LYFtvNews




Translate

11 résultats trouvés pour sondages

par BUZZPRESS
le 25th Avril 2024, 10:55 am
 
Rechercher dans:
Maison & Jardins
Sujet: Aides énergétiques légales ou frauduleuses, 67 % des Français totalement perdus
Réponses: 0
Vues: 138

Aides énergétiques légales ou frauduleuses, 67 % des Français totalement perdus

Les Français anticipent mieux qu’en 2022 l’arrivée du froid pour réfléchir à leur système de chauffage.  En 2022, 66 % déclaraient ne pas bien connaître les différents systèmes existants, il sont 71 % en 2024 ! 
ndlr : cet article a été modéré pour non respect des C.G.U.
Pourtant, 73 % continuent de se débrouiller seuls dans le choix de leur système de chauffage Rothelec, spécialiste du chauffage électrique économique et inventeur du radiateur à inertie, présente les résultats d’un comparatif de deux enquêtes sur la façon dont les Français choisissent leur système de chauffage. L’une menée en avril 2022 et l’une menée en mars 2024 qui mettent lumière d’importants changements en seulement deux ans. 
Les types de chauffage changent 
Ces dernières années, beaucoup d’événements ont contraint les Français à faire évoluer leur opinion sur les systèmes de chauffage. Ainsi, même s’il baisse légèrement depuis 2022 et passe de 40 % à 38 % en 2024, le gaz reste la solution la plus utilisée. Même constat pour l’électrique qui passe de 36 % en 2022 à 35 % en 2024, certainement en raison de la hausse des prix. Autres faits marquants, l’utilisation des systèmes de chauffage au bois qui double pratiquement en seulement deux ans qui augmentent de 6 % à 11 % ainsi que le solaire qui passe de 5 % à 7 %. 
Les Français ont de plus en plus froid
En 2022, 68 % des Français déclaraient ne jamais avoir froid en hiver, tout en dépensant beaucoup d’énergie. Ils ne sont maintenant que 61 % dans ce cas, soit une baisse de 7 points en 2 ans. Ainsi, ils sont plus de  31 % en 2024 à avoir froid en hiver contre 21 % en 2022 : 12 % alors qu’ils dépensent beaucoup en énergie (contre 5 % en 2022), 11 % de temps en temps avec d’importantes dépenses énergétiques (contre 6 % en 2022), et 8 % sans dépenser d’énergie (4 % de temps en temps et 4 % tout le temps). Plus d’1 Français sur 2 veut changer de chauffage 
Conséquence de tous ces bouleversements : plus de 51 % des Français ont envie de changer leur système de chauffage en 2024, soit 4 points de plus qu’en 2022. Des Français qui gagnent en anticipation Il y a deux ans, très peu de Français réfléchissaient en amont à leur système de chauffage et qui plus est le faisait au moment le plus opportun. En effet, en 2022, près de 63 % des foyers interrogés déclaraient qu’ils attendaient que les températures soient déjà très basses, autrement dit à partir des mois de novembre à janvier, pour se décider à changer de système de chauffage. 
Seulement 20 % prenaient les devant et s’en occupaient au printemps ou en été. En 2024, ils sont beaucoup plus nombreux à mieux s’organiser : 22 % anticipent leur volonté de changer de chauffage pendant la période estivale. Ils sont également plus nombreux à le faire avant l’arrivée du froid : 16 % en octobre (14 % en 2022) et 24 % en novembre (23 % en 2022). « Les Français sont de moins en moins nombreux à attendre le dernier moment pour choisir leur équipement de chauffage. Ces deux dernières années ont été particulièrement compliquées et les Français ont bien compris la leçon. Nous préconisons de s’occuper à partir de mai, jusqu’à septembre. C’est la période où tous les professionnels sont disponibles et où les pénuries ne risquent pas de bloquer ce genre de projets », a déclaré Éric ANES, Président de Rothelec. 
Les prix bas au détriment de la qualité et du confort ? Plus en 2024 ! 
Quand les prix de l’énergie flambent, les Français optent pour des prix bas au niveau matériel de chauffage. Ainsi, ce critère de choix est passé de 72 % en 2022 à 86 % en 2024 et reste donc à la première place.
par BUZZPRESS
le 25th Avril 2024, 10:44 am
 
Rechercher dans:
Annonces (applications, sites internet, startups)
Sujet: 67 % des Français sont stressés financièrement
Réponses: 0
Vues: 147

