS supplémentaires, sur les années 2023 et 2024, permettant ainsi globalement à 3000 logements de sortir de terre.
« La Métropole de Lyon investit en tout 1,1 milliard d’euros sur ce mandat contribuant directement à la construction de bâtiments sur le territoire et soutient la création de logement auprès des communes par le biais de l’aide à l’investissement de leurs équipements. Notre exécutif est déterminé et mobilisé pour faciliter l’accès de toutes et tous au logement et ajoute ainsi au plan d’urgence de nouvelles mesures à activer en partenariat avec les communes, bailleurs et promoteurs. C’est ainsi que nous mettons en place une enveloppe de 10M€ pour venir en soutien aux opérations immobilières pour aider au rachat par les bailleurs sociaux des logements en accession pour réaliser du logement locatif social pérenne accessibles pour 75% des ménages. » Bruno Bernard, Président de la Métropole de Lyon
 « Le principe de ce plan d’urgence est simple : intervenir quand la commercialisation est à l’arrêt. Subventionner les bailleurs sociaux pour qu’ils puissent se porter acquéreur de la part non commercialisée et produire ainsi davantage de logements sociaux. Soutenir également la Foncière solidaire du Grand Lyon pour permettre lorsque les conditions sont réunies une substitution des logements libres non commercialisés par des logements en BRS. Sans une action d’urgence, la crise du logement aura des effets non seulement sur les ménages, mais aussi sur des secteurs de l’économie comme de la promotion immobilière mais aussi sur l’ensemble du BTP. C’est pourquoi nous avons voulu voter un plan d’urgence de 10 millions d’euros ». Renaud Payre, Vice-Président de la Métropole de Lyon en charge de l’habitat et du logement

Logement : l’action de la Métropole de Lyon en chiffres
- 518 M€ investis par la Métropole de Lyon en matière d’habitat et de logement (programmation pluriannuelle des investissements)
- 210 M€ pour produire du logement social, par des subventions directes aux bailleurs sociaux
- Entre 40 et 60% de logements abordables dans les opérations d’aménagement pilotées par la Métropole de Lyon
- Stratégie foncière pour le logement abordable : 40 M€ en moyenne annuelle
- 40 M€ investis en soutien à la Foncière solidaire du Grand Lyon
par Gilles Roman
le Jeu 16 Nov 2023, 12:55 pm
 
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Sujet: Logement de vacances : AirBnB révèle les destinations prisées des français
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Logement de vacances : AirBnB révèle les destinations prisées des français

Voici les 10 destinations internationales les plus plébiscitées* par les voyageurs français pour l’hiver :
Ville de Québec, Québec, Canada : Les touristes français se rendent à Québec pendant les mois les plus froids. Cette région francophone du Canada est l’une des plus anciennes villes d’Amérique du Nord et possède plusieurs sites uniques, dont le Vieux-Québec, classé au patrimoine de l’UNESCO.

Lanzarote, Îles Canaries, Espagne : Ceux qui recherchent un temps plus ensoleillé et plus doux cet hiver s’évadent sur l’île de Lanzarote. Située sur la côte ouest de l’Afrique, les voyageurs peuvent explorer deux parcs nationaux et passer du temps sur les magnifiques plages de l’île.
Tarragone, Catalogne, Espagne : La ville portuaire de la région de Catalogne, au nord-est de l’Espagne, offre une merveilleuse expérience culturelle. De nombreuses ruines romaines subsistent dans la ville et les visiteurs peuvent en visiter plusieurs, notamment l’Amphithéâtre Romà, qui fait face à la Méditerranée, la Nécropole et les vestiges du Forum.
Sydney, Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Les touristes français en quête de soleil se rendent également à Sydney pour profiter de l’été. Les visiteurs pourront allier nature et culture en se rendant dans des lieux emblématiques tels que l’Opéra de Sydney ou en profitant des vagues de la plage de Bondi.

Rio de Janeiro, État de Rio de Janeiro, Brésil : Célèbre pour sa statue du Christ Rédempteur au sommet du mont Corcovado et ses plages magnifiques, Rio de Janeiro est l’escapade idéale pour ceux qui aiment les hivers plus chauds. Ville la plus visitée de l’hémisphère sud, elle est également connue pour sa beauté naturelle et, bien sûr, pour son carnaval.

Alicante, Communauté valencienne, Espagne : Très prisée des visiteurs tout au long de l’année, Alicante est une ville portuaire ensoleillée à la vie nocturne trépidante et aux rues colorées. Le Castillo de Santa Bárbara, en particulier, offre une vue imprenable sur la mer Méditerranée.

Medellín, Antioquia, Colombie : Surnommée la « ville du printemps éternel », Medellín bénéficie d’un climat tropical. Située dans la vallée d’Aburrá, elle possède plusieurs collines étonnantes d’où les touristes peuvent admirer la ville.

Buenos Aires, Argentine : Buenos Aires est l’escapade parfaite pour les visiteurs qui souhaitent profiter du soleil dans un cadre urbain. Avec son patrimoine culturel, sa scène artistique vibrante et sa vie nocturne trépidante, Buenos Aires est une destination idéale pour échapper au froid.

Andorre-la-Vieille, Andorre : Nichée dans les Pyrénées, entre la France et l’Espagne, Andorre est une destination européenne idéale pour les Français qui souhaitent rester près de chez eux. Elle possède de merveilleuses stations de ski et des sites historiques uniques, dont une église baroque du XIIe siècle.

Lausanne, Vaud, Suisse : Située sur les rives du lac Léman, Lausanne est une ville charmante qui permet d’accéder facilement aux stations de ski des Alpes suisses. Elle offre un mélange d’attractions culturelles, y compris des musées et des sites historiques.

Pour les voyages d’hiver en France, les 10 villes en vogue** témoignent notamment de la passion des Français pour les sports d’hiver et, peut-être, pour la fondue. Voici les destinations qui ont retenu l’attention des voyageurs français sur Airbnb :

La Plagne-Tarentaise, Auvergne-Rhône-Alpes, France : Station de ski des Alpes françaises, La Plagne-Tarentaise fait partie du domaine Paradiski, l’un des plus grands domaines skiables du monde. La station offre une gamme variée de possibilités de ski et des vues de montagne à couper le souffle.

Nanterre, Île-de-France, France : Nanterre offre un excellent rapport qualité-prix pour les visiteurs qui souhaitent se rendre dans la capitale française en hiver. Que vous souhaitiez célébrer le Nouvel An ou la Saint-Valentin en février ou simplement visiter les sites, Paris est l’une des destinations les plus merveilleuses tout au long de l’année.

Annemasse, Auvergne-Rhône-Alpes, France : Située aux portes de la frontière franco-suisse, cette destination offre des vues incroyables aux randonneurs de la Savoie. Les amateurs de sports d’hiver seront également comblés par la variété des sports et des activités qui leur sont proposés.

Villefranche-sur-Saône, Auvergne-Rhône-Alpes, France : Située à deux pas de la ville animée de Lyon, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, Villefranche est le parfait compromis entre une escapade urbaine et une retraite à la campagne.

Montagne, Nouvelle-Aquitaine, France : Juste à côté des vignobles de Saint-Émilion, cette ville a été conçue pour les amateurs de vin. Elle permet également d’accéder facilement à Bordeaux et à sa multitude de musées, à sa vie nocturne animée et à ses boutiques.

Montvalezan, Auvergne-Rhône-Alpes, France : Située en Savoie, les amateurs de sports d’hiver pourront profiter de sa station de ski. Montvalezan promet une merveilleuse escapade au cœur des Alpes françaises.

Balaruc-les-Bains, Occitanie, France : Cette commune est connue pour les propriétés curatives des eaux thermales de Balaruc, qui ont attiré des voyageurs du monde entier tout au long de l’histoire. Cette ville, qui borde la mer Méditerranée, est une destination parfaite pour ceux qui recherchent un hiver plus doux.
Valmeinier, Auvergne-Rhône-Alpes, France : Station de ski de taille moyenne située en Savoie, au pied du mont Thabor, Valmeinier offre des panoramas majestueux et des sentiers de montagne. Valmeinier séduit également par le nombre d’activités proposées, notamment le ski et le snowboard.
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Tignes, Auvergne-Rhône-Alpes, France : Tignes regroupe plusieurs petits villages authentiques de la région de Savoie qui font partie du domaine skiable de l’Espace Killy. Elle est réputée parmi les amateurs de ski pour ses pistes difficiles, et se trouve à deux pas d’une autre destination majeure pour les amateurs de sports d’hiver : Val d’Isère.

Enchastrayes, Provence-Alpes-Côte d’Azur, France : Enchastrayes est un village de montagne pittoresque qui propose des sentiers de randonnée en été et des sports d’hiver pendant les mois plus froids.

Dans la récente édition hiver 2023 Airbnb, l’entreprise a dévoilé de nouvelles améliorations apportées à la plateforme et a révélé les Coups de coeurs voyageurs, une collection des 2 millions de logements les plus appréciés sur Airbnb, basée sur les évaluations, les avis et les données de fiabilité de plus d’un demi-milliard de voyages.
Ces améliorations aideront les voyageurs à avoir une expérience de voyage plus sereine avec Airbnb pendant les fêtes de fin d’année et par la suite. Les voyageurs peuvent également se référer aux astuces pour organiser les séjours de fin d’année  afin de trouver le séjour idéal pour tous les budgets et toutes les envies.


*Sur la base des recherches effectuées entre le 1er janvier et le 15 septembre 2023, pour des dates d’arrivées comprises entre le 1er novembre et le 31 décembre 2023, dans des destinations internationales, par rapport à la même période en 2022

**Sur la base des recherches effectuées du 1er janvier au 15 septembre 2023, pour des dates d’arrivées comprises entre le 1er novembre et le 31 décembre 2023 en France, par rapport à la même période en 2022.


A propos d’Airbnb
Créée en 2007 lorsque deux hôtes hébergent trois voyageurs dans leur logement de San Francisco, la communauté Airbnb compte désormais 4 millions d’hôtes, qui ont accueilli plus d’un milliard de voyageurs dans presque tous les pays du monde. Chaque jour, les hôtes proposent des séjours hors du commun et des activités uniques qui permettent aux voyageurs de découvrir le monde autrement, de façon plus authentique et conviviale.
par Gilles Roman
le Jeu 16 Nov 2023, 11:45 am
 
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Politique régions et DOM/TOM

Sujet: Economies d'énergie : les habitants du Grand Paris peuvent faire appel à cette application gratuite
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Economies d'énergie : les habitants du Grand Paris peuvent faire appel à cette application gratuite

