LYFtvNews

7 résultats trouvés pour cancer

par Gilles Roman
le Jeu 30 Mai - 20:26
 
Rechercher dans: Santé Société
Sujet: Le saviez-vous ? L'arrêt du tabac peut être pris en charge par les assurances santé
Réponses: 0
Vues: 468

Le saviez-vous ? L'arrêt du tabac peut être pris en charge par les assurances santé

Ce vendredi 31 mai marque la Journée mondiale sans tabac, instaurée par l’OMS en 1987 pour sensibiliser aux dangers du tabac sur la santé. Peu de fumeurs le savent, mais de nombreuses solutions et traitements pour arrêter de fumer peuvent être pris en charge par l’Assurance Maladie et les mutuelles. 

Quelles solutions sont prises en charge par l’Assurance Maladie dans la lutte contre la dépendance au tabac ?
Pour arrêter de fumer, plusieurs solutions existent : patchs, substituts nicotiniques, cures, médecines douces… Cependant, ces traitements peuvent sembler coûteux. Heureusement, depuis 2016, l’Assurance Maladie et les mutuelles prennent en charge diverses aides à l’arrêt du tabac.
L’Assurance Maladie couvre 65% des traitements de substituts nicotiniques. Depuis le 1er janvier 2019, leur remboursement n’est plus plafonné annuellement, comme c’était le cas auparavant. Il est donc possible de se tourner vers son médecin traitant pour obtenir une prescription de substituts nicotiniques.
Grâce à la loi de modernisation du système de santé de 2016, non seulement les médecins, mais aussi les sages-femmes, dentistes, médecins du travail, infirmiers et kinésithérapeutes peuvent prescrire ces traitements. Le ticket modérateur peut ensuite être remboursé par la complémentaire santé en fonction des garanties incluses dans le contrat.
Et les complémentaires santé alors ?
De nombreuses mutuelles complètent l’indemnisation de la Sécurité Sociale par des forfaits couvrant les dépenses liées à l’arrêt du tabac. Certains contrats de mutuelles santé incluent la prise en charge du prix des patchs et autres substituts nicotiniques. Pour d'autres contrats, ces prestations peuvent être ajoutées en tant que garanties supplémentaires.
Il est également possible de recourir aux médecines douces, telles que l’acupuncture ou l’hypnothérapie, pour accompagner l’arrêt du tabac. Ces méthodes ne sont pas remboursées par la Sécurité Sociale, mais certaines mutuelles les prennent en charge sous forme de forfaits.
Il est donc crucial de vérifier les garanties de son contrat de mutuelle pour connaître les prises en charge incluses.
par lyftv-sciences
le Lun 13 Mai - 10:17
 
Rechercher dans: Santé Société
Sujet: Retour au travail après un cancer du sein : une étude de l'Inserm révèle l'importance de l'accompagnement
Réponses: 0
Vues: 664

Retour au travail après un cancer du sein : une étude de l'Inserm révèle l'importance de l'accompagnement

[b]Dans le parcours de traitement du cancer du sein, le retour au travail constitue une étape cruciale pour de nombreuses femmes.[/b] Cependant, les données nationales sur ce sujet étaient jusqu'à présent limitées. Les résultats d'une étude, publiés dans la revue Clinical Breast Cancer, fournissent un aperçu précieux des trajectoires individuelles et mettent en lumière l'importance de l'accompagnement dans ce processus.

Cette recherche récente a été menée par des chercheurs de l'Université Claude Bernard Lyon 1, de l'Inserm, de l'Université Gustave Eiffel et des Hospices civils de Lyon, utilisant des données de l'Assurance Maladie. Elle a permis de combler cette lacune en quantifiant le temps nécessaire pour que les femmes reprennent leur emploi après un traitement contre le cancer du sein. 
Grâce aux avancées dans le diagnostic et le traitement, un nombre croissant de femmes surmontent le cancer du sein chaque année en France. Cependant, après avoir traversé cette épreuve, beaucoup sont confrontées à la question du retour au travail, une phase souvent complexe et émotionnellement chargée.
L'étude, intitulée TRAVERSÉE (Trajectoires de soin et de retour au travail après le diagnostic d'un cancer du sein), dirigée par Alexandra Dima, chercheuse en psychologie de la santé, avait pour objectif de mieux comprendre ces parcours individuels.
L'une des conclusions clés de l'étude est que la moitié des femmes retournent au travail au cours de la première année suivant le diagnostic.