67 % des Français sont stressés financièrement

Rosaly, entreprise française à impact social (certifiée B-Corp), dévoile son premier baromètre sur l’état moral financier des Français. Une étude menée auprès de 7 186 personnes qui met en avant une augmentation générale du stress financier au sein de la population et un impact encore plus fort chez les jeunes et les femmes.
Un stress qui impacte en priorité le sommeil, l’humeur et la libido des Français 
Le pouvoir d'achat devient la préoccupation principale de 68 % des Français. 67 % des Français sont stressés financièrement Les jeunes plus touchés avec 70 % de représentativité au sein de la génération Z. 87 % des femmes sont incapables de parler librement de ce stress financier contre 79 % des hommes !
Tag sondages sur LYFtvNews Arbia%20Smiti
«Si le stress financier a un impact évident sur la qualité de vie des Français, c’est également le cas sur les entreprises. En effet, déjà en 2019, le cabinet Mercer affirmait que “lorsque les salariés ne s’inquiètent pas de leurs finances, ils sont plus productifs et engagés au travail” et évaluait que le stress financier coûte en moyenne 604 000€ par an à une entreprise de 1 000 salariés. En 2018, le cabinet McKinsey & Company communiquait sur d’autres données sensibles : 49 % des salariés passent du temps au travail à gérer ou à s'inquiéter de leurs finances personnelles, ce qui peut se traduire par des pertes de productivité substantielles pour les entreprises. Un fait confirmé par 30 % des travailleurs qui indiquaient, à l’époque, que les inquiétudes concernant leurs finances les ont conduits à être moins productifs au travail. Nous voulions donc savoir si en 2024, les choses s’étaient améliorées et si le stress financier impactait moins la vie des salariés français… Malheureusement, cela semble s’aggraver encore davantage et surtout sur les jeunes générations et les femmes », a commenté Arbia SMITI, fondatrice de Rosaly. 
Un état de stress généralisé 
C’est un triste constat. En 2024, seulement 33 % des Français ne semblent subir aucune contrariété financière. Cet état anxiogène est encore plus fort chez les femmes qui sont 83 % à avouer être stressées financièrement (29 % totalement et 44 % moyennement) quand les hommes ne sont « que » 61 % (27 % totalement et 34 % moyennement). 
Au sein des différentes générations, certaines différences existent également.
Ainsi, les plus jeunes semblent plus touchés que les autres. Dans le détail, la génération Z totalise 70 % de stress, bien plus que les baby-boomers qui ne sont que 63 % dans ce cas, la génération X 68 % et la Y 65 %. 
Un stress totalement tabou
Parler de cet état d’angoisse financière reste un fardeau solitaire pour une très forte majorité. En effet, plus de 83 % des Français déclarent ne pas pouvoir l’exprimer librement. Une nouvelle fois, les femmes sont plus sensibles à ce blocage avec une représentativité de 87 %, contre 79 % chez les hommes. 
À propos de Rosaly
Rosaly est une entreprise française à impact social (certifiée BCorp), fondée fin 2019 par Arbia SMITI, serial entrepreneure Tech, qui accompagne les entreprises dans l’amélioration du bien-être financier de leurs salariés. Rosaly propose un dispositif d'émancipation financière permettant aux entreprises de renforcer leur politique sociale et ainsi de fidéliser leurs salariés. Côté salariés, Rosaly a développé une application mobile offrant aux collaborateurs un moyen d'aborder plus sereinement les fins de mois et d'éviter les conséquences du découvert bancaire et des crédits à la consommation à travers : l'acompte sur salaire automatisé et instantané, un simulateur d'aides sociales, un module d'échange avec des experts en budgétisation, un bouclier anti-découvert, etc. Côté entreprises, Rosaly impacte fortement la marque employeur des sociétés qui utilisent sa solution, favorise la rétention et l'engagement des collaborateurs et supprime des coûts administratifs importants notamment ceux liés à la gestion des demandes d'acomptes en interne. Rosaly a réalisé une première levée de fonds de 1,5 M€ en avril 2021 et une seconde levée de 10M€ en septembre 2022 auprès de grands fonds américains dont Fin Capital, The Treasury VC, FJ Labs, etc.
Plus d’informations : https://www.rosaly.com/
ndlr : cet article a été modéré pour non respect des C.G.U

par BUZZPRESS
le 25th Avril 2024, 10:20 am
 
Rechercher dans:
Santé Société

Sujet: 64 % des Français de plus de 45 ans souffrent d’une mauvaise circulation veineuse
Réponses: 0
Vues: 126

64 % des Français de plus de 45 ans souffrent d’une mauvaise circulation veineuse

C’est au Printemps et en été que les Français souffrent le plus de mauvaise circulation sanguine. Mais ces problèmes s’accentuent en fonction des régions. En effet, la région Bourgogne Franche-Comté est la première à enregistrer des soucis veineux avec 58 % de représentativité au Printemps et 76 % en été. Elle devance la région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée avec respectivement 56 % et 77 %, puis la région Provence-Alpes-Côte-D’azur avec 54 % et 74 %, et à la quatrième place l’Auvergne Rhône-Alpes avec 52 % et 71 %. En revanche, la région des Hauts-de-France est celle qui comptabilise le moins de personnes souffrantes avec seulement 31 % au printemps mais tout de même 62 % en été.
De plus en plus d’hommes 
Si plus de 18 millions de Français souffrent de problèmes de circulation sanguine, avec une sur-représentativité des femmes (3 fois plus), la proportion des hommes augmente considérablement à partir de 45 ans. En effet, passée la quarantaine, 76 % des femmes éprouvent une mauvaise circulation veineuse ainsi que plus de 52 % des hommes.
Quelles solutions ? 
Pour soulager leurs problèmes de circulation veineuse, plus de 73 % des Français mangent différemment et cherchent à avoir une alimentation plus saine et équilibrée. La deuxième solution choisie par 60 % de Français est de se masser les jambes avec un gel spécifique à ces symptômes. Leur troisième choix se porte sur la prise de compléments alimentaires, plébiscitée par près de 56 % des personnes âgées de plus de 45 ans.
Ndlr : cet article a été modéré pour non respect des C.G.U.
par LYFtv-Europe
le 19th Avril 2024, 10:19 am
 
Rechercher dans:
Europe politique et sociale

Sujet: Eurobaromètre : ces élections européennes auront une importance géopolitique
Réponses: 0
Vues: 207