Pour renforcer sa politique en faveur de la sobriété énergétique, la Communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise (GPS&O) a noué un partenariat avec Voltalis pour proposer aux habitants et professionnels du territoire d’être équipés gratuitement d’un dispositif de pilotage intelligent de leur chauffage électrique. Economique et écologique, cette solution innovante permet d’alléger sa facture d’électricité tout en participant à la réduction de l’empreinte carbone du territoire.
La flambée des prix de l’électricité et la nécessité de réduire notre dépendance aux énergies fossiles placent désormais la sobriété énergétique au cœur des politiques publiques. Dans le cadre de son Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET), GPS&O conduit de nombreuses actions visant à mieux maitriser la consommation d’énergie sur son territoire et à lutter contre la précarité énergétique, telles que le passage de l’éclairage public en LED et la promotion de l’extinction nocturne auprès des communes, l’accompagnement des particuliers et entreprises dans leurs projets de rénovation thermique ou encore l’amélioration de la performance énergétique des bâtiments et équipement sportifs et culturels communautaires.
Accompagner les habitants et professionnels dans leurs efforts de sobriété
Dans le prolongement de cette stratégie, la Communauté urbaine s’associe à la société Voltalis pour proposer aux habitants chauffés au tout électrique d’être équipés gratuitement d’un dispositif innovant de maîtrise et de réduction de leur consommation.  Près de 50 000 particuliers et professionnels sont concernés sur le territoire. La mise en œuvre de cette solution offre aux consommateurs la possibilité de réaliser des économies d’électricité tout en contribuant à la transition écologique et à la sécurité du réseau électrique national.
« La Communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise se veut un territoire modèle sur le plan de la maîtrise des dépenses énergétiques. Nous souhaitons accompagner nos habitants dans l’adoption de nouveaux comportements qui allient la préservation de leur pouvoir d’achat et la lutte contre le changement climatique. C’est le sens de notre partenariat avec Voltalis », déclare Cécile ZAMMIT-POPESCU, Présidente de GPS&O.
« Le soutien d’une collectivité aussi importante que la Communauté Grand Paris Seine & Oise est une grande marque de confiance pour Voltalis. Près de 50 000 nouveaux foyers et professionnels vont pouvoir bénéficier de notre solution d’économies d’énergie à l’approche de l’hiver », déclare Mathieu Bineau, Directeur Général de Voltalis.
Un thermostat connecté gratuit, en faveur du pouvoir d’achat et de l’environnement
La solution Voltalis répond aux objectifs et aux recommandations énoncés par les pouvoirs publics, notamment en combinant un potentiel d’économies d’énergie de 15 % par an et jusqu’à 70 % de baisse des émissions de CO2 pour les consommateurs équipés.
Pour ce faire, Voltalis installe gratuitement un thermostat connecté sur chacun des radiateurs du logement ou du local professionnel. Via son espace personnel en ligne (MyVoltalis), l’adhérent peut alors commander à distance ses radiateurs et programmer le fonctionnement du chauffage en définissant une température ou une consigne (confort, éco, hors gel ou arrêt) pour chaque pièce. Il profite également d’un suivi précis de ses usages électriques (chauffage, eau chaude, gros électroménager, froid…) pour mieux les maîtriser. Enfin, les adhérents bénéficient d’alertes et de conseils pour dépenser moins et réduire simplement leur impact
Parallèlement, ce dispositif contribue activement à la décarbonation et à la sécurité de l’alimentation électrique des Français. En effet, en cas de forte demande, notamment lors de la période hivernale, le réseau national risque des délestages ciblés ou pire, un black-out généralisé. à ces moments clés, Voltalis peut réduire très brièvement la consommation des appareils connectés aux boîtiers, et ce sans impact sur le confort des utilisateurs. Cette action vertueuse génère des économies pour les foyers équipés, soulage le réseau en temps réel et limite le recours à des centrales thermiques polluantes au gaz, au fioul ou au charbon, traditionnellement utilisées pour faire face à ces pics.
Comment les habitants et professionnels du Grand Paris Seine & Oise peuvent bénéficier de ce dispositif d’éco-sobriété ?
Des conseillers Voltalis viendront progressivement à la rencontre des particuliers et des professionnels de l’ensemble du territoire pour leur présenter le dispositif, répondre à leurs questions et leur proposer un rendez-vous d'installation. Un technicien agréé intervient ensuite pour installer le dispositif, en 2h30 en moyenne selon le nombre de radiateurs à équiper.  
Tous les habitants chauffés électriquement peuvent aussi solliciter directement l'installation de ce dispositif en contactant Voltalis par téléphone au 01 87 15 83 55 ou par e-mail : gpseo@voltalis.com
À propos de Voltalis :
L’électricité renouvelable est le futur de l’énergie. Son intermittence impose à tous une consommation plus intelligente. Depuis 2006, Voltalis est le leader européen du pilotage intelligent de la consommation électrique résidentielle et tertiaire. Notre technologie innovante permet déjà à plus de 150 000 foyers européens de mieux maîtriser leur consommation et répond aux besoins croissants de flexibilité du système électrique, élément essentiel de la transition écologique. Développée en France et déployée notamment avec le soutien de collectivités territoriales et d’acteurs majeurs du logement, notre solution apporte des réponses concrètes aux enjeux de pouvoir d’achat des particuliers, de réduction des émissions de CO2 et de sécurité des réseaux électriques. Forts de plus de 15 ans d’expérience, nous continuons à innover pour préparer le pilotage des nouveaux usages, tels que la charge des véhicules électriques, le stockage ou l’autoconsommation. Bénéficiant du soutien et des synergies créées avec son actionnaire majoritaire Meridiam, société à mission engagée dans le financement, le développement et la gestion à long terme d'infrastructures durables, Voltalis accélère aujourd’hui le déploiement de ses solutions à très grande échelle, en France comme à l’international. Voltalis est labellisé Solar Impulse depuis juin 2023. En savoir plus sur https://www.voltalis.com/.
À propos de la Communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise :
Grand Paris Seine & Oise, la plus importante communauté urbaine de France, s’étend sur 500 km² et compte plus de 410 000 habitants répartis dans 73 communes. Aux portes de la métropole du Grand Paris, GPS&O est au cœur des grands projets de la vallée de la Seine. Aéronautique, automobile, facture instrumentale… font de ce territoire un laboratoire d’innovations industrielles. La Communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise gère plusieurs compétences structurantes : transition écologique et énergétique, développement des mobilités, aménagement public, gestion du cycle de l’eau et des déchets, attractivité économique, touristique culturelle et sportive.
par Gilles Roman
le Mer 01 Nov 2023, 8:13 pm
 
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Sujet: Achat immobilier : la négociation s’impose pour les particuliers
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Achat immobilier : la négociation s’impose pour les particuliers

Il existe, dans la conjoncture actuelle du marché immobilier, une incohérence entre le prix initial affiché par les agences, et le prix réel auquel un bien est finalement acheté. En effet, depuis le mois de septembre 2023, la marge de négociation atteint les 9% (contre 4,4% en 2022). La négociation s’impose comme un levier de poids pour les candidats à l’achat.
Hosman, néo-agence immobilière, et Pretto, courtier en crédit immobilier 100% digital, délivrent leurs conseils d’experts pour concrétiser son projet immobilier et apprendre à négocier dans un marché en ralentissement.
Culturellement les français n’aiment pas négocier. 
37% des acheteurs, considèrent la négociation comme  un risque de laisser passer une opportunité, et 33% d’entre eux pensent qu’il s’agit d’un passage obligé mais inconfortable. 11% affirment qu’ il s’agit même d’une  source de stress considérable pour eux. Seuls  20% des français perçoivent la négociation comme un défi excitant. A l’occasion d’un webinar dédié à un large panel d’acheteurs (450 inscrits), Stanislas de Dinechin, co-fondateur et CEO de Hosman, et Renaud Pestre, co-fondateur et co-CEO de Pretto, ont donné les clés pour négocier dans un marché immobilier en ralentissement. 
Des délais de vente plus longs dans un marché immobilier en crise 
En 2023, le volume des transactions a baissé de 20% au niveau national, la chute est encore plus marquée dans les grandes métropoles (-22% à Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux et Nantes). Le ralentissement va se poursuivre en 2024 avec un nombre de transactions estimé à 800 000 (contre 890 000 en 2023). Le ralentissement du marché s’explique par la hausse des taux d’intérêt, multiplié par 4 en 20 mois, le palier des 4% est atteint. Les conditions d’accès à l’emprunt freinent les acheteurs qui ont vu leur capacité d’emprunt diminuer de 24% et une durée moyenne de crédit qui a pris 2 ans depuis 2021 pour atteindre 23,5 ans. 
Dans ce contexte, les délais de vente s’allongent. 
Depuis le mois de septembre 2023, il faut compter en moyenne 92 jours pour vendre son bien contre 64 jours en moyenne l’année dernière à la même époque, ce qui engendre une forte augmentation des stocks de 42% en moyenne, et donc l’amorçage de la baisse des prix. A Paris par exemple, le prix au m² a diminué de 4,5% et passe sous la barre symbolique des 10 000€, mais les prix affichés ne reflètent pas encore la baisse réelle des prix, et le m² est encore affiché à 11 600€.
La négociation, un réel levier pour les candidats à l’achat 
Dans le marché actuel, malgré la baisse du pouvoir d’achat immobilier, les experts de Hosman et Pretto démontrent que la période reste propice à l’achat. L’achat d’un bien immobilier est un choix de vie qui permet de construire un patrimoine et protéger son foyer (grâce à l’assurance emprunteur notamment), il faut donc avoir une vision long terme et envisager de rester au moins 5 ans dans le bien acheté pour rentabiliser les frais associés. La baisse des prix ne va pas aussi vite que la hausse des taux immobiliers, mais il sera toujours possible de renégocier son taux à la baisse dans quelques années alors que le prix d’achat, lui, ne pourra pas être renégocié ! En parallèle, l’inflation se fera ressentir sur le montant des loyers qui vont continuer d’augmenter.
Pour les porteurs de projets, c’est donc le bon moment d’acheter s’ils sont prêts à négocier.

Les conseils pratiques de Hosman et Pretto pour acheter dans les meilleures conditions
- Être bien préparé avant la visite 
Etre au clair sur sa capacité d’emprunt et son budget, 
Avoir pré-validé son dossier de financement avec un courtier 
-Revoir sa stratégie d’achat
Visiter des biens avec des prix qui s’affichent 10 à 15% au-dessus de son budget d’achat, dans le but de négocier ensuite. Le courtier pourra également aider à obtenir les meilleures conditions d’emprunt pour optimiser sa capacité d’emprunt.
Considérer les vieilles annonces, elles restent en moyenne 66 jours sur les plateformes, ce n’est pas forcément lié à un défaut mais surement à un prix affiché trop élevé. 
-- Oser négocier
Faire des offres même si elles sont basses, cela permet d’ouvrir une discussion. Chez Hosman, la marge de négociation a presque doublé entre octobre 2022 et octobre 2023, même si 20% d’offres se font encore au prix. Depuis le mois de septembre 2023, la marge de négociation atteint les 9% (contre 4,4% en 2022). 
L’agent immobilier est là pour vous accompagner, son devoir de conseil et de transparence est d’autant plus primordial dans un marché où les offres au prix se font plus rares. 
Renforcer son offre pour assurer la solidité de son dossier. dans ce contexte de hausse des taux, les offres avec des conditions suspensives ont augmenté de 13% par rapport à 2022
- Toujours tenir compte de l’humain
Montrer son sérieux dès le premier échange avec le vendeur et comprendre ses conditions de vente 
Proposer une solution gagnant-gagnant, avec des conditions suspensives cohérentes

 
Stanislas de Dinechin, CEO et co-fondateur de Hosman déclare, “La tendance de marché est en train de s’inverser et nous sommes maintenant dans un marché d’acheteurs. C’est le bon moment pour acheter si on arrive à négocier pour atteindre le prix réel de marché. Chez Hosman, nos experts vous accompagnent dans votre projet immobilier, que vous soyez vendeur ou acheteur, pour remettre de la transparence dans les transactions.
Renaud de Pestre, co-CEO et co-fondateur de Pretto ajoute : “Les vendeurs ne baissent pas encore le prix affiché mais cèdent de plus en plus à une offre négociée accompagnée d’un dossier de financement solide. Dans quelques mois, les taux auront a priori encore augmenté. Il est encore temps de tirer son épingle du jeu, malgré les taux affichés, si on est prêt à négocier !” 

