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- le Mer 2 Oct - 10:42
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- Sujet: Prévention spécialisée à Lyon : plus d'éducateurs et une politique redéfinie
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Prévention spécialisée à Lyon : plus d'éducateurs et une politique redéfinie
Le 30 septembre dernier, la Métropole de Lyon a adopté une nouvelle stratégie pour réformer et dynamiser son action en matière de prévention spécialisée. Cette refonte vise à mieux accompagner les jeunes et les familles, en particulier ceux vivant dans les quartiers prioritaires. L'objectif est clair : offrir un soutien plus ciblé et anticipé, notamment pour les jeunes âgés de 10 à 15 ans, afin de favoriser leur émancipation et leur insertion sociale à long terme.
#justice #jeunesse #prévention #lyon #délinquanceUne prévention spécialisée adaptée aux nouveaux défis
La prévention spécialisée est une action éducative qui intervient auprès des jeunes et des familles sans mandat nominatif. Elle repose sur une présence directe des éducateurs dans les quartiers, créant ainsi un lien de confiance avec les jeunes les plus éloignés des structures traditionnelles. Cette approche permet de prévenir la marginalisation, de favoriser l'insertion sociale et de limiter les comportements à risque.
En 2023, 110 éducateurs ont accompagné 4 531 jeunes âgés de 12 à 21 ans dans 25 communes de la Métropole.
Avec cette nouvelle réforme, l'âge des jeunes pris en charge sera abaissé à 10 ans, une mesure visant à prévenir plus efficacement le décrochage scolaire et à agir avant que les difficultés ne s'accumulent. Selon Bruno Bernard, Président de la Métropole de Lyon, "en abaissant l'âge d'intervention dès 10 ans et en renforçant notre présence dans les quartiers prioritaires, nous voulons agir tôt et efficacement" .
Les quartiers prioritaires de la politique de la ville sont au cœur de cette réforme.
Ces territoires, où vivent environ 60 000 jeunes de 10 à 25 ans, connaissent des problématiques spécifiques, notamment en matière d'insertion professionnelle et de logement. En 2023, les éducateurs spécialisés ont accompagné ces jeunes pour briser les dynamiques d'exclusion sociale et renforcer les liens. Désormais, les équipes concentreront leurs efforts sur les zones où les besoins sont les plus criants. Ce recentrage s'accompagnera d'une réorganisation des équipes éducatives et d'un partenariat accumulé avec les acteurs locaux, tels que les communes, les écoles et les associations. L'objectif est de permettre une intervention plus cohérente et coordonnée, en tenant compte des spécificités de chaque quartier.
Une diversité d'actions pour une meilleure insertion
Cette nouvelle politique de prévention spécialisée mise aussi sur la diversification des modes d'intervention. En plus de l'accompagnement scolaire, les équipes d'éducateurs se concentreront sur :
- le soutien aux relations familiales
- l'insertion sociale et professionnelle
- la prévention des conduites à risque
Le travail de rue reste central dans cette démarche, permettant aux éducateurs d'être au plus près des jeunes en difficulté. Une attention particulière sera portée aux jeunes en décrochage scolaire, dont le nombre a augmenté ces dernières années. La santé mentale et l'usage des outils numériques, qui sont devenus des enjeux majeurs pour la jeunesse, seront également pris en compte.
En 2023, des binômes éducatifs, destinés aux jeunes de 10 à 15 ans et de 16 à 25 ans, ont été expérimentés à Villeurbanne et dans le 8e arrondissement de Lyon. Ces binômes ont permis d'offrir un suivi adapté aux jeunes confrontés à des difficultés scolaires et professionnelles. Fortes de cette expérience, ces initiatives seront poursuivies et étendues à l'ensemble du territoire métropolitain.
Un pilotage renforcé
Pour garantir la réussite de cette réforme, la Métropole de Lyon a mis en place une nouvelle gouvernance pour piloter la prévention spécialisée. Une commission métropolitaine, réunissant la Métropole, les communes, l'État et les associations partenaires, sera créée pour définir les orientations stratégiques et suivre l'évolution des dispositifs mis en place.
Le budget alloué à cette politique a été revu à la hausse, atteignant 8,7 millions d'euros. Cette enveloppe se répartit entre 7 millions d'euros pour les associations habilitées et 1,7 million pour le fonctionnement des équipes métropolitaines.
En 2023, les éducateurs ont consacré 29 % de leur temps à la présence sociale dans les quartiers et 27 % à l'accompagnement socio-éducatif individuel. Avec cette refonte, ces interventions seront renforcées et réparties de manière plus cohérente sur le territoire, pour permettre aux jeunes d'accéder à des parcours adaptés et de se projeter sereinement dans l'avenir.
Un engagement pour l'avenir.