Eurobaromètre : ces élections européennes auront une importance géopolitique

Plus de huit Européens sur dix (81%) estiment que la situation géopolitique actuelle rend le vote aux élections européennes important. Les chiffres sont les mêmes en France, même si pour les français, les questions de défense semblent moins importantes.
Des électeurs plus conscientisés qu'en 2019
La dernière enquête Eurobaromètre du Parlement européen avant les élections de juin révèle une prise de conscience des citoyens et une préoccupation pour le contexte géopolitique actuel. Ainsi, six citoyens sur dix (60%) s’intéressent aux élections européennes qui se dérouleront du 6 au 9 juin, soit 11 points de pourcentage de plus qu’avant le vote de mai 2019. Ils sont 47% en France. 73 % des citoyens affirment que les actions de l’UE ont une incidence sur leur vie quotidienne. Pour la France, cette proportion s’élève à 71%.
Les questions de défense et de sécurité de l’UE devraient être prioritaires dans la campagne électorale aux yeux des citoyens européens (31%). Cette statistique est moins flagrante en France (24%), où ces questions se classent en sixième position.
Pour les Français, la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (42%) et la lutte contre le changement climatique (37%) sont les thèmes qui devraient être abordés en priorité lors de la campagne électorale.
La publication préélectorale d'aujourd'hui révèle une tendance positive à la hausse des principaux indicateurs électoraux, à quelques semaines du vote des citoyens de l'UE, qui aura lieu du 6 au 9 juin.
L’intérêt pour les élections, la connaissance de la date à laquelle elles auront lieu ainsi que la probabilité de voter sont des indicateurs en hausse par rapport à l'automne 2023, date de la dernière enquête au cours de laquelle ils ont été mesurés. La hausse est encore plus nette en comparaison avec l'enquête du printemps 2019 (trois mois avant les précédentes élections européennes).
60% des Européens se disent aujourd’hui intéressés par le vote en juin (+ 3 points par rapport à l’automne 2023 et + 11 points par rapport à février/mars 2019). 71 % déclarent qu’il est probable qu’ils aillent voter, + 3 points par rapport à l’automne 2023  et + 10 points par rapport à février/mars 2019. En France, 47% des citoyens déclarent être intéressés par le vote en juin (+ 1 point par rapport à février/mars 2019).
Les résultats suggèrent que les citoyens de l’UE sont très conscients de l’importance des élections dans le contexte géopolitique actuel, huit répondants sur dix (81 %) s’accordant à dire que cela rend le vote encore plus important. Les résultats sont exactement les mêmes pour la France.
La Présidente du Parlement, Roberta Metsola, commentant les résultats de l’enquête, a déclaré : "Les Européens sont conscients de l’importance de ce qui se joue dans les urnes, et le vote est encore plus important dans le contexte géopolitique actuel. J'appelle nos concitoyens à voter lors des prochaines élections européennes, afin de renforcer la démocratie européenne et de façonner l'avenir de l'Europe".
Alors que cette législature arrive à son terme, 81 % des citoyens de l’Union ont une image positive ou neutre du Parlement européen, tandis que seulement 18 % sont négatifs. De plus, une majorité de répondants européens (56 %) souhaiterait que le Parlement joue un rôle plus important, tandis que seulement 28 % des personnes interrogées aimeraient le contraire et 10 % opteraient pour conserver son rôle actuel. En France, un citoyen sur deux souhaiterait voir le Parlement européen jouer un rôle plus important, tandis que 30% préféreraient le voir occuper un rôle moins prépondérant. 9% sont satisfaits de son rôle actuel.
La Présidente Metsola a ajouté : "Le Parlement et l'Union européenne ont obtenu des résultats sans précédent au cours des dernières années. Nous avons été confrontés à des circonstances exceptionnelles et difficiles, mais nous en sommes sortis encore plus forts et plus unis. Le Parlement a été et continuera d'être la voix des citoyens et leur défenseur au sein de l'UE".
Les citoyens européens souhaiteraient que la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale (33%) ainsi que le soutien à la santé publique (32%) soient les principaux thèmes abordés au cours de la campagne électorale. Le soutien à l’économie et la création de nouveaux emplois, ainsi que la défense et la sécurité de l’UE occupent la troisième position (31 %). L'importance que les citoyens attachent à la défense et à la sécurité de l'UE s'est accrue au cours de la législature, en particulier à la lumière de la guerre d'agression menée par la Russie contre l'Ukraine. Elle est maintenant mentionnée comme l’une des premières (ou la première) priorité de campagne électorale dans neuf pays, notamment au Danemark (56 %), en Finlande (55 %) et en Lituanie (53 %).
Les Français expriment pour leur part le souhait que la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (42%), ainsi que la lutte contre le changement climatique (37%) soient les principaux thèmes abordés lors de cette campagne électorale. Le soutien à la santé publique (36%) arrive en troisième position dans leurs préoccupations.
En ce qui concerne l’avenir, les citoyens européens placent la défense et la sécurité (37 %) comme première priorité dans le renforcement de la position de l’UE à l’échelle mondiale, les questions énergétiques, la sécurité alimentaire et l’agriculture suivent (30 % à égalité). Les Français ont également identifié la défense et la sécurité (38%) comme priorité du renforcement de la position de l’UE dans le monde ; la sécurité alimentaire et l’agriculture arrivent en deuxième position (37%). 
Alors que quatre citoyens sur dix affirment que le rôle de l’UE est devenu plus important ces dernières années, 35 % pensent qu’il est resté le même et 22 % qu’il a diminué. Pour les Français, le rôle de l’UE dans le monde est resté majoritairement le même (42%), tandis que 26% estiment qu’il est devenu plus important et 27% pensent qu’il a diminué.  
73% des citoyens (+ 3 points par rapport à l’automne 2023) affirment que les actions de l’UE ont une incidence sur leur vie quotidienne, dont 20 % pour lesquels elles ont "beaucoup" d’impact. 71% des répondants français estiment que les actions de l’UE ont un impact sur leur vie quotidienne (+ 5 points par rapport à l’automne 2023), contre 27% affirmant le contraire. En outre, une grande majorité d’Européens s’accorde à dire que leur pays profite, dans l’ensemble, de l’adhésion à l’UE (71 %). Ces résultats sont stables par rapport à l’automne 2023 et continuent de bénéficier de niveaux élevés dans l’ensemble de l’UE. La France s’inscrit dans cette tendance, avec 63% des Français estimant que leur pays a bénéficié de l’adhésion à l’UE, ce qui représente néanmoins une baisse de 7 points par rapport à l’automne 2023.
Les résultats complets sont disponibles ici.
L’Eurobaromètre du printemps 2024 du Parlement européen a été réalisé par l’agence de recherche Verian (anciennement Kantar) entre le 7 février et le 3 mars 2024 dans les 27 États membres de l’UE. L’enquête a été réalisée en face-à-face, et avec des interviews vidéo (CAVI) utilisées en Tchéquie, au Danemark, en Finlande et à Malte. Au total, 26 411 entrevues ont été menées. Les résultats européens ont été pondérés en fonction de l’importance de la population dans chaque pays.
par LYFtv-Europe
le 19th Avril 2024, 9:42 am
 