Pour visionner le  Webinar “Achat immobilier - C’est le moment de négocier“ :
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À propos de Hosman 
La néo-agence immobilière Hosman a été créée en 2018, suite à un constat simple : le prix trop élevé des frais d’agence pour un service souvent mal perçu. Elle s’est alors donné comme mission de révolutionner le marché de l’immobilier en proposant un service plus simple, plus transparent avec un tarif plus juste. Concrètement un expert immobilier local accompagne ses clients depuis l’estimation jusqu’à la signature chez le notaire, des outils digitaux développés en interne permettent de suivre la vente en temps réel et d'accélérer les délais de vente (prise de rendez-vous en ligne, réception des offres d’achat en temps réel…) et son tarif fixe permet d’économiser en moyenne 15 000 euros sur les frais d’agence. Hosman est déjà présent à Paris, Nantes, Bordeaux, Lyon, Marseille et leurs régions où elle a accompagné plus de 12 500 clients dans leurs projets immobiliers. 
A propos de Pretto
Co-fondé en janvier 2017 par Pierre Chapon et Renaud Pestre, tous deux polytechniciens, Pretto est un courtier en crédit immobilier 100% digital. Grâce à son algorithme enrichi quotidiennement, Pretto permet à ses utilisateurs de comparer les taux et conditions pratiquées par les plus grandes banques françaises et de trouver le prêt qui correspond le plus à leur profil et leur projet. A l'expérience online intuitive et sécurisée s'ajoute l'accompagnement d'un expert crédit attitré. Réactif et transparent, il coache à distance son client, négocie pour lui avec les banques et l'accompagne jusqu'à la signature. Pretto prend en charge aujourd'hui tous types de prêts. En septembre 2020, Pretto a lancé son DataLab, l'observatoire des tendances du marché immobilier, qui délivre des analyses issues de plus de 700 000 simulations annuelles. Aujourd'hui, Pretto emploie plus de 100 collaborateurs, a aidé à financer plus d'1 Mds€ en 4 ans. La société possède aussi son agrégateur d'annonces immobilières, l'application Pretto Search. Pretto a levé 1,3M€ en octobre 2017 et 8M€ en février 2019. 
Plus d'informations sur pretto.fr. Pour accéder à notre observatoire et nos analyses des taux pretto.fr/taux-immobilier.
par Gilles Roman
le Mar 17 Oct 2023, 6:18 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Punaises de lit à Lyon : des financements européens pour agir rapidement
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Punaises de lit à Lyon : des financements européens pour agir rapidement

"Nous mettons à disposition des ressources, des conseils et des personnes à l’écoute des habitant·e·s du 8e arrondissement de Lyon afin de faire face à ce défi. Nous ambitionnons d’essaimer ce dispositif à de nouveaux quartiers de la Métropole de Lyon dès 2024". Nous appelons également les autorités à investir davantage dans la recherche et la prévention des infestations de punaises de lit. 
Ce n’est qu’en renforçant nos efforts collectifs que nous pourrons garantir un environnement sain pour toutes et tous. 
Le Centsept et un collectif d’acteur·rice·s lyonnais·e·s se mobilisent pour mettre en lumière les solutions existantes pour lutter contre les punaises de lit grâce à la coopération entre acteur·rice·s du territoire qui a notamment permis de lancer l’expérimentation « Oh Punaises » en début d’année 2023. 
Les punaises de lit ne sont pas simplement un problème de nuisibles, mais un véritable enjeu pour le bien-être des habitant·e·s. 
Le projet « Oh Punaises » s’engage à faire de cette question une priorité, en sensibilisant les habitant·e·s et en apportant des solutions concrètes, tout en évitant la stigmatisation : ce problème touche des milliers de personnes et de tous horizons. 
Le projet “Oh Punaises” met en place des actions coordonnées visant à sensibiliser et accompagner les habitant·e·s à lutter contre les punaises de lit. 

 Le Centsept - SPactions - Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée -Métropole de Lyon - Ville de Lyon, Mairie du 8e arrondissement de Lyon - Mission Entrée Est - Grand Lyon Habitat - Alliade Habitat - CAF du Rhône - CLSM - CH Le Vinatier - la Sociéte Lyonnaise de Détection Canine
Une analyse des besoins menée en 2022 a révélé que les habitant·e·s ressentaient un manque d’information et de soutien pour faire face à ce problème. Les habitant·e·s ne connaissent pas les risques, les signes d’infestation, les mesures de prévention et les bonnes pratiques à adopter. À cela s’ajoutent des ressources humaines faibles pour l’accompagnement et des coûts de traitement importants.
« Oh Punaises » est un projet qui démontre l’importance cruciale de la coopération entre les acteur·rice·s du territoire pour résoudre une problématique, en rassemblant bailleurs sociaux, institutions locales et partenaires associatifs. Les partenaires œuvrent collectivement pour expérimenter des solutions efficaces au bénéfice des habitant·e·s. Cette coopération est fondamentale, car elle permet d’unir les ressources, les expertises et les connaissances de diverses entités pour relever un défi complexe. 
En combinant les compétences des bailleurs sociaux dans la gestion des logements, des institutions locales dans la santé publique, du secteur associatif dans l’accompagnement social et les habitant·e·s eux-mêmes, « Oh Punaises » crée un modèle de coopération exemplaire. 
1. Sensibilisation et information : Mise en place des actions de sensibilisation auprès des habitant·e·s sur les risques liés aux punaises de lit, les signes d’infestation, les mesures de prévention et les bonnes pratiques à adopter grâce au porte à porte, des stands d’information dans les résidences, des ateliers collectifs de quartier et la distribution de supports pédagogiques. 
2. Accompagnement et soutien : Offrir un accompagnement et un soutien adaptés aux habitant·e·s touché·e·s par les infestations de punaises de lit. 
3. Collecte et évaluation des données : Collecter des données sur l’efficacité des actions et évaluer les résultats obtenus afin de les ajuster au besoin. 7 médiateur·rice·s punaises de lit de quartier sont formés pour aider les résident·e·s à faire face à la situation et les orienter vers les démarches adéquates. 130 travailleur·euse·s sociaux ont été formés en 2023 pour mieux accompagner les habitant·e·s touché·e·s par ce problème. 
4. Capitalisation et diffusion des connaissances : Documenter les actions et les résultats obtenus afin de pérenniser les efforts entrepris et les transmettre à d’autres territoires. Partir du besoin des habitant·e·s pour mettre en place des solutions Faire coopérer les acteur·rice·s du territoire pour expérimenter des solutions pour les habitant·e·s 
Les actions clés du projet « Oh Punaises » face à ces constats
 L’Entreprise à But d’Emploi SPactions créée dans le cadre de l’expérimentation nationale Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée s’est lancée dans l’expérimentation des actions “Oh Punaises” dans le 8e arrondissement de Lyon en ayant formé une équipe de 7 médiateur·rice·s punaises de lit de quartier habitant et travaillant sur le quartier, et en ouvrant une permanence d’accueil du grand public qui permet de recevoir des conseils et de louer un nettoyeur-vapeur. 
Le Centsept est une association dont la mission est de faire coopérer des acteur·rice·s publics, privés et de l’Economie Sociale et Solidaire afin de développer des projets à impact social et environnemental sur le territoire lyonnais. Au service des habitants et acteurs de la Métropole de Lyon, les laboratoires d’innovation sociale du Centsept visent à faire émerger et à expérimenter de nouveaux projets à impact social et environnemental grâce à la mobilisation des acteur·rice·s du territoire
par Emmanuel
le Jeu 28 Sep 2023, 12:18 pm
 
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Immobilier, Achats & Ventes
Sujet: Immobilier : Imbroglio Gouvernemental sur les passoires thermiques
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Immobilier : Imbroglio Gouvernemental sur les passoires thermiques

Alors que le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a ouvert la voie à une révision du calendrier d'interdiction à la location des logements F et G, avant de rétropédaler, le désaccord avec le président de la République ajoute une couche d'incertitude pour les propriétaires et investisseurs. Face à ces incertitudes, Invest-Preneur, leader dans la formation à l'investissement immobilier, conseille aux propriétaires de se lancer dans le Diagnostic de performance énergétique (DPE) et la rénovation énergétique. 

Emilie Malengo et Julien Malengo, un couple d’experts en investissement immobilier, nous éclaire sur les implications de ces changements pour les propriétaires. Ils disposent de nombreux cas clients dans toutes les régions de France grâce à leur école qui accompagne de nombreux investisseurs immobiliers.
L'avenir des passoires thermiques
L'interdiction de la vente des passoires thermiques est sur toutes les lèvres. Alors que le président Macron avait exprimé sa volonté de "mettre des contraintes à certains propriétaires qui ont des logements qui ne sont plus du tout en état, où il y a énormément de gaspillage énergétique", le Gouvernement semble prendre une direction différente. "Même si le ministère du Logement a démenti cette mesure vendredi 22 septembre, il est clair que des actions sont en cours pour accélérer la rénovation énergétique," déclare Emilie Malengo. "Il est crucial pour les propriétaires de comprendre ces changements et de prendre des mesures proactives pour éviter de se retrouver pris au piège."
Invest-Preneur, leader dans la formation à l'investissement immobilier, se positionne à l'avant-garde des opportunités offertes par la rénovation énergétique. "Grâce à notre programme d’accompagnement innovant, nous guidons les investisseurs à travers les complexités du marché actuel, les préparant à saisir les avantages de la transition écologique," ajoute Julien Malengo.
Comprendre le #DPE en 2023
"Le DPE a subi des changements majeurs, notamment avec l'extension progressive de l'interdiction de location aux biens mal notés. Il est plus important que jamais de comprendre comment lire et interpréter ces diagnostics," souligne Emilie Malengo. "Avec l'entrée en vigueur de la loi Climat et Résilience de 2021, le DPE est devenu un outil réglementaire incontournable pour les transactions immobilières. Les propriétaires doivent être conscients que les logements classés G seront tous interdits à la location d'ici 2025, suivis des logements F en 2028 et E en 2034."
Conseils pour la rénovation énergétique
"La rénovation énergétique est devenue un élément incontournable de l'investissement immobilier," affirme Julien Malengo. "Plus de 500 000 logements vont être interdits à la location d’ici à 2035, sans travaux de rénovation énergétique. Les investisseurs doivent s'adapter et voir cela comme une opportunité. Les biens rénovés énergétiquement offrent une meilleure rentabilité et répondent aux attentes des locataires d'aujourd'hui."
Dépasser ses appréhensions et investir sereinement
"Le programme 'Liberté Financière 4.0' est conçu pour aider les investisseurs à surmonter leurs craintes," affirme Emilie Malengo. "Investir est un acte réfléchi. Avec le bon accompagnement et les bonnes informations, chaque investisseur peut réussir. L’investissement dans l’ancien représente une opportunité pour tout un chacun qui souhaite se lancer et participer en même temps à la rénovation et modernisation du parc locatif français."
À propos d'Invest-Preneur
Invest-Preneur est une entreprise basée en Occitanie, spécialisée dans l'investissement immobilier à très haute rentabilité. Fondée par Julien Malengo et Emilie Malengo, Invest-Preneur propose un accompagnement individualisé et pas à pas pour permettre à chacun de ses élèves d’investir sereinement et générer des revenus complémentaires grâce à l’immobilier, dès le premier jour de location et non pas à la fin du crédit. Au travers d’une approche innovante et d’une formation de qualité, Invest-Preneur vise à démocratiser l'accès à l'investissement immobilier à haute rentabilité pour tous, dans le but de diversifier ses sources de revenus.
Pour plus d'informations sur Invest-Preneur et ses services :