Environ 4 femmes sur 10 reprennent plutôt leur activité pendant la deuxième année, souvent à temps partiel. Cependant, environ 1 femme sur 10 connaît des périodes prolongées d'arrêt complet de travail, s'étendant jusqu'à 3 ans après le diagnostic. Ces résultats soulignent la diversité des trajectoires de retour au travail et mettent en lumière la nécessité d'une approche individualisée.
L'étude a également révélé l'importance de l'accompagnement dans ce processus.

 Les femmes dont la période de retour au travail est prolongée nécessitent une attention particulière et des interventions adaptées. Les méthodes utilisées dans cette recherche ont permis une compréhension approfondie des facteurs associés à ces trajectoires, offrant ainsi aux cliniciens la possibilité d'offrir un soutien personnalisé aux patientes.
Une caractéristique innovante de cette étude est l'intégration d'un groupe de représentantes des patientes et de professionnels de santé dans la formulation et l'interprétation des résultats. Cette approche collaborative garantit que les besoins et les expériences des patientes sont pleinement pris en compte.
Les chercheurs et les professionnels de santé impliqués dans cette étude encouragent fortement les patientes à se faire accompagner tout au long de cette étape cruciale de leur parcours professionnel. En comprenant mieux les trajectoires individuelles et en offrant un soutien adapté, il est possible de faciliter un retour au travail réussi pour les femmes traitées pour un cancer du sein.
par LYFtv-Sports
le Jeu 4 Avr - 15:43
 
Rechercher dans:
Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours
Sujet: Chambéry : courir ensemble contre le cancer du sein
Réponses: 0
Vues: 519

Chambéry : courir ensemble contre le cancer du sein

Samedi 1er juin marquera le retour tant attendu de Odysséa Chambéry au Parc du Verney. Cet événement, dédié à la lutte contre le cancer du sein, offrira une journée remplie de courses et de marche, avec pour objectif de collecter des fonds pour soutenir la recherche et l'accompagnement des patientes. 
Tag cancer sur LYFtvNews Odysse10


Courses pour tous les âges et tous les niveaux
Le programme du jour débutera avec le 2km enfants « Je cours pour Maman » à 15h, suivi du 2km course/marche Familles à 15h15. Les plus ambitieux pourront s'élancer sur la course de 8km chronométrée à 16h, tandis que ceux qui préfèrent prendre leur temps pourront participer au 4km course puis marche non chronométrée à 17h30 et 17h45.
Pour ceux qui ne pourraient pas être présents physiquement, des courses à distance connectées seront disponibles du lundi 27 mai au dimanche 9 juin via l'application mobile Odysséa. Cela permettra à chacun de participer, où qu'il soit, sur des parcours de 4km ou 8km.
Inscriptions et retraits des dossards
Les inscriptions se font en ligne sur le site internet d'Odysséa jusqu'au jeudi 30 mai. Les participants pourront également retirer leurs dossards et t-shirts aux différents points de retrait, notamment au Marché de Chambéry (Pathé Cinéma), sur le Synchro-bus itinérant, ainsi qu'au Centre-Ville de Chambéry (Maison des Associations) du 27 au 31 mai. Des inscriptions sur place seront également possibles lors de ces permanences.
Des courses au profit de la lutte contre le cancer du sein
L'édition précédente a permis de collecter 80 405€ grâce à la mobilisation de 9 300 participants, partenaires et bénévoles. Cette somme a été reversée à trois acteurs locaux engagés dans la lutte contre le cancer du sein. Depuis 2007, ce sont plus d'1 million d'euros qui ont été collectés pour soutenir les patientes de la région. Cette année, Odysséa continuera à soutenir ces trois acteurs incontournables : l'association de cancérologie du Centre Hospitalier Métropole Savoie, l'Institut du Sein de Savoie Médipôle et l'Association 4S.
L'engagement d'Odysséa
Depuis sa première course autour de la tour Eiffel en 2002, l'association Odysséa n'a cessé de croître. Elle propose désormais un circuit de 13 courses et marches à pied dans toute la France. Avec plus de 14 millions d'euros collectés et reversés localement, et la mobilisation de plus d'1,2 million de participants, Odysséa continue son combat contre le cancer du sein.
Venez nombreux au Parc du Verney !
Rendez-vous le samedi 1er juin au Parc du Verney de 10h à 19h pour une journée sous le signe de la solidarité. En plus des courses, de nombreux partenaires seront présents, des foodtrucks raviront les papilles, des animations seront organisées toute la journée et une garderie gratuite animée par l'agence Kangourou Kids sera disponible dès 3 ans de 14h à 19h. 
Ensemble, faisons de cette journée un moment de sourires, de convivialité, de partage et de solidarité.
https://odyssea.info/courses/odyssea-chambery/
par Gilles Roman
le Jeu 21 Mar - 23:09
 