Rechercher dans:
Europe politique et sociale

Sujet: Sondage les jeunes face aux élections européennes
Réponses: 0
Vues: 299

Sondage les jeunes face aux élections européennes

Le positionnement des jeunes constituera, peut-être encore plus que pour une autre élection, un enjeu clé du scrutin européen de juin 2024. Christelle Craplet, directrice Opinion à BVA Xsight, se penche dans une note pour la Fondation Jean Jaurès* sur le rapport des jeunes de 18 à 24 ans à l’Union européenne et au vote à venir.
Tag sondages sur LYFtvNews Sondag10

Source : graphique réalisé par Christelle Craplet à partir des enquêtes réalisées par BVA Xsight d’octobre 2023 à mars 2024 dans le cadre du Baromètre politique (échantillon de 6005 personnes, représentatif de la population française âgée de plus de 18 ans).
Alors que cette tranche d'âge est souvent perçue comme désengagée, les recherches révèlent une certaine forme d'engagement, bien que différente de celle des générations précédentes. Les jeunes s'engagent davantage de manière individuelle, notamment via les réseaux sociaux et les actions de boycott, autour de causes telles que les violences sexuelles, le bien-être animal, le changement climatique et les discriminations. Cependant, en ce qui concerne la politique traditionnelle, les jeunes expriment souvent une défiance envers les partis établis. 

En 2019, lors des élections européennes, une grande partie d'entre eux se sont abstenus, principalement en raison du désintérêt pour la politique et du manque d'information sur l' Union européenne. Pour les jeunes qui ont voté, leurs préférences politiques ont été éclatées, avec un soutien non seulement pour les partis pro-européens, mais aussi pour des partis plus eurosceptiques comme le Rassemblement national. 
En 2024, les jeunes semblent toujours désintéressés par les élections européennes, et une partie importante envisage de voter pour le Rassemblement national, en dépit d'une attitude généralement positive envers l'Union européenne.
Bien que les jeunes manifestent un intérêt relatif pour l'Union européenne, leur participation aux élections reste faible, et leurs choix électoraux sont souvent influencés par des facteurs spécifiques et des critiques envers l'offre politique existante.
* Lire  ici
par LYFtv-LYon
le 2nd Avril 2024, 5:35 pm
 
Rechercher dans:
Emploi & Formation

Sujet: Emploi des seniors : le baromètre inclusion du groupe Apicil
Réponses: 0
Vues: 322

Emploi des seniors : le baromètre inclusion du groupe Apicil

La question de l'inclusion des seniors sur le marché du travail est devenue un enjeu crucial, en particulier avec l'allongement des carrières et le recul de l'âge de départ à la retraite. Dans cette optique, le Groupe APICIL, 3ème groupe français de protection sociale, a publié les résultats de la quatrième édition de son baromètre «Inclusion – Le regard des Français sur les seniors en entreprise», réalisée en partenariat avec l’institut de sondage OpinionWay.

Les résultats de cette étude mettent en lumière plusieurs points importants :
La perception de l'inclusion dans la société : 63% des Français estiment que la société française est inclusive, en progression de 7 points par rapport à 2023. Cependant, les discriminations persistent, notamment liées au handicap, à l'apparence physique, à l'origine ou à l'âge.
L'engagement des entreprises en faveur de l'inclusion : 77% des salariés estiment que leur entreprise favorise l'inclusion, mais 83% jugent les actions en faveur de l'employabilité des seniors comme insuffisantes, tout comme celles des pouvoirs publics (76%).
La valorisation des seniors en entreprise : 90% des Français considèrent les seniors comme une véritable richesse pour les organisations. La collaboration intergénérationnelle est jugée indispensable pour la transmission des savoirs, l'innovation et le développement du mentorat des jeunes.
Les discriminations à l'égard des seniors : Malgré la reconnaissance de leur valeur, l'âge demeure l'un des facteurs discriminants en entreprise. Près de la moitié des salariés ont déjà vu un candidat ne pas être recruté ou être mis au placard en raison de son âge.
La situation des salariés aidants : Les salariés considèrent que les entreprises ne prennent pas suffisamment en compte la situation des salariés aidants, avec 55% d'entre eux partageant cette opinion.
Philippe Barret, Directeur Général du Groupe APICIL, souligne l'importance pour les entreprises de continuer à accroître leurs efforts en matière d'inclusion afin de réduire les discriminations persistantes. Il insiste sur le fait que malgré les progrès réalisés, il reste encore beaucoup à faire pour soutenir les salariés seniors, dont les compétences et l'expérience sont précieuses.
Le Groupe APICIL, engagé dans la promotion de l'inclusion, met en avant l'importance de valoriser les travailleurs seniors et de prendre en compte la situation des salariés aidants. Il encourage les entreprises à suivre cet exemple et à s'investir davantage dans ces domaines pour favoriser un environnement de travail inclusif pour tous les collaborateurs, quel que soit leur âge ou leur situation personnelle.
par lyftv-sciences
le 1st Avril 2024, 4:14 pm
 
Rechercher dans:
Santé Société

Sujet: Baromètre des droits des personnes malades 2024 : les défis persistent
Réponses: 0
Vues: 215