Visitez www.invest-preneur.com ou écrivez à l’adresse : contact@invest-preneur.com

Instagram: julienmalengo LinkedIn : Emilie Malengo et  Julien Malengo

par LYFtv-LYon
le Lun 25 Sep 2023, 4:19 pm
 
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Sujet: La création de logements étudiants au menu du conseil de Lyon Métropole
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La création de logements étudiants au menu du conseil de Lyon Métropole

A l’occasion de son conseil métropolitain des 25 et 26 septembre 2023, la collectivité a voté le 25 septembre pour un soutien financier à la construction de logements sociaux étudiants sur le territoire avec une enveloppe totale de 3.5 millions d’euros pour la période 2023-2025. Inscrit dans le cadre du Contrat de Plan État-Région 2021-2027, ce soutien financier va permettre de financer la création, par le CROUS et les bailleurs sociaux, de près de 4 850 logements supplémentaires sur le territoire entre 2023 et 2029.
Depuis 2015, 2029 places ont ainsi été financées par la Métropole de Lyon permettant d’offrir au total 13 935 places sociales aux étudiants sur le territoire.
« Plus de 180 000 étudiants sont accueillis sur notre territoire chaque année et 15 000 de plus sont attendus à horizon 2029. Si cette attractivité étudiante qui illustre la qualité de l’enseignement supérieur est positive pour notre territoire, nous devons garantir un logement abordable de qualité à l’ensemble des étudiants pour les accompagner vers la réussite de leurs parcours de formation » souligne Jean-Michel Longueval, vice-président délégué à l’Enseignement supérieur et à la Recherche.
Ainsi, la Métropole de Lyon se mobilise pour la création de logements sociaux étudiants en l’intégrant au cœur de sa politique de développement du parc social
L’enveloppe budgétaire de 3.5 millions d’euros votée ce jour est répartie sur trois ans avec le versement de 2.1 millions d’euros cette année, un million d’euros en 2024 et 400 000 euros en 2025. Au total, ce sont près de 6 millions d’euros que la Métropole mobilise pour mener à bien sa politique de rattrapage en matière de financements de logements sociaux au titre du CPER 2021-2027.
Un soutien à la vie associative étudiante
La Métropole de Lyon se mobilise également en faveur de la vie associative étudiante en votant ce jour plus de 21 000 euros de subventions au profit d’une vingtaine d’associations retenues dans le cadre de l’appel à projets « Initiatives étudiantes », commun avec la Ville de Lyon, dont les projets ou initiatives s’impliquent en faveur :
-  du développement des pratiques et événements artistiques, culturels ou sportifs : L’art de la scène, Club jeux et imaginaire, Club des 24 heures de l’INSA, Collectif tadam, Club INSA athlétisme, Siamese lantern production, Karnaval, Écran droit, Association des élèves de l’école centrale de Lyon, Hannibal EM Lyon, Bureau des étudiants INSA Lyon, ESN cosmolyon et Basket INSA club 
- de l’engagement au service de la société : Vers un réseau d’achat en commun Lyon Métropole et Un cabas pour un étudiant ;
-  de l’accueil et de la solidarité internationale : Lyon Haïti partenariats ;
-  de la professionnalisation, de l’insertion économique et de l’innovation : Parenthèse utile, Improse toi, Association de droit et science politique et That’s IAE Lyon.
Une deuxième phase de cet appel à projets a été finalisée en avril dernier avec une sélection de 18 projets associatifs qui seront financés en en septembre 2023.
par Gilles Roman
le Mar 19 Sep 2023, 3:49 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Crise du logement : "c'est quand même le moment d'acheter"
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Crise du logement : "c'est quand même le moment d'acheter"

Une diminution du volume des transactions, une baisse des prix à l’achat, une offre locative en régression, une attente des investisseurs quant à l’immobilier d’entreprise, autant de marqueurs rugueux pour le marché de l’immobilier qui de fait, traverse actuellement une crise. Retour sur ce constat et sur les perspectives. 
Dans le logement existant, une baisse de volume des ventes de 20 % est enregistrée dans la région lyonnaise pour une diminution des prix qui s’oriente vers 10 %, malgré des annonces respectives de 15% et 5 % en début d’année. La production de logements neufs est quasiment à l’arrêt dans la Métropole de Lyon avec une réduction des réservations d’environ 50 % par rapport à l’année dernière. L’offre locative diminue également de manière importante (jusqu’à 30 % selon les secteurs) et l’on compte désormais 1 logement pour 50 candidats. Un certain attentisme quant aux investisseurs dans l’immobilier d’entreprise s’est fait jour. Les attentes de rentabilité ont fortement augmenté, y compris pour des actifs sécurisés (6% minimum). 
En ce qui concerne les bureaux, une baisse de 27% de la demande est observée, par rapport à 2022. Les locaux industriels résistent mieux, avec une baisse de 3% de la demande. Cette classe d’actifs a bénéficié d’une bonne résilience de l’activité économique dans la région. Néanmoins, les perspectives sont peu encourageantes dans un contexte de croissance molle voire de récession. Voilà pour la situation actuelle constatée qui pourrait alarmer. 
Toutefois les motifs de tension sont connus et désormais bien évalués, avec à l’appui les données officielles : 
- une inflation élevée avec une hausse des taux d’intérêt (passés de 1% à plus de 4% en 18 mois) 
- une difficulté à obtenir un prêt avec des conditions plus drastiques imposées par les banques 
- une pénurie de l’offre en logements neufs, faute d’incitation à la construction. 
- une obligation de rénovation énergétique sous contrainte, sujet d’inquiétude pour les propriétaires et bailleurs : les logements classés F et G, interdits à la location, représentent 12,2% du parc rhodanien, soit 130 000 logements à rénover engageant la recherche d’artisans disponibles, qualifiés et agréés et un coût de travaux non négligeables pour les propriétaires. 
En outre, l’encadrement des loyers, mis en place depuis 2 ans, s’est révélé contre-productif et a fait fuir les investisseurs. Cette mesure a conduit à la sortie de 9 000 logements de la location classique pour les Grands Lyonnais … 
« Trop de régulation tue la régulation » ! 
Enfin, l’offre locative saisonnière est insuffisamment arbitrée et harmonisée dans l’offre globale. Les petites surfaces étant très impactées, il est devenu extrêmement difficile pour un nouvel arrivant, salarié, étudiant etc, de se loger dans la métropole lyonnaise. 
Face à ces défis, dans un marché immobilier en tension, la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM) Rhône et son président Pascal Pancrazio affichent un positionnement clair : défendre les intérêts des investisseurs, des clients, de ses adhérents en vue d’une sortie de crise. Donner rapidement une impulsion nouvelle à l’action et aux propositions de la FNAIM Rhône pour rassurer les acquéreurs et investisseurs encore inquiets et permettre une offre de logements à des prix raisonnables sont désormais la priorité. Au niveau national, la FNAIM (appuyée par la chambre du Rhône) œuvre avec les partenaires économiques et auprès des parlementaires et du ministre du Logement pour faire évoluer la règlementation. 
À court terme et localement, nous promouvons des solutions que les maires des communes sous tension peuvent appliquer, comme la mise en place d’une régulation des locations saisonnières à l’instar de ce qu’a institué la ville de Lyon (et de manière inédite aussi la ville de New-York), afin de créer un « choc de l’offre » et le retour de logements accessibles pour les Grands Lyonnais. La FNAIM, acteur majeur du marché immobilier depuis plus d’un siècle, apporte son expertise de terrain et reste un interlocuteur central des discussions à conduire autour de la politique du logement
À plus long terme, sachant que nous ne pourrons évidemment pas concentrer et loger toute la demande à Lyon, la « reconstruction de la ville sur la ville » ayant de grandes limites économiques, techniques et environnementales, nous souhaitons, aux côtés des partenaires locaux, contribuer à une réflexion promouvant un aménagement global des territoires, orientée par la temporalité (temps de trajet) et le bilan carbone. 
Si nous soutenons la politique de développement des transports mode doux de la métropole de Lyon, nous souhaitons également la prise en compte et l’intégration de l’ensemble tous les modes de transports, de manière pragmatique, adaptés aux modes de vie des habitants et des usages professionnels. 
Pour revenir au marché immobilier, des raisons d’espérer émergent : la politique monétaire commence à porter ses fruits et l’on peut espérer une sortie de crise d’ici fin 2024, avec un retour de l’inflation vers 2%. 
La FNAIM rappelle que ce contexte délicat offre toutefois de véritables opportunités d’achat. Cela devient le moment d’acheter ! Chambre
À propos de la Chambre FNAIM de l’immobilier du Rhône 
La Fédération nationale de l’immobilier, reconnaissable par son célèbre cube jaune, est aujourd’hui le premier syndicat des professionnels de l’immobilier en France et en Europe et l’interlocuteur privilégié des pouvoirs publics. Au niveau national, les adhérents de la FNAIM regroupés autour de 13 métiers de l’immobilier sont au cœur du marché immobilier : ils assurent notamment, la gestion de plus de 60 % des lots de copropriété et interviennent dans la réalisation d'une transaction sur trois dans l'habitat résidentiel existant. La FNAIM du Rhône fédère plus de 230 cabinets dans le Rhône et dans le secteur Nord-Isère. Elle a pour vocation de défendre les intérêts des professionnels de l'immobilier et ceux de leurs clients. Elle leur dispense les formations qui différencient les professionnels FNAIM par leurs compétences et la qualité de services offerts aux particuliers. Elle veille au respect, par chacun de ses membres, de son code d’éthique et de déontologie, garant de la protection des droits du consommateur.
par Gilles Roman
le Sam 16 Sep 2023, 3:56 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Encadrement des loyers : des propriétaires s'engoufrent dans une faille...
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Encadrement des loyers : des propriétaires s'engoufrent dans une faille...

Mis en place il y a plusieurs années dans plusieurs grandes villes de France, dont Lyon, Villeurbanne, Paris ou Grenoble, l'encadrement des loyers peine à être respecté. 42 % des logements mis en location dépassent les plafonds de loyer, et les propriétaires ont affiné leurs techniques pour éviter la baisse de loyer.
Cela fait environ quelques mois que le marché de l'immobilier subit un ralentissement. En cause, le crédit. Il est plus difficile d'obtenir un prêt aujourd'hui qu'en début d'année et ce le sera encore plus demain ! D'où un nombre d'acheteurs qui baisse. Dans ce contexte, vendre son bien présente une difficulté supplémentaire, mais qui n'est pas insurmontable. À condition d'afficher le bon prix.
par Gilles Roman
le Mar 12 Sep 2023, 3:40 pm
 
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Sujet: Logement étudiant : plus d'1 million de chambres libres... chez les parents !
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Logement étudiant : plus d'1 million de chambres libres... chez les parents !