La réforme de la politique de prévention spécialisée menée par la Métropole de Lyon marque un engagement fort en faveur de la jeunesse et des quartiers les plus fragiles. En intervenant plus tôt et de manière plus ciblée, en renforçant les partenariats locaux et en diversifiant les actions menées, la Métropole ambitionne de donner à chaque jeune la possibilité de construire un avenir digne et serein. À travers cette stratégie, la Métropole de Lyon démontre son attachement à une politique sociale inclusive, où la jeunesse des quartiers populaires peut trouver les ressources nécessaires à son intégration dans la société.
- le Jeu 19 Sep - 12:33
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- Sujet: Alzheimer n'est pas une fatalité : un guide essentiel pour prévenir la maladie
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Alzheimer n'est pas une fatalité : un guide essentiel pour prévenir la maladie
Alzheimer n'est pas une fatalité est un ouvrage collectif dirigé par le Dr Olivier de Ladoucette et le Pr Bruno Dubois, avec la collaboration d'Eva Tapiero. Ce livre, qui s'annonce déjà comme une référence, vise à éclairer le grand public sur la réalité de la maladie d'Alzheimer et les moyens de prévention pour en retarder l'apparition.
En France, près d'un million de personnes sont actuellement atteintes par cette maladie neurodégénérative, dont 33 000 sont âgées de moins de 60 ans. Pourtant, cette pathologie reste mal comprise et est souvent réduite à une simple conséquence de la vieillesse ou de la génétique. Les auteurs du livre démontrent que 40 % des cas de démences, dont la maladie d'Alzheimer est la principale cause, pourraient être évités grâce à une prévention adéquate.
Les facteurs de risque modifiables sont nombreux : alimentation, sommeil, activité physique, relations sociales, stimulation intellectuelle, gestion du stress... Une hygiène de vie adaptée pourrait ainsi retarder considérablement l'apparition des symptômes les plus handicapants de la maladie. Ce livre accessible et didactique propose des conseils précis et basés sur les dernières recherches pour adopter des mesures de prévention active. En plus des actions concrètes, les auteurs évoquent également les avancées récentes en matière de traitements médicamenteux, qui pourraient dans un avenir proche, stopper ou freiner l'évolution de la maladie lorsqu'elle est détectée à un stade précoce.
Le Dr Olivier de Ladoucette, psychiatre et gériatre de renom, ainsi que le Pr Bruno Dubois, neurologue émérite, apportent dans cet ouvrage toute leur expertise et leur expérience pour sensibiliser le grand public à l'importance de la prévention.
Ce livre s'adresse à ceux qui souhaitent non seulement comprendre les enjeux de cette maladie, mais aussi agir avant qu'elle ne se manifeste.
Eva Tapiero, journaliste reconnue pour ses travaux, apporte également sa plume à ce projet en rendant les informations scientifiques accessibles à tous.
Alzheimer n'est pas une fatalité est un livre indispensable pour mieux comprendre cette maladie du siècle et découvrir des moyens concrets pour s'en protéger.
- le Ven 21 Juin - 17:49
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- Sujet: Sondage sur la santé : les jeunes entre hygiène stricte et prise de risque excessive
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Sondage sur la santé : les jeunes entre hygiène stricte et prise de risque excessive
Dans le cadre de son nouveau mandat, la Fondation April poursuit et renforce sa mission de donner à chaque Français les clés pour devenir acteur de sa santé. Cette année, elle se concentre sur une tranche d’âge stratégique : les 18-25 ans.
#jeunesse #santé #prévention #sondagesUn manque partiel d’information en matière de santé
L’étude révèle que seulement 36 % des jeunes se renseignent régulièrement sur le sujet de la santé. Cette faible proportion indique un déficit d’information sur les bons comportements à adopter, avec un manque particulièrement marqué dans les domaines de la santé mentale et de la gestion du stress. De plus, le nouveau dispositif « Mon Bilan Prévention », destiné à cette tranche d’âge, n’est connu que de 52 % des jeunes. Ce manque de connaissance et d’adhésion à des programmes de prévention révèle un besoin urgent d’éducation et de sensibilisation.
Une intégration insuffisante au système sanitaire français
L’étude met également en lumière une intégration insuffisante des jeunes au système de santé français. En effet, 16 % des 18-25 ans déclarent ne pas avoir de complémentaire santé, contre 4 % pour l’ensemble des Français. De plus, 15 % des jeunes n’ont pas de médecin traitant, comparé à 11 % pour l’ensemble de la population. Ces chiffres sont préoccupants car ils indiquent que les jeunes sont moins insérés dans le système de santé.