Baromètre des droits des personnes malades 2024 : les défis persistent

France Assos Santé vient de dévoiler les résultats de son Baromètre des droits des personnes malades pour l'année 2024, révélant une satisfaction globale vis-à-vis du système de santé français mais mettant en lumière des défis persistants. Les Français demeurent largement satisfaits de leur expérience avec le système de santé, en particulier en ce qui concerne leurs relations avec les professionnels de santé, selon le baromètre. 
Cependant, près de 4 Français sur 10 expriment une expérience plutôt ou très négative concernant l'obtention de rendez-vous médicaux. Malgré cela, le médecin généraliste reste le premier point de référence pour la navigation dans le système de santé, bien que l'utilisation d'Internet pour cette fin soit en constante augmentation.
La connaissance des droits des personnes malades est majoritaire parmi les Français, avec une reconnaissance particulière des droits tels que le respect du secret médical et l'accès aux soins. Cependant, certains droits, tels que le droit de modification et d'opposition sur l'utilisation des données de santé, demeurent moins connus et nécessitent des efforts supplémentaires pour accroître leur visibilité. De plus, la notoriété des représentants des usagers du système de santé reste faible, ce qui souligne un besoin de sensibilisation et d'éducation dans ce domaine.
Une tendance préoccupante révélée par le baromètre est l'augmentation des pénuries de médicaments, touchant un nombre croissant de Français. 
De plus, un tiers des personnes confrontées à ces pénuries ne se voient pas proposer d'alternative, soulignant un défi majeur en matière d'accessibilité aux traitements médicaux.
En ce qui concerne la prise en charge de la douleur et le respect des préférences en fin de vie, le baromètre met en évidence des lacunes importantes. 
Alors que 4 Français sur 10 estiment que les volontés et préférences de leurs proches en fin de vie ont été entièrement respectées, un nombre équivalent estime que ce respect n'a été que partiel. De plus, un quart des répondants estiment que la souffrance de leur proche en fin de vie n'a pas été correctement prise en charge et soulagée.
Le sondage, réalisé du 06.02.2024 au 19.02.2024, offre un aperçu des défis persistants en matière de droits des personnes malades en France, soulignant la nécessité de poursuivre les efforts pour améliorer l'accessibilité aux soins, renforcer la sensibilisation aux droits des patients et améliorer la qualité des soins en fin de vie.
par LYFtv-Politique
le 19th Mars 2024, 3:35 pm
 
Rechercher dans:
Communication (presse, web, médias)

Sujet: Infobésité : une étude pour l'ARCOM sur les nouvelles habitudes des français
Réponses: 0
Vues: 256

Infobésité : une étude pour l'ARCOM sur les nouvelles habitudes des français

Dans un contexte marqué par une surabondance d'informations et la prolifération des fake news, une enquête menée par BVA Xsight pour l'ARCOM auprès de 3 400 Français âgés de 15 ans et plus met en lumière les tendances et les comportements des citoyens en matière d'information. Malgré la profusion d'informations, 94% des sondés affirment s'intéresser à l'actualité, et ce, de manière quotidienne pour une proportion équivalente.
Un intérêt toujours vif pour l'information
Les sujets les plus plébiscités par les fançais touchent à la santé, au mode de vie, au bien-être, à l'environnement, au climat, à l'écologie et à la culture et au divertissement. Mais di la télévision demeure le média privilégié pour s'informer, avec une audience régulière chez 80% des Français, les réseaux sociaux et les plateformes de vidéos en ligne gagnent du terrain, avec respectivement 56% et 43% d'adeptes. Cette tendance reflète une évolution vers une consommation plus digitale et personnalisée de l'information.
Les réseaux sociaux, entre opportunités et méfiance
Les réseaux sociaux offrent aux Français un accès rapide à une multitude d'informations, mais soulèvent également des préoccupations en matière de désinformation, de manipulation et de protection des données personnelles. Malgré une offre adaptée à leurs besoins, 55% des sondés craignent d'être exposés à de fausses informations, tandis que 50% redoutent le vol de leurs identités en ligne.
La confiance maintenue envers les médias traditionnels
Les médias traditionnels, notamment la télévision, la radio et la presse, conservent la confiance des Français, qui préfèrent largement la sélection éditoriale des journalistes à celle des algorithmes. Toutefois, près de la moitié des sondés expriment des doutes quant à la fiabilité des informations diffusées par les médias, pointant du doigt les pressions politiques et économiques ainsi que le sensationnalisme.
Des comportements d'évitement face à l'infobésité
Malgré leur intérêt pour l'information, 61% des Français admettent éviter parfois ou souvent les informations, signe d'une saturation et d'une surcharge informationnelle. Ce phénomène se traduit par des comportements d'évitement, tels que le changement de chaîne de télévision ou la suspension des notifications d'applications.
Vers une réflexion sur la qualité de l'information
Cette étude souligne la nécessité d'une réflexion collective sur la qualité de l'information et la manière dont elle est diffusée et consommée. Face à l'infobésité, il devient crucial de développer des compétences en matière de discernement et de sensibilisation aux enjeux liés à la désinformation et à la protection des données personnelles.
En somme, l'étude menée par BVA Xsight pour l'ARCOM offre un éclairage précieux sur les habitudes d'information des Français à l'ère de l'infobésité, mettant en lumière à la fois leur intérêt pour l'actualité, leurs préoccupations quant à sa fiabilité et leurs stratégies d'évitement face à une surabondance d'informations.
--> Arcom-presentation-etude-Les-Francais-et-information
--> Téléchargez l’étude complète sur le site de l’ARCOM !
--> Vous pourrez aussi (re)visionner sur le site de l’ARCOM le replay de la conférence de présentation de l’étude qui s’est tenu le 14 mars dernier, au siège de l’Autorité à Paris.
---
Sondage réalisé du 22.11.2023 au 20.12.2023
par LYFtv-Politique
le 18th Mars 2024, 4:55 pm
 
Rechercher dans:
Santé Société

Sujet: Alzheimer : une étude sur la prévalence et le ressenti de la maladie en France
Réponses: 0
Vues: 270

Alzheimer : une étude sur la prévalence et le ressenti de la maladie en France

Une méthodologie inédite pour évaluer la prévalence et l’impact sociétal en France de la maladie d’ Alzheimer et des maladies apparentées. BVA Xsight a mené pour la Fondation Recherche Alzheimer une enquête en ligne auprès d’un échantillon national représentatif de 10 000 personnes âgées de 30 ans et plus sur la santé de leurs parents et de leur conjoint (16 670 personnes décrites). 
Cette enquête a permis à la Fondation de mettre à jour des données de prévalence de la maladie d’Alzheimer et des maladies apparentées, de pouvoir relancer la prise de parole afin de sensibiliser l’opinion publique, et notamment les personnes âgées, sur ce thème ainsi qu’évaluer le vécu de la maladie du point de vue des aidants.