C’est la rentrée scolaire ! Près de 3 millions d’étudiants font leur rentrée sur les bancs de la fac ou d’une école supérieure. Pour les jeunes bacheliers, c’est souvent l’occasion de quitter le domicile familial pour rejoindre la ville abritant le cursus de leurs rêves. Alors, que faire de ces centaines de milliers de chambres désormais vides ? J’accueille propose une solution simple, des plus utiles dans un contexte de crise du logement : et si vous, parents, accueilliez une personne réfugiée le temps de quelques mois ?
En 2023, environ 1,2 millions d’étudiants ne vivent plus chez leurs parents*, soit autant de chambres temporairement ou définitivement inoccupées. Et si elles pouvaient continuer à être utiles ?
En 2022, 56 179 personnes se sont vu octroyer le statut de personnes réfugiées en France. En partie hébergées dans des centres d’accueil adaptés au cours de leur période de demande d’asile, et devant quitter ces centres une fois la protection de la France obtenue, les personnes réfugiées peinent à trouver des solutions d’hébergement. C’est pourquoi chez J’accueille, les équipes mettent en lien des personnes réfugiées sans logement et des personnes ayant une chambre de libre et souhaitant accueillir quelques jours ou quelques mois. L’objectif : leur offrir la stabilité nécessaire pour gagner en autonomie, jusqu’à pouvoir accéder à leur propre solution de logement.
Avec plus de 1200 cohabitations accompagnées en 8 ans, la philosophie de l’association est de privilégier les rencontres significatives, l’échange autour de la langue, l’apprentissage mutuel des codes de chacun, selon les affinités... pour que ce soit le plus enrichissant possible pour tout le monde.
“L’obtention de la protection internationale ne marque pas la fin d’un parcours migratoire. De nombreux obstacles restent à surmonter une fois l’asile obtenu afin d’accéder à une situation personnelle et professionnelle durable, tels que : l’apprentissage de la langue française, la recherche de logement, la maîtrise des codes socio-culturels français ou encore l’isolement social fréquent. Les cohabitations que nous accompagnons, permettent de répondre à un certain nombre de ces besoins.” explique David Robert, co-directeur général de J’accueille.
Parmi les accueillants, de nombreuses personnes ont accueilli alors que leurs enfants partaient loin de la maison pour leurs études : “À l’origine, l’idée vient de ma fille aînée Anna. Rosa, une de mes filles, partait pour une année à l’étranger. Nous nous retrouvions donc avec une chambre libre. Anna et moi avons alors décidé de nous porter candidates pour accueillir une personne réfugiée. Anna a contacté J’accueille et nous avons lancé les démarches.” raconte Soazic qui a accueilli Yollande dans son appartement du 11ème arrondissement de Paris pendant 3 mois et demi.
L’association accompagne les personnes dans leur désir d’accueil à chaque étape du processus : une convention de cohabitation est signée dès l’entrée, et c’est ce qui a rassuré Xavier qui a déjà accueilli 3 personnes réfugiées dans le cadre de l’association : “ Nous nous sommes inscrits pour être famille d’accueil, sur un contrat très clair : assurer le gîte d’un jeune exilé pour quelques mois, entre le moment où il obtient le statut de réfugié et celui où il peut voler de ses propres ailes. ”
Le suivi administratif est assuré par des travailleurs sociaux partenaires, afin que l’expérience ne se résume pas à de l’assistance et que la personne accueillante puisse se concentrer sur les moments de partage. Un référent salarié est disponible à tout moment pour l’accueillant et pour l’accueilli. “ Ouvrir sa porte, c’est très simple. Dès lors que l’on décide de s’engager dans la démarche. L’accompagnement de J’accueille est précieux et les étapes du processus de mise en relation définies par l’association sont claires. Elles permettent de valider sans précipitation chaque étape de l’engagement de part et d’autre. ” raconte Soazic, qui s’est lancée sur une idée de sa fille Anna, 22 ans.
Concrètement, cet engagement de quelques mois est significatif dans le parcours des personnes réfugiées accueillies : entre l’entrée dans le dispositif et la sortie, les chances d’avoir un emploi sont multipliées par 3,5, à profil comparable et la capacité à trouver une solution de logement est multipliée par 6.
Concrètement, comment soutenir le programme ?
- Vous avez une chambre de libre pour quelques mois et souhaitez savoir comment ça fonctionne ? Organisez un rendez-vous avec le référent J’accueille de votre ville. C’est gratuit et non engageant : www.jaccueille.fr 
- Vous souhaitez soutenir le programme ? Vous pouvez faire un don pour permettre d’organiser un maximum d’accueils partout en France. > Faire un don
À PROPOS DE J’ACCUEILLE
J’accueille est une association créée par SINGA en 2015 pour faciliter l’accueil de personnes réfugiées chez l’habitant en France. J’accueille a permis à plus de 1200 personnes réfugiées d’être accueillies temporairement - pour des périodes allant jusqu’à 12 mois, et a décuplé leurs chances de trouver un logement autonome et un travail à la sortie. Évidemment, immersion linguistique aidant, les progrès en français ont été spectaculaires. La grande majorité des personnes ayant pu bénéficier du dispositif venaient de Syrie et d’Irak (2015-2017), du Soudan (2018-2019), d’Afghanistan (après la chute de Kaboul en 2021) et enfin d’Ukraine (2022) même si cette liste n’est pas exhaustive. J’accueille est actuellement présente dans 15 grandes villes françaises.
par Gilles Roman
le Mar 12 Sep 2023, 10:23 am
 
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Sujet: Le projet urbain de Villeurbanne grand centre
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Le projet urbain de Villeurbanne grand centre

Afin d’ouvrir l’information sur le projet « Villeurbanne grand centre » au plus grand nombre, la Métropole de Lyon et la Ville de Villeurbanne organisent mardi 19 septembre un forum d'information suivi d’une réunion publique avec Béatrice #Vessiller, Vice-présidente de la Métropole de Lyon en charge de l’urbanisme et du cadre de vie, et Cédric Van Styvendael, Maire de Villeurbanne. 
Le projet Villeurbanne Grand centre prévoit d’étendre le centre-ville de manière cohérente autour du prolongement de l’avenue Henri-Barbusse : nouveaux logements, une offre de commerces et de services publics complète, un cadre plus vert, plus dynamique, plus accueillant et plus accessible grâce aux transports en commun…
Le Forum d’information et la réunion publique sont proposés conjointement par la Métropole et la Ville de Villeurbanne.
Deux temps sont proposés :
- Forum d’information de 16h30 à 19h devant la Mairie (avenue Aristide-Briand)
À quoi ressemblera le centre-ville de Villeurbanne demain ? Des stands permettront aux habitants de se projeter dans le centre-ville de demain : comment habiter, se déplacer, faire ses courses, profiter des nouveaux équipements culturels, des activités de loisir... Des ateliers ludiques seront aussi proposés aux enfants dès 5 ans.
Réunion publique d'information sur tous les projets en cours et à venir dans le centre-ville le 19 septembre à 19h en salle du Conseil municipal
Les élus de la Ville et de la Métropole répondront à toutes les questions des habitants. Cette réunion se tiendra en présence de Béatrice Vessiller, Vice-présidente de la Métropole de Lyon, en charge de l’urbanisme et du cadre de vie, et de Cédric Van Styvendael, Maire de Villeurbanne.     
Une garderie gratuite est mise en place pour les enfants à partir de 3 ans, dans la limite des places disponibles. Pour inscrire ses enfants, rendez-vous sur https://vu.fr/cdUyQ ou appelez le 04 78 03 67 67 avant le 13 septembre.
par Gilles Roman
le Mar 05 Sep 2023, 1:43 pm
 
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Sujet: Comment Airbnb ouvre de nouvelles perspectives à l'œnotourisme
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Comment Airbnb ouvre de nouvelles perspectives à l'œnotourisme

L'œnotourisme a le vent en poupe. La catégorie Vignobles sur Airbnb propose désormais plus de 17 000 annonces en France, soit une augmentation de près de 15 % depuis son lancement en mai 2022. Plus d'1,5 million de voyageurs ont séjourné dans un logement situé à proximité d’un vignoble en France depuis le lancement de la catégorie l'année dernière, générant ainsi un revenu complémentaire de plus de 4 100 € pour les hôtes Français.
Alors que la saison des vendanges débute en France, Airbnb dévoile de nouvelles données qui donnent un aperçu de la croissance de l’œnotourisme sur le territoire. Selon les données internes, plus d’un million et cinq cent mille voyageurs (1) ont séjourné dans des hébergements de la catégorie Vignobles d'Airbnb en France depuis son lancement l'année dernière. Le revenu médian pour un hôte de la catégorie Vignobles en France s’élève à plus de 4 100 € (2).
Les 10 destinations françaises ayant accueilli le plus de visiteurs (3) Airbnb grâce à la catégorie Vignobles sont :
Thonon-les-Bains, Haute-Savoie
Un point de chute idéal pour découvrir les vins de Savoie tels que le Comtés Rhodaniens ou des Allobroges.
Saint-Florent, Haute Corse
Un charmant et authentique village de l’île de beauté se situant à proximité des vignobles réputés de Patrimonio.
Talence, Gironde
Une destination aux portes des plus grands crus Bordelais.
Bergerac, Dordogne
Vignoble voisin des vins bordelais, la région viticole du bergerac offre une magnifique route des vins et plusieurs parcours qui ravit les passionnés et amateurs d’œnotourisme.
Epernay, Marne
Située au cœur d'un territoire viticole recouvrant 35 000 hectares de vignes, la ville abrite des Maisons de Champagne de grande renommée que l’on retrouve presque tous sur la fameuse avenue de Champagne.
Orange, Vaucluse
Avec 320 propriétaires de domaines viticoles répartis sur les 5 communes du Pays d’Orange, dont le fameux Châteauneuf-du-Pape, la région a de quoi séduire les amateurs d’œnotourisme.
Beaune, Côte-d'Or
Beaune est l'escale parfaite pour en apprendre plus et déguster les mondialement célèbres vins de Bourgogne.
Carpentras, Vaucluse
Gastronomie et œnotourisme sont au rendez-vous en Provence. Située sur la route des vins au Sud du mont Ventoux, la ville et ses alentours permet de découvrir le large éventail des vins de la région.
Le Bouscat, Gironde
Grande commune viticole française, Le Bouscat permet de découvrir la diversité des vins de Bordeaux.
Chinon, Indre-et-Loire
Cap sur un vignoble de la Loire et plus précisément de la région viticole de Touraine. Sur 2 300 hectares, des cépages comme le très réputé Cabernet Sauvignon ravissent les palais des amateurs de vin. 
Dormir au plus près des vignes, un luxe accessible
Depuis qu'Airbnb a lancé la catégorie Vignobles en mai 2022, le nombre d'annonces dans cette catégorie en France a augmenté de près de 15 %, pour atteindre plus de 17 000 hébergements (4).
Ces retraites au cœur des vignobles français sont accessibles à tous les budgets : le coût moyen d'un séjour de la catégorie vignobles en France est d'environ 115 € par nuit (5). Alors que les réservations pour des séjours dans les hébergements de cette catégorie comprennent en moyenne trois personnes (6), un séjour peut revenir à 38 € par personne, par nuit en moyenne. 
Les données d'Airbnb révèlent également que les voyageurs en duo sont ceux qui profitent le plus de ces escapades au plus près des vignes, puisqu'ils représentent 45 % (7) des réservations, suivis par les voyageurs solo (25%), les groupes de 3 voyageurs et plus (20%) et finalement les familles (10%) (8). De plus, la majorité des voyageurs (78 %) (9) qui choisissent de découvrir les régions viticoles locales avec la catégorie Vignobles d’Airbnb ont entre 25 et 59 ans.
« Pourquoi faire une simple halte dans un domaine viticole pour la journée alors que l'on peut y séjourner et ainsi vivre des moments authentiques au cœur de ces lieux d’exception ? Les vignobles font partie intégrante du patrimoine culturel français et, tout comme nos hôtes, ils ouvrent les portes du cœur d'une destination, offrant des connaissances préservées de génération en génération », déclare Bertrand Burdet, directeur adjoint d'Airbnb France.
Les personnes avec un hébergement près des vignes souhaitant rejoindre la communauté d’hôtes Airbnb peuvent se rendre sur le site : https://www.airbnb.fr/host/homes.
(1) Nombre total d'annonces dans la catégorie Vignobles en France au 30 juin 2023, comparé au 30 juin 2022.