Par ailleurs, 40 % des jeunes interrogés ont dû renoncer à une consultation médicale l’année passée, 23 % d’entre eux par manque de moyens financiers et 23 % en raison de délais d’attente trop longs pour obtenir un rendez-vous. Cet éloignement du système de santé se traduit également par une dé-priorisation de la santé dans leurs préoccupations, qui passent après d’autres sujets tels que l’orientation scolaire et l’installation dans la vie adulte.
Une génération entre hygiène de vie stricte et prises de risques excessives
L’étude dévoile des tendances opposées au sein de cette génération. Ainsi, 64 % des jeunes estiment adopter une hygiène de vie stricte. Pourtant, 65 % déclarent aimer vivre à fond, quitte à prendre des risques. De plus, 79 % des jeunes reconnaissent au moins un comportement addictif, notamment une dépendance aux écrans et aux réseaux sociaux : 58 % d’entre eux déclarent ne pas pouvoir s’en passer dans leur vie quotidienne.
Cette génération montre une vulnérabilité accrue aux risques de sédentarité et de souffrance psychique. Plus d’un jeune sur deux pratique moins de 30 minutes d’activité physique par jour (55 %) et 39 % ont déjà pensé au suicide. Ces statistiques alarmantes soulignent la nécessité d’interventions ciblées pour améliorer la santé mentale et physique des jeunes.
Vers une meilleure prévention : les recommandations de la fondation April
Face à ces constats, la Fondation April recommande plusieurs actions pour améliorer la prévention et l’accès aux soins pour les jeunes. Tout d’abord, il est crucial d’intensifier les campagnes d’information sur les bons comportements de santé, en mettant un accent particulier sur la santé mentale et la gestion du stress. L’éducation à la santé dès le plus jeune âge, notamment via des programmes scolaires et universitaires, pourrait jouer un rôle déterminant.
Ensuite, pour faciliter l’intégration des jeunes dans le système de santé, il est essentiel de simplifier l’accès à une complémentaire santé et de promouvoir le rôle du médecin traitant. La création de consultations spécifiques pour les jeunes, à tarifs réduits ou pris en charge par des dispositifs d’aide, pourrait également être envisagée.
Enfin, pour contrer les comportements à risque, des initiatives visant à promouvoir une hygiène de vie équilibrée doivent être mises en place. Cela pourrait inclure des campagnes de sensibilisation sur les dangers des addictions, des programmes d’encouragement à l’activité physique et des services de soutien psychologique accessibles et anonymes.
- le Sam 15 Juin - 18:54
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- Sujet: Un espoir dans la lutte contre l'ambroisie : l'apparition d'un insecte tueur !
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Un espoir dans la lutte contre l'ambroisie : l'apparition d'un insecte tueur !
La campagne de lutte contre l'ambroisie en Auvergne-Rhône-Alpes est renforcée par un insecte tueur, "l'ophraella communa".
Chaque année, les journées de lutte contre les ambroisies se tiennent du 15 au 30 juin. Ces journées ont pour but de sensibiliser la population aux problèmes causés par cette plante exotique envahissante et d’encourager les actions de lutte. Durant cette période, de nombreuses manifestations sont organisées partout en France, telles que des conférences publiques, des stands d’information, et des ateliers d’arrachage pédagogique.En Auvergne-Rhône-Alpes, tous les événements sont relayés sur le site ambroisie-risque.info et les réseaux sociaux de l'Observatoire des ambroisies ainsi que sur le portail de lutte contre l’ambroisie régional.
Qu'est-ce que l'ambroisie ?
L’ambroisie à feuilles d’armoise est une plante exotique envahissante particulièrement présente en Auvergne-Rhône-Alpes. Véritable problème de santé publique, elle émet en fin d'été des pollens allergisants qui provoquent de fortes réactions chez les personnes sensibles, allant de conjonctivites et rhinites à de l'urticaire, de l'eczéma et de l'asthme. En Auvergne-Rhône-Alpes, près de 15% de la population serait allergique aux pollens d'ambroisie, avec des taux pouvant atteindre 21% dans les zones fortement infestées. Une analyse des données médico-économiques menée en 2017 par l'Observatoire Régional de la Santé a estimé le coût des prises en charge médicales à 40,6 millions d'euros par an pour la seule région Auvergne-Rhône-Alpes.
En plus de ses effets sur la santé, l'ambroisie menace de nombreux milieux, incluant les parcelles agricoles, les chantiers, les bords de route ou de cours d’eau, ainsi que les parcs et jardins, posant une réelle menace pour l’agriculture et la biodiversité.
Les acteurs de la lutte
De nombreux acteurs sont mobilisés au quotidien pour lutter contre les ambroisies :
- L'Agence régionale de santé
- FREDON AURA : Animation régionale du plan de lutte contre l’ambroisie
- Le RNSA : Gestion de la plateforme de signalement et suivi des émissions de pollens
Les référents ambroisies : Acteurs locaux en charge de la lutte à l'échelle communale ou intercommunale
Au niveau national, la coordination des actions de prévention et de lutte contre les ambroisies est assurée par l'Observatoire des ambroisies - FREDON France.