Combien de personnes touchées par les maladies neuro-évolutives comme la maladie d’Alzheimer en France ?
Le dernier chiffre sur la maladie d’Alzheimer et les maladies dites « apparentées » a été publié il y a 10 ans par Santé Publique France et évalue à 1,2 million les personnes malades de «démences» (toutes maladies confondues). En effet, un flou persiste autour de l’estimation de la prévalence de ces maladies compte-tenu des difficultés de diagnostic, de l’hétérogénéité des prises en charge et des méthodes d’estimation utilisées. A l’occasion de la Semaine du Cerveau, la Fondation Recherche Alzheimer publie une étude, réalisée en octobre 2023 par BVA Xsight, qui actualise ce chiffre et dresse un état des lieux de la maladie aujourd’hui en France.

Les nombreuses difficultés d’évaluation proviennent notamment du déficit de recensement des personnes malades, puisque peu diagnostiquées, et de leur incapacité à répondre à des enquêtes. L’idée de BVA Xsight a été d’interroger en ligne un large échantillon national représentatif de la population française âgée de 30 ans et plus selon la méthode des quotas (n= 10 000) sur leurs parents et conjoints (n= 16 670). L’étude s’appuie sur ces deux bases : les personnes interrogées d’une part, représentatives de la population française des 30 ans et +, et les personnes décrites, parents ou conjoint, au sein desquelles les personnes malades d’Alzheimer ou de maladies apparentées : 11% des Français de 30 ans et + ont un de leurs deux parents ou leur conjoint touché par une maladie neuro-évolutive.
BVA Xsight s’est appuyé sur 2 jeux de données pour les estimations de prévalence :
Les maladies neuro-évolutives diagnostiquées par le corps médical : maladie d’Alzheimer, maladie à corps de Lewy (MCL), dégénérescence lobaire fronto-temporale (DLFT), autre maladie neuro-dégénérative
Les maladies neuro-évolutives suspectées en fonction de la symptomatologie décrite (9 symptômes listés par la Fondation Recherche Alzheimer, facilement identifiables par les proches interrogés). Ont été comptabilisées comme personnes suspectées d’être touchées par ces maladies toutes celles qui avaient au moins 4 de ces symptômes.
Le cumul de ces données (maladies diagnostiquées et fortement suspectées) a permis d’évaluer la population touchée à 2% de la population française, soit près de 1,3 million de personnes directement touchées par la maladie d’Alzheimer ou les maladies apparentées.
Qui sont les personnes touchées par les maladies neuro-évolutives comme la maladie d’Alzheimer ? L’étude confirme ainsi que les femmes sont toujours deux fois plus touchées que les hommes. Les personnes malades ont 75 ans en moyenne, mais 43% ont moins de 75 ans. 74% vivent à leur domicile et seulement 24% sont en établissement spécialisé dont la majorité en EPHAD (19%).
Seulement 35% des personnes atteintes de maladies neuro-évolutives sont diagnostiquées. Ce résultat s’explique en partie par l’absence de traitement de la maladie réellement efficace et par le fait qu’un diagnostic précis n’est réservé qu’à des cas spécifiques comme les patients jeunes. Sans oublier qu’on ne meurt pas directement de ce type de maladie, il est donc difficile de déterminer le nombre précis de personnes qui décèdent suite au développement d’une maladie neuro-évolutive.

C’est une maladie très invalidante : l’évaluation de la santé physique, mentale, émotionnelle des personnes touchées par la maladie d’Alzheimer ou apparentée est de 4,6/10 (vs 7,8 en moyenne) : ainsi, un mauvais état de santé pour 83% des personnes malades, versus 20% seulement pour l’ensemble des personnes décrites.

Au-delà de la personne malade, la maladie d’Alzheimer a des effets dévastateurs sur la famille des malades pour 95% des personnes interrogées.
Quelle perception de la maladie d’Alzheimer en France ?

La maladie d’Alzheimer reste encore tabou, une maladie dont il est difficile de parler pour 58% des Français interrogés. Elle fait peur et même plus que le cancer pour 51%.
C’est une maladie qui engendre des stigmatisations : 42% des Français interrogés avouent se sentir mal à l’aise face à une personne touchée et même 53% pensent qu’il est facile de devenir maltraitant face à une personne malade.
Ces phénomènes pourraient être endigués grâce à une meilleure information de la population puisque seulement 46% des personnes interrogées se déclarent bien informées sur cette maladie (causes, symptômes, évolution…) et uniquement 8% disent être très bien informées.
Quand on compare avec d’autres maladies largement répandues en France comme les cancers, le gros point noir des maladies neuro-évolutives est le manque d’investissement dans la recherche. En effet, 69% des personnes interrogées pensent que la recherche médicale sur ce champ n’a pas suffisamment de moyens. En effet les fonds privés dédiés à la recherche sur Alzheimer en France correspondent à 10% des fonds privés dédiés au cancer. Il y a donc urgence à se mobiliser pour la recherche sur ces pathologies neuro-évolutives.
Quelle prise en charge pour la maladie d’Alzheimer & les maladies apparentées ?
Seuls 49% des Français de 30 ans et plus pensent que les personnes touchées par la maladie d’Alzheimer sont très bien prises en charge, attestant d’un déficit sur le parcours de soin. On peut déplorer le manque de médicaments efficaces, d’où l’effort à mener sur la recherche, mais, même sur les solutions non médicamenteuses, des progrès semblent à accomplir puisque seulement 51% des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer participent à des activités (physique, créative, ludique, culturelle ou ménagère…), soit avec un professionnel de santé (19%), en famille (18%) ou seul (17%).
Alors que les 3/4 des personnes touchées par la maladie d’Alzheimer ou apparentée vivent chez elles, elles ne bénéficient que de peu d’aides : 31% seulement ont le soutien d’une aide-ménagère, 27% celui d’une auxiliaire de vie ; peu recourent aux aides de l’état (la plus perçue étant l’APA par 22%).
Ainsi c’est la solidarité familiale qui est fortement sollicitée avec 73% des personnes touchées par la maladie d’Alzheimer ou apparentée aidées par une personne de la famille (51% par un enfant et 32% par le conjoint).
Comment mieux accompagner les aidants familiaux ?
La qualité de vie des aidants est fortement dégradée : l’aide à la personne touchée par la maladie d’Alzheimer ou apparentée a un impact négatif sur la santé psychique des aidants (69%), leur qualité de sommeil (50%), leur forme physique (49%), leurs sorties /loisirs (46%), leur vie familiale (42%), leur situation financière (30%), leur vie professionnelle (30% des actifs)…
Néanmoins, un seul impact majoritairement positif est à souligner : sur la relation avec la personne malade, qui se trouve magnifiée dans 45% des cas.
Si 45% des aidants se sentent soutenus par des professionnels de santé, c’est l’entourage qui reste le principal soutien pour 58% des aidants, essentiellement la famille (52%). A noter que 16% des aidants ne reçoivent d’aide de personne. Seuls 26% des aidants connaissent l’Allocation Journalière pour les Proches Aidants et 3% en bénéficient.
Ainsi, les proches des malades expriment beaucoup d’attentes pour améliorer leur quotidien : un soutien sur le maintien à domicile de la personne malade (39% des aidants), un soutien financier pour eux ou pour la personne touchée par la maladie (35%), et plus de structures d’accueil spécialisées (33%) ou de structures d’accueil de jour (23%), plus de soutien psychologique pour la personne aidée ou l’aidant (25%), une meilleure information sur les aides de l’état (25%), ainsi qu’une meilleure coordination entre tous les acteurs évoluant autour des malades (23%), enfin 20% des aidants souhaiteraient des jours de congés supplémentaires ou un aménagement de leur temps de travail.
---
Sondage réalisé du 04.10.2023 au 18.10.2023
par LYFtv-Librairie
le 9th Mars 2024, 8:41 pm
 