(2) Revenu moyen généré pour les hôtes de la catégorie Vignobles en France depuis son lancement le 11 mai 2022 jusqu'au 30 juin 2023.

(3) Top 10 des destinations de la catégorie vignobles en France pour la saison des vendanges (dates de séjours comprises entre août et octobre 2023 sur la base de nuits réservées entre le 1er janvier 2023 et le 30 juin 2023.

(4) Nombre d’annonces de la catégorie Vignobles en France au 30 juin 2023.

(5) Tarif journalier moyen des séjours de la catégorie Vignobles en France pour des séjours ayant eu lieu depuis le lancement le 11 mai 2022 jusqu'au 30 juin 2023.

(6) Nombre moyen de voyageurs par séjour en France depuis le lancement de la catégorie Vignobles le 11 mai 2022 jusqu'au 30 juin 2023.

(7) Types de voyages réservés depuis le lancement de la catégorie Vignobles le 11 mai 2022 jusqu'au 30 juin 2023.

(8) Définie comme une réservation Airbnb comprenant au moins un enfant ou un nourrisson.

(9) Age indiqué des voyageurs sur la base de séjours réservés depuis le lancement de la catégorie Vignobles le 11 mai 2022 jusqu'au 30 juin 2023.

(10) Les hébergements coup de cœur des voyageurs correspondent aux annonces de la catégorie Vignobles en France qui ont été le plus sauvegardées dans la liste de favoris des visiteurs sur Airbnb.
A propos d’Airbnb
Créée en 2007 lorsque deux hôtes hébergent trois voyageurs dans leur logement de San Francisco, la communauté Airbnb compte désormais 4 millions d’hôtes, qui ont accueilli plus d’un milliard de voyageurs dans presque tous les pays du monde. Chaque jour, les hôtes proposent des séjours hors du commun et des activités uniques qui permettent aux voyageurs de découvrir le monde autrement, de façon plus authentique et conviviale.
par LYFtv-LYon
le Mer 30 Aoû 2023, 2:07 pm
 
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Immobilier, Achats & Ventes
Sujet: Mauvaise surprise pour les propriétaires : la taxe foncière augmente fortement
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Mauvaise surprise pour les propriétaires : la taxe foncière augmente fortement

Le ministre de l'économie l'a pourtant dit sur tous les tons : il n'est pas question d'augmenter les impôts en France. Pourtant, dans toutes les communes, la taxe foncière augmente au moins de 7,1% en 2023 ! France Info prévient d'ailleurs que "la note, qui va augmenter dans toute la France, s'annonce particulièrement salée dans certaines communes".
Car à cette augmentation de plus de 7% pour l'imposition nationale il faudra peut-être aussi compter avec celle décidée par les communes de résidence qui font le choix de compenser l'annulation de la taxe d'habitation ! 
59% à Paris, plus de 31% à Grenoble...
Les Français propriétaires de leur logement qui ne mensualisent pas cet impôt local vont découvrir leur avis d'imposition mercredi 30 août sur leur espace fiscal en ligne. Pour les contribuables qui paient cette taxe chaque mois, il faudra attendre le 22 septembre pour connaître le montant de la douloureuse. Franceinfo répond à cinq questions sur cette forte augmentation, qui ne touchera pas tous les propriétaires de la même manière, selon leur lieu de résidence.
par LYFtv-Politique
le Mar 01 Aoû 2023, 4:09 pm
 
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Immobilier, Achats & Ventes
Sujet: Immobilier : il est clair que les vendeurs doivent baisser leurs exigences
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Immobilier : il est clair que les vendeurs doivent baisser leurs exigences

La Banque Centrale Européenne (BCE) a augmenté ses taux directeurs pour la neuvième fois consécutive en un an. Le taux de refinancement atteint désormais 4,25 %, alors qu'il était de 0 % au début de 2022. Coup dur pour les acheteurs...
Avec cette nouvelle augmentation, on peut d’ores et déjà prédire que les taux de crédit immobilier – qui sont actuellement en moyenne de 3.95 % - vont continuer de monter et certainement atteindre 5 % d’ici janvier 2024.

La capacité d'emprunt des acquéreurs continue de chuter

Une hausse de 1 % du taux d'intérêt se traduit par une réduction significative du montant empruntable. Par exemple, avec une mensualité de 1 000 € et un taux d'intérêt de 4 %, un acheteur peut emprunter jusqu'à 165 000 €. Quand le taux sera passé à 4,5 %, le même acheteur ne pourra plus emprunter que 158 000 €, et d’ici début 2024, avec des taux à 5 %, 151 000 €.
En l’espace de six mois, la capacité d’emprunt va donc encore baisser d’environ 8 %.
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Les taux d'intérêt ne cessent de progresser depuis le début de l'année. :copyright: PAP
Début 2022, les taux d’intérêt étaient d’environ 1,5 % en moyenne. Avec des taux à 5 % début 2024, la perte de capacité d’emprunt en 2 ans sera de 27 %. Il n’est donc pas surprenant que le marché immobilier tourne actuellement au ralenti : certains acheteurs sont contraints de revoir leurs ambitions à la baisse, en particulier dans les zones où les prix sont élevés, ou de retarder leur projet d'achat immobilier.

L’impact sur les prix immobiliers reste modéré

Pourtant, la baisse des prix immobiliers reste actuellement modérée (environ 1 à 2 % à l’échelle nationale), et ne compense pour l'instant pas la perte de capacité d'emprunt. Pourquoi les prix tardent-ils à baisser ?

Les primo-accédants ne représentent pas tout le marché

Tout d’abord, seuls les primo-accédants sont pleinement impactés par la hausse des taux. Or, ceux-ci sont minoritaires sur le marché, et particulièrement en ce moment. Les primo-accédants, en effet, sont quasiment exclus du crédit en ce moment à cause des exigences des banques sur l’apport personnel.
Le marché immobilier continue donc de tourner avec les « secundo-accédants » : ceux qui ont déjà acheté auparavant, et qui n’empruntent qu’une partie du budget dont ils ont besoin. D’après l’Observatoire PAP, il y a même 1 acheteur sur 3 qui n’emprunte pas du tout et qui finance intégralement son achat par la revente d’un autre bien.

Les hausses de salaire atténuent légèrement l’impact

De plus, l'impact de la hausse des taux sur la capacité d'emprunt est modéré par la hausse des salaires. Selon les chiffres du ministère du Travail, les salaires de base en France ont augmenté de 3,9 % en 2022, et les projections sont de 5 % pour 2023.
Début 2024, la perte de capacité d’emprunt par rapport à début 2022 ne serait donc pas de 27 %, mais de 20 % en tenant compte de la hausse des salaires, ce qui reste très élevé.

Les vendeurs résistent

Enfin, les vendeurs sont conscients de la situation, et certains décident de reporter leur vente, ou au moins de prendre leur temps, plutôt que de baisser leur prix. Cette phase d’ajustement est classique, et d’ici la fin de l’année la baisse des prix pourrait se renforcer quand certains vendeurs se retrouveront dans l’urgence.

Quand les taux vont-ils finir par redescendre ?

La Banque Centrale Européenne utilise la hausse des taux pour ralentir l'inflation, qui reste actuellement élevée. Toutefois, de nombreuses voix commencent à s'élever contre cette stratégie monétaire. Le remède pourrait être pire que le mal !
Il est donc possible que la BCE marque une pause pour laisser à l'économie le temps d'encaisser. En 2024, on peut espérer que les taux se stabilisent. Il est en revanche improbable que les taux reviennent aux niveaux qu'on a connu ces dernières années, qui étaient, il faut bien le dire, historiquement bas.

Faut-il acheter maintenant ou attendre ?

C’est la grande question ! Et la réponse est finalement assez simple… Plus vous empruntez, moins il faut attendre :
Prenons un exemple concret pour voir comment les différents phénomènes (hausse des taux, hausse des salaires, baisse des prix immobiliers) se conjuguent. L’exemple est volontairement simplifié (le coût d’assurance, les frais de notaire ne sont pas pris en considération) pour plus de clarté.
Imaginons que vous vouliez acheter un bien d’une valeur de 300 000 €, et que vous disposez déjà de 100 000 €. Vous devez emprunter 200 000 €. Aujourd’hui, si vous obtenez un crédit à 4 % sur 20 ans, votre mensualité sera de 1 212 €. D’ici début 2024, imaginons que la valeur du bien passe à 290 000 € (ce qui représente une baisse de prix de 3,3 % en 6 mois), vous n’avez plus à emprunter que 190 000 euros... mais avec un taux à 5 %, votre mensualité sera de 1 254 €, donc plus élevée. Pour avoir la même mensualité, il faudrait que la valeur du bien passe à 283 000 €... soit une baisse de prix de presque 5,6 % en quelques mois. Le pari est risqué !
Comme on peut le constater, la hausse des taux d’intérêt est telle qu’il est difficile de la compenser par les autres facteurs.

Achetez maintenant... mais négociez !

Étant donné que la hausse des taux d'intérêt est une certitude, les vendeurs se doutent que la situation va continuer de se corser. Vous avez donc des arguments pour négocier. Le meilleur plan est donc probablement d'obtenir aujourd'hui une baisse de prix de 5 %, tout en empruntant aux taux actuels !
Attention, tout dépend évidemment du niveau de prix auquel se situe le vendeur : certains ont déjà baissé leur prix pour tenir compte de la situation.

Étudiez votre marché immobilier local

Si vous n’empruntez pas ou peu, vous avez peut-être intérêt à attendre pour bénéficier des autres facteurs tels que la hausse des salaires ou la baisse des prix. Mais dans ce cas, soyez vigilants à votre marché local ! Certains marchés n’évoluent pas à la baisse, malgré le contexte actuel, car ils visent des populations qui ne sont pas très impactées par les difficultés de financement, ou parce que la tension sur l’offre est telle qu’elle maintient les prix.
Cet article a été publié par Corinne Jolly le 27 juillet 2023
Présidente chez PAP.fr
par Gilles Roman
le Sam 10 Juin 2023, 1:04 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Immobilier : vous cherchez un bien à acheter ? PAP vous accompagne !
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Immobilier : vous cherchez un bien à acheter ? PAP vous accompagne !

Définir son projet - Construire son financement - Trouver un bien - Estimer et négocier - Le processus d'achat - Simuler son financement - Calculer ses capacités d'emprunt... PAP (Particuliers A Particuliers), propose un "guide gratuit pour bien acheter"
#logement #urbanisme #immobilier
Tag logement sur LYFtvNews 635a7a37eccc22337a7b23c6-1666873965-200x200
par Gilles Roman
le Mer 01 Mar 2023, 3:12 pm
 
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Sujet: Lyon : des squatteurs poursuivent le propriétaire en justice !
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Lyon : des squatteurs poursuivent le propriétaire en justice !