La campagne de lutte et l'apparition d'Ophraella communa
Une nouveauté majeure dans la lutte contre l'ambroisie est l'apparition d'Ophraella communa, un insecte prédateur de cette plante. Depuis 2023, des signalements de cet insecte ont été identifiés dans le Rhône et en Isère. Ophraella communa attaque les populations d’ambroisie, réduisant ainsi la production de pollen et de semences.
Pour mieux comprendre et cerner l'aire de répartition de cet insecte, une grande campagne de prospection est organisée du 15 au 31 juillet 2024. Cette campagne invite tout le monde à participer en notant la présence de l'insecte via la plateforme Signalement-Ambroisie, en indiquant si l'ambroisie a été grignotée. Pour plus de renseignements sur Ophraella communa, il est possible de consulter le site de l’Observatoire des ambroisies.
Contacts et Informations
Les journées de lutte contre les ambroisies et la campagne de prospection de l'insecte Ophraella communa représentent des efforts concertés pour combattre l'impact négatif de cette plante sur la santé publique et l’environnement. La collaboration entre les différentes structures locales, régionales et nationales ainsi que la participation active de la population sont essentielles pour réduire efficacement la propagation de l'ambroisie.
Une mobilisation nécessaire
La mobilisation contre l'ambroisie est cruciale, car cette plante continue de se propager et d’affecter négativement la santé des citoyens et l’économie régionale. Les journées de lutte contre les ambroisies et l'apparition d'Ophraella communa offrent des opportunités importantes pour sensibiliser le public et encourager des actions concrètes. Les efforts conjoints des agences de santé, des associations locales et des citoyens sont indispensables pour contenir et réduire la menace que représente l'ambroisie.
En participant aux événements et en signalant la présence d'Ophraella communa, chaque individu peut contribuer à la lutte contre cette plante envahissante et aider à protéger la santé publique et la biodiversité. Ensemble, nous pouvons faire une différence significative dans la gestion et la réduction de l'ambroisie en Auvergne-Rhône-Alpes et au-delà.
Charly Traversino, chargé de l’animation du plan de lutte contre les ambroisies, est le contact principal pour cette campagne ambroisie(at)fredon-aura.fr.
- le Mer 17 Avr - 13:02
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Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours - Sujet: Sécurité routière : un parcours éducatif pour les jeunes de Villeurbanne
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Sécurité routière : un parcours éducatif pour les jeunes de Villeurbanne
Durant les vacances de printemps, six jeunes résidant dans le quartier Monod-Baratin à Villeurbanne bénéficient d'un programme de sensibilisation et d'éducation routière axé sur les deux-roues motorisés. Ce programme vise à les conscientiser aux risques pour eux-mêmes et pour les autres usagers de la route, tout en les sensibilisant aux bonnes pratiques de conduite.
Ce dispositif s'inscrit dans le cadre du contrat local de sécurité et de prévention de la délinquance de Villeurbanne.
Depuis 2018, la ville de Villeurbanne met en place des actions spécifiques de prévention et d'éducation routière à destination des jeunes mineurs. Durant ces vacances de printemps, les six jeunes participants, âgés de 14 à 17 ans, bénéficient d'un parcours éducatif comprenant plusieurs activités sur plusieurs jours.Il s'agit d'une réponse à une série d'incidents et d'accidents liés à des comportements dangereux de conducteurs de deux-roues motorisés, tels que la conduite sans casque, la vitesse excessive ou le non-respect des règles de circulation.
Ce parcours inclut une formation aux gestes de premiers secours, des rencontres avec des professionnels tels que la juriste de la Maison de justice et du droit, ainsi qu'un conférencier-consultant abordant les dangers liés à la consommation de substances psychoactives au volant.
De plus, les jeunes passent le permis apprenti motocycliste sur une piste d'éducation routière en collaboration avec l'association Percigônes, ce qui leur permet de pratiquer la conduite de manière sécurisée.
Une visite de l'unité de soins de suite et de réadaptation est également au programme, où les jeunes échangent avec des médecins et des patients accidentés de la route, leur offrant ainsi un aperçu concret des conséquences des comportements à risque sur la route.
Tout au long du parcours, les jeunes sont accompagnés et encadrés par des éducateurs spécialisés de la Métropole de Lyon, des professionnels du Centre social de Cusset et des agents municipaux, assurant ainsi un suivi personnalisé et adapté à leurs besoins.
En offrant aux jeunes une compréhension approfondie des risques routiers et des bonnes pratiques de conduite, ce programme vise à promouvoir une culture de sécurité routière durable et à réduire les comportements dangereux sur les routes de Villeurbanne.
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