Rechercher dans:
Cinéma & Télévision

Sujet: Metoo, c'est pas du cinéma !
Réponses: 0
Vues: 236

Metoo, c'est pas du cinéma !

À l'occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, une enquête réalisée par l'Ifop pour la Fondation Jean Jaurès offre un éclairage sur la perception des Français quant aux affaires de violences sexistes et sexuelles impliquant des personnalités du monde du cinéma. Cette étude, effectuée du 16 au 19 février 2024 sur un échantillon représentatif de 2 056 Français de 18 ans et plus, explore divers aspects, de l'empathie envers les victimes à l'opinion sur les prises de position publiques. 

Empathie et reconnaissance du courage 
Près de 8 Français sur 10 (79%) expriment de l'empathie envers les femmes dénonçant des violences sexuelles commises par des hommes de pouvoir. De plus, 80% considèrent que la prise de parole de ces femmes est un acte courageux. Cependant, 82% estiment que les conséquences psychologiques et professionnelles pour les jeunes femmes ne sont pas suffisamment reconnues. 
Rupture entre l'opinion publique et le milieu du cinéma 
89% des Français trouvent "choquant" qu'un homme de plus de 40 ans ait des relations sexuelles avec une jeune fille mineure. 83% pensent que le milieu du cinéma devrait condamner plus fermement les violences sexistes et sexuelles, mais seulement 5% estiment que le talent de Gérard Depardieu peut excuser certains de ses comportements. 
Désaveu d'Emmanuel Macron et attente de justice 
Seuls 17% des Français sont d'accord avec l'affirmation selon laquelle "Gérard Depardieu rend fière la France". L'appui d'Emmanuel Macron à Gérard Depardieu est également désapprouvé, avec seulement 15% d'approbation. De plus, 2/3 des Français jugent insatisfaisante la prise en charge par la justice française des violences sexistes et sexuelles. 
Doute persistant et conscientisation incomplète
Bien que la parole se libère, 59% des Français estiment que "dans certains cas, il n'y a pas de certitudes que les faits de violences sexuelles aient réellement eu lieu". Seule une courte majorité (51%) pense que les productions culturelles actuelles continuent de normaliser ou de valoriser ce type de relations. 
Écart idéologique et prise de conscience inachevée 
Les sympathisants de gauche sont plus enclins à condamner fermement les violences sexistes et sexuelles et à éprouver de la sympathie envers les victimes présumées. Les jeunes femmes et les jeunes hommes de moins de 35 ans affichent un écart de perception plus significatif. 
Réflexion sur la culture du cinéma 
Les auteures de l'étude, Flora Baumlin et Chloé Tegny, soulignent la nécessité d'analyser les violences dans le cinéma en considérant le prisme du travail. Elles rappellent que l'industrie cinématographique, malgré son glamour, reste avant tout un secteur professionnel où les abus de pouvoir doivent être pris en compte. La création d'une commission d'enquête sur les violences sexuelles dans le cinéma est mise en avant, montrant l'importance d'un environnement de travail sain et inclusif.
"Étude Ifop pour ELLE et la Fondation Jean Jaurès réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 16 au 19 février 2024 auprès d'un échantillon représentatif de 2056 Français âgés de 18 ans et plus."
par Gilles Roman
le 9th Novembre 2023, 10:39 am
 
Rechercher dans:
Economie, Entreprises, Syndicats

Sujet: Achats de Noël : les français plébiscitent le black friday
Réponses: 0
Vues: 377