Le tribunal de Lyon a examiné le mardi 28 février 2023 la demande de jeunes squatteurs qui estimaient leur expulsion illégale. "Ils réclament 5000 euros de dommages et intérêts et le retour dans le logement occupé illégalement. Les débats ont porté sur le droit à la propriété et le droit au logement. Le jugement a été mis en délibéré", relate France3 Rhône-Alpes sur son site internet... Il y a 18 mois, un immeuble de la rue des Tuileries (dans le 9e arrondissement de Lyon) est squatté par une vingtaine de personnes. Il est à l'abandon. Il sert principalement de bureaux et de siège d'entreprise. Comme la loi le prévoit (quand des squatteurs occupent un logementle propriétaire engage une procédure judiciaire. Procédure qui débouche dans ce cas sur une "reprise des lieux", ordonnée par le juge des contentieux. Les squatteurs ont jusqu'au 31 mars, ensuite : ils doivent partir.
Une piscine sur le toit et des débordements à répétition
Pendant des mois, le voisinage doit subir le rythme de vie de ce groupe de squatteurs. Une piscine hors sol a été installée sur le toit de l'immeuble. Le groupe fait sa vie. Musique techno, bagarres, disputes, cris… La tension est palpable dans le quartier. Pétitions, recours, tentative de médiation, rien n'y fait.
Le 23 janvier 2023, la situation s'apaise. Elle s'apaise tellement que le voisinage prévient le propriétaire. Les lieux semblent désertés. Très vite, en quelques heures, l'immeuble est barricadé et placé sous surveillance. Un agent de sécurité veille à ce que personne ne puisse à nouveau pénétrer dans l'immeuble. Quand il revient sur le site l'un des plaignants a encore des effets personnels à l'intérieur. Il occupait les lieux depuis un an, il réclame 5000 euros de dommages et intérêts. Il espère pouvoir réintégrer "son logement".
Droit au logement VS Droit à la propriété
En l'espèce, la problématique des débats a porté sur le droit à la propriété face au droit au logement. La propriétaire, une S.C.I. (Société Civile Immobilière) explique que "il n'y a pas eu expulsion". Elle revendique sa propriété et indique avoir tout fait pour justifier son bon droit. Elle évoque l'insalubrité des lieux, la dangerosité, les dégradations qui coûtent chères et les coût liés aux assurances et à l'emprunt.
Pour l'avocate des plaignants, la version est différente. Certes, ses clients occupaient les lieux "sans droit, ni titre", mais une ordonnance du juge des contentieux avait fixé une date : c'était le 31 mars 2023. Selon elle, les squatteurs ont été expulsés illégalement. 
Le Tribunal de Grande Instance de Lyon, après avoir écouté les arguments des uns et des autres a mis sa décision en délibéré. Suite de l'histoire le14 mars prochain.
par Gilles Roman
le Ven 16 Déc 2022, 12:32 pm
 
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Sujet: Se loger à Lyon : les prix en fonction des stations de métro
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Se loger à Lyon : les prix en fonction des stations de métro

Cartographie Quels loyers à Lyon en fonction du métro L’agence de location et de gestion en ligne Flatlooker publie une carte des loyers placés en fonction des stations de métro dans la ville de Lyon. L’étude a été menée sur des T2 de 35 m2, à partir de 175.000 annonces diffusées sur les portails immobiliers en 2022. Elle permet de mettre en évidence de fortes disparités d’une station à une autre.
Analyse :
A Lyon, ce n’est pas parce qu’on s’éloigne du centre-ville que le loyer est moins cher. Sur la ligne D, les loyers moyens à la station Laënnec (au sud-est de Lyon) sont de 630€. Ils font partie des plus élevés de la ville. C’est notamment là qu’on retrouve la faculté de médecine. La station aux loyers moyens les plus chers est Masséna (660€). Les stations avec les loyers les moins chers sont de leur côté au bout de la ligne A : Cusset (480€), Laurent Bonnevay (480€) et Vaulx-en-Velin
A propos de Flatlooker
Fondée en 2016 par Nicolas Goyet, CEO et Nicolas Parisot, COO, la start-up Flatlooker permet de trouver un logement sans avoir à bouger de son canapé !  Grâce à la visite 360° et aux vidéos 4k, les futurs locataires peuvent visiter un logement comme s'ils y étaient. Visites en lignes hyper détaillées, dépôts de dossiers locatifs en ligne, signatures électroniques, paiements et gestion des incidents dématérialisés, Flatlooker apporte des solutions dématérialisées particulièrement avantageuses pour les propriétaires. Côté propriétaires, Flatlooker assure la gestion locative à un prix 25% en deçà d'une agence immobilière classique tout en proposant une qualité de service supérieure. Forte de son succès, la start-up qui a levé 1,5 millions d'euros en 2018 se compose aujourd'hui de 50 salariés et est active dans 30 villes, avec plus de 3.200 appartements en gestion.
par Gilles Roman
le Sam 24 Sep 2022, 7:18 pm
 
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Sujet: Mediapart fait son festival, Villeurbanne accueille Royal de Luxe : la revue de la z'maine
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Mediapart fait son festival, Villeurbanne accueille Royal de Luxe : la revue de la z'maine

"La Revue de la Z'maine" vous invite ce dimanche à consulter les récentes publications de PrendreParti.com 
Tag logement sur LYFtvNews 84df0caa-bf9c-1e3a-1227-bb1b670bfc8f
80 logements de La Cité Rose de Nanterre seront bientôt démolis. Depuis 2020, des étudiant·es du master "Projets culturels dans l’espace public" y ont ouvert un local permanent baptisé "L’Épicerie Rose". Du 16 au 18 septembre avec l'aide du collectif chilien Teatro Container, les habitant·es y célébraient "Le Dernier Eté" à travers 3 expériences sensibles  pour écouter les histoires que les murs ont à nous raconter ... 
Tag logement sur LYFtvNews D370d4b2-6a8d-00ee-e66b-106ed63456f9
L’équipe de Médiapart  nous donne rendez-vous ce samedi 24 septembre pour le retour de son festival annuel au 104 à Paris. Une rencontre ininterrompue de 11h à 23h sur le thème "Dépolluons la mer médiatique", un salon où de nombreux partenaires tiendront des stands et animeront des discussions. Edwy Plénel nous en dit plus ... 
Tag logement sur LYFtvNews D77bfe66-4190-3a01-1cac-60c98125c669
A l’occasion de " #Villeurbanne Capitale Française de la #Culture ", Royal de Luxe, compagnie de théâtre de rue, présente "Le Bull Machin de Villeurbanne", une création inédite et monumentale à l’échelle de la ville entière du 23 au 25 septembre. « C’est l’histoire de deux chiens pas perdus pour tout le monde, invités par le Maire de Villeurbanne pour faire la plus grande course de chiens géants qui n’a jamais existé ... "
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par Gilles Roman
le Sam 17 Sep 2022, 5:16 am
 
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Sujet: Logement : une résidence Habitat & Humanisme au cœur de la Part Dieu !
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Logement : une résidence Habitat & Humanisme au cœur de la Part Dieu !

Située sur le site d’Emergence Lafayette, au cœur de la Part-Dieu à Lyon, dans un quartier en pleine mutation, la résidence jeunes Thomas More est un projet porté par la foncière solidaire Entreprendre pour Humaniser la Dépendance (EHD) du Mouvement Habitat et Humanisme. Acquis en VEFA (Vente en Etat Futur d'Achèvement), le bâtiment propose 58 logements pour des jeunes en insertion et des jeunes actifs précaires, un public pour lequel l’accès au logement représente une difficulté majeure. Il doit être inauguré le 20 septembre 2022.
 Tag logement sur LYFtvNews Emergences%20Lafayette
Un espace sécurisant qui favorise la mixité
Cette résidence sociale est destinée à des jeunes, âgés de 18 à 30 ans, à faibles ressources, étudiants, apprentis, jeunes actifs et jeunes majeurs décrochés dont certains sont issus de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE). Elle a été conçue pour que les plus fragiles puissent s’y sentir en sécurité, accompagnés et responsabilisés. 
Pour que le logement soit un véritable tremplin vers l’autonomie.
Des espaces collectifs permettent de créer du lien entre les différents publics. Ils peuvent ainsi se rencontrer dans la salle commune d’animation équipée d’une cuisine ouverte, sur la terrasse au 8ème étage, avec une partie végétalisée pouvant servir à la création de potagers collectifs, ou dans d’autres espaces partagés indispensables à la vie collective (laverie, bureau…). La résidence est gérée par l’Œuvre du Bon Pasteur, association partenaire du Mouvement Habitat et Humanisme. Une salariée est présente sur les lieux pour proposer un accompagnement individuel aux résidents et veiller au bien vivre-ensemble.
Chaque résident bénéficie d’un espace privatif incluant sanitaires et cuisine. 
Les logements en colocation, entièrement meublés, sont quant à eux proposés à des étudiants internes en médecine. La crise sanitaire ayant souligné l’importance des soignants dans la société, le projet a également pour ambition d’aider les jeunes qui s’engagent dans cette voie en leur proposant des logements dignes, accessibles et proches de leur lieu de travail.
Un emplacement qui favorise l’insertion
Au total, la résidence propose 58 logements : 50 logements individuels et 8 logements partagés, au sein d’un ensemble immobilier porté par OGIC qui comprend logements, commerces, bureaux, centre culturel et espace de coworking.
L’emplacement de cet immeuble est idéal pour penser la question du dynamisme et de l’insertion professionnelle. Commerces, bureaux, services, transports constituent un environnement particulièrement porteur dans ce domaine.
A propos d’Habitat et Humanisme
Depuis 37 ans, pour répondre à l’exclusion et l’isolement des personnes en difficulté, Habitat et Humanisme agit en faveur du #logement, de l’#insertion et de la recréation de liens sociaux.
Résolument tourné vers l’innovation, le Mouvement a développé des outils économiques à vocation sociale, pour financer et mener à bien son action. Habitat et Humanisme s’est donné pour mission :
  • de permettre aux personnes à faibles ressources, précarisées en raison de leur situation sociale, de leur âge, de leur handicap ou de leur santé, d’accéder à un logement décent, adapté à leur situation et leurs ressources,

  • de contribuer à une ville ouverte à tous, en privilégiant les logements situés dans « des quartiers équilibrés »,

  • de proposer un accompagnement personnalisé ou collectif pour favoriser la recréation de liens et l’insertion sociale.
par Gilles Roman
le Mar 22 Mar 2022, 5:03 pm
 
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Sujet: Achat vs Location ? à Lyon, pour le même prix il vaut mieux louer !
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Achat vs Location ? à Lyon, pour le même prix il vaut mieux louer !

Exclu SeLoger // À #Lyon, on a plus grand en louant son #logement plutôt qu’en le achetant (mais ce n'est pas le cas dans la plupart des villes de France) !
Contre toute attente, être propriétaire de sa résidence principale plutôt que d’en être locataire permet le plus souvent de gagner en superficie. Le recul global du pouvoir d’achat immobilier des Français ne saurait, en effet, masquer les inégalités locales. Pour 1 000 € déboursés chaque mois, où vaut-il mieux acheter son logement ? Et au contraire, où est-il plus avantageux de le louer ? 