Achats de Noël : les français plébiscitent le black friday

Bonial (Axel Springer), entreprise de média et technologies pour le commerce, avec le concours d’OpinionWay, dans un contexte inflationniste, a souhaité à l’occasion du Black Friday dresser un état des lieux des usages et attitudes des consommateurs français dans le cadre de ce temps fort commercial (*méthodologie en fin d'article).
- Quel pourcentage de Français prévoient de réaliser des achats à cette occasion ?
- Où vont-ils réaliser leurs achats ?
- Quelles catégories de produits vont-ils privilégier ?
- Quel budget comptent-ils dépenser ?
- A partir de quel pourcentage de remise sur le prix initial trouvent-ils qu’une remise est attractive ?
- Quel pourcentage de Français réalise ses achats de Noël à cette occasion ?
La réponse à toutes ces questions au cœur de cette étude :  LES FRANÇAIS ET LE BLACK FRIDAY
EN BREF
27% de consommateurs français prévoient de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday (-1 pt vs 2022)
416 €, c’est le budget moyen que les Français comptent dépenser à l’occasion du Black Friday (+18€ vs 2022 et +116€ en deux ans)
Un véritable écart d’intentions de dépenses apparaît entre les hommes (607€ en moyenne) et les femmes (288€)
[b]75% [/b]des consommateurs français prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday profitent de cette occasion pour réaliser tout ou partie de leurs achats des Noël (-3 pts vs 2022)
[b]44%[/b] de consommateurs français ne prévoient pas de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday (= 2022)
[b]53%[/b] des consommateurs prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday ne le feront que sur internet (+10 pts vs 2022), 37% les réaliseront en point de vente physique et sur internet (-10 pts vs 2022) et 10% que et uniquement qu’en point de vente physique (+ 1pt vs 2022)
[b]59%[/b] des consommateurs prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday ont l’intention d’aller sur Amazon (+8pts vs 2022), 23% chez Fnac-Darty (-4pts vs 2022),  et 21% sur Cdiscount (= 2022)
67% des consommateurs prévoyant de réaliser des achats à l’occasion du Black Friday ont l’intention d’aller sur Amazon (+16 pts vs 2022), 27% chez Fnac-Darty (= 2022) et 25% chez Decathlon (+10 pts vs 2022)  
Budget moyen : +116€ vs Black Friday 2021

Un budget en forte hausse depuis deux ans
En baisse ce mois-ci mais persistante, l’inflation incite les acheteurs à saisir l’opportunité que représentent les soldes du Black Friday pour réaliser leurs achats. Le budget qu’ils allouent à cette opération commerciale augmente cette année : il enregistre une hausse de 5% par rapport à 2022, soit +16€, et s’établit en moyenne à 416€. On observe ainsi un bond de +40% en deux ans (+116€). Cette croissance est notamment portée en 2023 par une hausse des intentions de dépenses élevées : 27% des acheteurs prévoient à cette occasion un budget de 500€ ou plus (+4 pts vs 2022).
De fortes disparités homme-femme
Un grand écart d’intentions de dépenses apparaît entre les hommes (607€ en moyenne) et les femmes (288€). Ce différentiel s’explique notamment par la volonté plus affirmée des hommes concernant les produits high-tech – plus onéreux – tels que les ordinateurs (26% vs. 9% pour les femmes), les Smartphones (24% vs. 13%), les téléviseurs (18% vs. 8%) ou encore les tablettes (13% vs. 5%). Les hommes envisagent aussi sensiblement plus souvent l’achat d’électroménager (35% vs 23% pour les femmes).

Des consommateurs en attente de fortes remises
Si les consommateurs anticipent des budgets croissants à l’occasion du Black Friday, ils demeurent exigeants quant au seuil à partir duquel le taux de réduction est pour eux intéressant. Ce dernier avoisine les 50% en moyenne (44%, stable depuis 2022). Mais un quart des acheteurs considère cependant qu’une réduction est attractive dès 21% (24% des sondés soit +6 points vs 2022).Dans le détail, les catégories de produits pour lesquelles les potentiels acheteurs attendent les remises les plus importantes sont le prêt-à-porter (en moyenne à partir de 45% de remise, la réduction est jugée intéressante, +3 points vs 2022), les jouets (à partir de 42% de remise, +1 pt vs 2022) ou encore les articles de sport (à partir de 42%+4 pts vs 2022).

L’analyse des catégories de produits envisagés par les acheteurs pendant le Black Friday montre un éclatement en termes d’intérêt. Le prêt-à-porter – domaine dans lequel les Français attendent les remises les plus importantes – demeure en tête de liste (37%, +2 pts vs 2022). Mais d’autres types de produits suscitent aussi une envie grandissante : l’électroménager (28%) enregistre une hausse de 5 pointsles jouets (27%, +2 pts vs 2022) et les produits d’hygiène et de beauté (22%, +2 pts vs 2022) connaissent aussi une dynamique positive.

Les produits high-techs sont aussi cités, qu’il s’agisse de Smartphones (18%), d’ordinateurs (16%), d’appareils audio – casques, écouteurs, enceintes (12%), de téléviseurs (12%) ou encore de tablettes (8%).
 
Alors que les achats de produits culturels accusent une baisse de 7 points par rapport à 2022 (16%), les produits du quotidien (17%) trouvent un public de plus en plus important, avec une évolution de +4 points en un an.

Préparer les achats de Noël, faire plaisir à ses proches tout en optimisant son budget, voici une des raisons d’être du Black Friday au regard des statistiques présentées dans le graphique ci-contre.
En effet, 75% des consommateurs interrogés profitent du Black Friday pour effectuer leurs cadeaux de Noël et 18% iront même jusqu’à réaliser l’ensemble de leurs achats de Noël à l’occasion de ce temps fort commercial.

*Échantillon de 1002 personnes représentatif de la population française.

L’échantillon a été interrogé par questionnaire auto-administré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview).

Les interviews ont été réalisées du 25 au 26 octobre 2023.

L’échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères d’âge et de région de résidence.

Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante : « Sondage OpinionWay pour Bonial » et aucune reprise de l’enquête ne pourra être dissociée de cet intitulé.
A propos de Bonial : Pionnier et leader du drive-to-store en Europe, Bonial reconnecte les consommateurs avec les magasins depuis plus de 10 ans et permet aux enseignes de communiquer leurs offres dans l’univers digital. La plateforme Bonial combine un réseau d’audience qualifiée, des données de ciblage propriétaires ainsi qu’une technologie au service de la personnalisation et de la diffusion des offres de chaque magasin sur le digital. En Europe, plus de 400 grandes enseignes font confiance aux 350 collaborateurs de Bonial pour renforcer l’attractivité de leurs points de vente.

Sauter vers:

LYFtvnews - rubriques vidéos & actualités de A à Z :