Mètres carrés : un ratio meilleur à l’achat qu’à la location
Certaines idées reçues ont décidément la peau dure… Parmi celles-ci, on retiendra la croyance selon laquelle l’un des avantages de la location par rapport à l’achat immobilier tient au fait qu’en louant, on peut espérer profiter de davantage de mètres carrés qu’en achetant. En d’autres termes, pour un même budget, il serait le plus souvent impossible d’acheter l’équivalent - en termes de superficie -  de ce qu’on loue. Aussi répandue soit-elle, cette idée reçue mérite toutefois qu’on lui torde le cou. Et pour cause, il ressort d'une étude que nous avons réalisée que dans plus de la moitié (55 %, pour être précis) des villes de France de plus de 30 000 habitants, il est plus avantageux d’acheter sa résidence principale que de se contenter de la louer. Dans plus d'un cas sur deux, on gagne, en effet, de la surface en achetant. 
En effet, dans une majorité des villes de l’hexagone et en contrepartie d’un effort financier de 1 000 € par mois, ceux-ci étant dépensés soit en mensualités de crédit, soit en loyers, vous pouvez vous offrir davantage de mètres carrés en achetant votre logement plutôt qu’en le louant. Si ce montant (1 000 €/mois) peut vous sembler disproportionné, sachez que nous l’avons choisi afin de pouvoir comparer, toutes choses étant égales par ailleurs, les marchés immobiliers de métropoles comme Paris ou Lyon à ceux de communes comme Charleville-Mézières ou Montluçon. Dans la quasi-totalité des communes étudiées, l’ascendant du pouvoir d’achat immobilier sur la capacité locative s’explique par une relative ténuité des prix de vente (pas plus de 3 012 €/m²) relevés localement.
Dans 26 % des villes de plus de 30 000 habitants dans lesquelles mieux vaut acheter que louer, le gain obtenu représente une pièce supplémentaire.
À Montluçon, acheter plutôt que louer permet de gagner 116 m²
À la lecture de l’étude que nous avons conduite, il est troublant de constater qu’en délaissant la location au profit de l’achat immobilier, on peut multiplier par 2 la superficie de son logement. Deux villes permettent aux acquéreurs de gagner autant de surface en plus. Il s’agit de Montluçon dans l’Allier et de Nevers dans la Nièvre. À Montluçon, pour 1 000 € par mois, vous devrez vous contenter de 112 m² à la location au lieu de 229 m² à l’achat ! Si ces deux villes cristallisent la supériorité - locale - de l’achat immobilier sur la location, en termes de mètres carrés gagnés, d’autres communes ne sont pas en reste, loin s’en faut ! Sur la totalité des municipalités qui font la part belle aux acquéreurs, 1 ville sur 5 permet de profiter d’une pièce supplémentaire. Concrètement, le bonus oscille entre 9 et 18 m². C’est le cas, par exemple, à Avignon (+ 9,7 m²), à Pau (+ 12 m²) ou encore à Quimper (+ 16,2 m²).
À Caen, dans le Calvados, pour 1 000 € déboursés chaque mois, la surface, qu’elle soit achetée ou qu'elle soit louée, sera la même.
Un gain de 18 m² en signant un compromis plutôt qu’un bail
À l’heure où les mètres carrés sont aussi rares que chers et où les Français ont, plus que jamais, des envies d’espace(s), ce qui s’apparente à une exception, non pas culturelle mais bien immobilière, mérite que l’on s’y attarde. Car aux avantages - déjà bien connus - de l’achat immobilier (éviter de payer des loyers à fonds perdus, se constituer un patrimoine, préparer sa retraite, etc.) s’en ajoute un autre auquel on ne s’attendait pas : avoir une plus grande superficie qu’à la location. Et cela dans plus d’une ville sur deux ! Or, si certaines communes permettent aux acquéreurs de s’offrir l'équivalent d’une pièce en plus, d’autres leur offrent même la possibilité de profiter de l’équivalent de deux pièces en plus. soit un bonus de 18 m². Un tel gain de surface vous sera ainsi octroyé en faisant l'acquisition d’un logement à Metz (+ 19,7 m²), à Limoges (+ 28,4 m²) ou encore à Évreux (+ 39,2 m²).
À Paris, l’écart en m² est mince entre l’achat et la location
Si 55 % des villes de plus de 30 000 habitants dont nous avons scruté les marchés immobiliers donnent l’avantage, en termes de surface habitable, aux acquéreurs sur les locataires, force est de constater que ces derniers reprennent la main dans 44 % d’entre elles Ce déplacement du centre de gravité de l’achat vers la location s’explique non seulement par des prix de vente élevés (notamment dans les grandes villes, en région parisienne et dans le sud de la France), mais aussi par un déséquilibre entre une forte demande et des biens trop rares, plus marqué sur le marché de la transaction que sur celui de la location. Dans ces villes où louer permet d'avoir plus grand que si l’on achète, le gain en superficie oscille entre 1 et 35 m². Enfin, il est intéressant de souligner que, si les prix parisiens dépassent ceux des autres villes de l’hexagone, le niveau (élevé !) des loyers pratiqués dans la capitale fait que le gain en mètres carrés à la location y est rogné. Jugez plutôt, il se limite à 13 m² à Paris alors qu’il culmine à 22 m² à Nantes !
"C'est parce que la réalité du marché immobilier n'est pas uniforme en France et que les problématiques rencontrées par les Français pour se loger sont très différentes d'une ville à l'autre que nous récoltons l'avis précieux de chacun des Français sur l'immobilier et le logement au travers d'une grande consultation nationale : le logement, parlons-en avec SeLogerexplique Séverine Amate, porte-parole du Groupe SeLoger. "Les résultats de cete consultation seront le terreau d'un manifeste qui sera remis au prochain gouvernement comme piste de réflexions et de solutions pour l'avenir."
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Notre méthodologie : Dans cet article, les données sur lesquelles nous nous sommes basés ont été calculées comme suit : Les prix et les loyers sont datés du 1er mars 2022. La surface pour une mensualité de crédit de 1 000€ a été calculée pour la capacité d’emprunt via un crédit immobilier. Elle représente le nombre de mètres carrés que peut s’offrir un ménage via un crédit immobilier sans apport. La capacité d’emprunt est d’une durée de 20 ans, avec un taux d’emprunt à 20 ans tel qu’il est appliqué aujourd’hui sur le marché (Banque de France). La surface pour un loyer de 1 000 € a été calculée sur la base des prix des loyers tels qu’ils sont affichés dans les annonces de SeLoger. La différence entre acheter et louer avec une mensualité de 1 000 € représente la surface d’une mensualité de 1 000 € moins la surface d’un loyer de 1 000 €.
par Gilles Roman
le Lun 07 Fév 2022, 5:21 pm
 
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Sujet: Achat immobilier : un prix moyen de 266800 € pour 23m2 à Paris ou 170 m2 à St Etienne !
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Achat immobilier : un prix moyen de 266800 € pour 23m2 à Paris ou 170 m2 à St Etienne !

Le site Seloger nous apprend que le prix moyen de vente de #logement aurait été de 266800€ durant l'année 2021 en France. Mais quelle surface peut-on acheter pour ce prix là et dans quel arrondissement de Lyon?
 
Tag logement sur LYFtvNews 61f14b5d7dc2836ae56f85c4
Le pouvoir d’achat immobilier des Français étant connecté aux revenus des ménages, mais aussi aux prix des logements, il varie (parfois considérablement !) d’une ville à l’autre. Pour 266 800 €, soit le prix moyen d’un logement en France en 2021, la surface, que l’on peut s’acheter, varie du simple au septuple (et frôle même l’octuple !).
Sommaire

  1. Pour 266 800 €, on a 7,7 fois plus de m² à Saint-Étienne qu’à Paris

  2. 49 m² à Lyon, 54 m² à Bordeaux, 62 m² à Nantes, 73 m² à Lille…

  3. Un pouvoir d’achat immobilier en recul depuis 2 ans



Pour 266 800 €, on a 7,7 fois plus de m² à Saint-Étienne qu’à #Paris
Tous les Français sont loin d’être égaux face au pouvoir d’achat immobilier. Jugez plutôt, pour l’année 2021, le Baromètre LPI-SeLoger a calculé que le prix moyen d’un logement - dans l’ancien - en France avoisinait les 266 800 €. Or, il ressort de l’analyse qu’a livrée ce même Baromètre LPI-SeLoger que le nombre de mètres carrés, que cette somme permet de s’offrir, varie en fonction de la ville où l’on envisage d’acheter. Toutes choses étant égales, par ailleurs, en déboursant 266 800 €, il est possible de devenir propriétaire d’un logement d’une superficie de 23 m² à Paris alors qu’en achetant dans la ville de Saint-Étienne, ce sont 179 m², soit environ 7,7 fois plus, que l’on peut s’offrir.
49 m² à Lyon, 54 m² à Bordeaux, 62 m² à Nantes, 73 m² à Lille…
Vous l’aurez compris, en termes de pouvoir d’achat immobilier, les chiffres qu’a recueillis le Baromètre LPI-SeLoger mettent en avant d’importantes disparités selon les villes (de plus de 100 000 habitants, NdlR). En clair, et en fonction de l’endroit où l’on entend réaliser son projet d’achat, 266 800 € - c’est-à-dire, rappelons-le, le coût moyen d’un bien immobilier dans l’ancien en 2021 - pourront être convertis en logements de superficies variables… En effet, si l’on exclut les valeurs extrêmes que sont Paris et Saint-Étienne, pour 266 800 €, en 2021, vous pouvez acquérir :

  • 49 m² à Lyon

  • 54 m² à Bordeaux

  • 57 m² à Nice

  • 62 m² à Nantes

  • 67 m² à Rennes et à Strasbourg

  • 72 m² à Toulouse

  • 73 m² à Lille

  • 77 m² à Montpellier

  • 82 m² à Marseille

  • 90 m² à Reims

  • 92 m² à Grenoble

  • 99 m² à Toulon

  • 117 m² au Havre



Le prix immobilier moyen en France est de 3 339 €/m2
Un pouvoir d’achat immobilier en recul depuis 2 ans
Un rapide coup d’oeil dans le rétro (et plus précisément sur les deux derniers Baromètres-LPI) nous apprend qu’alors que le prix moyen d’un bien immobilier - dans l’ancien - augmente (de 251 000 € en 2019, nous sommes passés à 265 500 € en 2020 puis à 266 800 € en 2021, NdlR), la surface « achetable », quant à elle, se réduit comme peau de chagrin. Quelques exemples de l’érosion qui touche le pouvoir d’achat immobilier depuis deux ans :

  • Paris :1 m² perdu depuis 2019

  • Lyon :1 m² perdu

  • Saint-Étienne : 1 m² perdu

  • Rennes : 2 m² perdus

  • Le Havre : 2 m² perdus

  • Nice : 4 m² perdus

  • Lille : 4 m² perdus

  • Toulon : 4 m² de perdus

  • Montpellier : 4 m² perdus

  • Strasbourg : 5 m² perdus

  • Nantes : 6 m² perdus

  • Reims : 11 m² perdus



En revanche, il est intéressant de noter que dans certaines villes, la surface achetable a augmenté. C’est le cas à Bordeaux (1 m² gagné en 2 ans), à Marseille (5 m² gagnés). Enfin, le pouvoir d’achat immobilier stagne à Toulouse ou encore à Grenoble.
Pouvoir d’achat immobilier : quelle surface peut-on acheter en 2021 pour 266 800 € ?

A Lyon, c’est dans le neuvième arrondissement qu’on trouvera le plus d’opportunités et les plus grandes surfaces, à la Duchère bien sûr mais aussi à Saint-Rambert. Dans le cinquième arrondissement, le secteur de Point du Jour, pas (encore) desservi par le métro, offre toujours de belles possibilités, de même que le quartier de St Irénée pour des appartements anciens à rénover. 
Dans le deuxième arrondissement, certains secteurs du quartier Perrache sont encore disponibles en dessous de ce prix médian, mais là encore pour des appartements anciens et la plupart du temps à mauvaise performance énergétique. 
Si le reste du deuxième, le quatrième (Croix Rousse)  et le sixième arrondissement sont déjà, comme le vieux Lyon et le bas des pentes hors de ce prix médian, même pour de petites surfaces, les investisseurs pourront encore trouver de belles opportunités  dans le 7ème (Guillotière et quartier des universités), et dans certains quartiers du huitième arrondissement pour des appartements des années 1960, moins anciens mais le plus souvent avec des pièces de petites tailles.

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