Rechercher dans:
Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours
Sujet: Médicancer : la méditation en pleine conscience soutenue par la fondation Apicil
Réponses: 0
Vues: 437

Médicancer : la méditation en pleine conscience soutenue par la fondation Apicil

Le projet de recherche MEDICANCER, mené par le Centre Médical de Ceyrat en partenariat avec la Fondation APICIL et le Cancéropôle Lyon Auvergne Rhône Alpes, vise à explorer l'impact de la méditation de pleine conscience chez des patients atteints de cancer en phase palliative. Sous la direction du Dr Katell Menard, médecin douleur du Département des Soins Oncologiques de Support, cette étude novatrice s'attache à évaluer les besoins spécifiques de ces patients, l'effet de la méditation sur ces besoins, et les précautions à prendre par les instructeurs de méditation.
La méditation de pleine conscience, une pratique enseignée sous forme de programmes, a démontré des effets bénéfiques sur la santé dans une littérature abondante. Cependant, son utilisation chez les patients atteints de cancer, en particulier en phase palliative, reste peu explorée. C'est dans ce contexte que le projet MEDICANCER a vu le jour, initié par la rencontre entre le Dr Katell Menard et le Pr Dambrun, Professeur de Psychologie sociale et cognitive.
L'étude, financée par la Fondation APICIL à hauteur de 18 841€, vise à évaluer l'impact d'une pratique non médicamenteuse, la méditation de pleine conscience, sur les patients en phase palliative de leur maladie. Une première dans ce domaine de recherche ! Grâce à cette initiative, les patients hospitalisés dans les services de soins palliatifs auront l'opportunité de pratiquer la méditation avec un médecin, et leur ressenti sera étudié.
Les premiers résultats de l'étude montrent que la méditation de pleine conscience permet de relier le patient à l'expérience vécue du moment présent, sans chercher à la modifier. Cependant, cette pratique soulève des questionnements quant à sa faisabilité chez des patients confrontés à une douleur physique intense, une perte d'autonomie, ou une rupture du lien social. Malgré cela, l'évocation de la spiritualité et le sentiment d'appartenance à l'humanité laissent penser que la méditation pourrait leur être bénéfique.
Le projet MEDICANCER offre de nouvelles perspectives dans la prise en charge globale des patients atteints de cancer et permet d'élaborer un programme de méditation adapté aux besoins des patients atteints de cancer en phase palliative. Cette initiative contribue à diffuser des connaissances scientifiques sur la méditation de pleine conscience et à intégrer cette pratique dans les soins de support. 
Ce projet a reçu l'aide de la Fondation APICIL, engagée pour soulager la douleur, est Reconnue d’Utilité Publique depuis sa création en 2004. Cette reconnaissance par le Conseil d’État implique un fonctionnement non lucratif, une gestion financière désintéressée et une cause d’intérêt général. 
La Fondation APICIL agit à travers 3 axes prioritaires : financer la recherche, informer et sensibiliser, améliorer le soin et l’accompagnement des patients par les techniques complémentaires. 
La Fondation APICIL a un objectif unique : contribuer au soulagement de la douleur des patients, de leurs proches et également de celle des soignants sur l’ensemble du territoire français. À travers les projets accompagnés et les nombreux partenariats construits avec les acteurs de la société civile (associations, sociétés savantes et institutions), la Fondation APICIL s’engage pour faire reconnaitre la nécessaire prise en charge de la douleur comme une priorité de santé. À ce jour, 13 millions d’euros ont été consacrés à 900 projets et actions innovantes en France. 
Plus d’infos : www.fondation-apicil.org
par Gilles Roman
le Jeu 4 Mai - 16:16
 
Rechercher dans:
Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours
Sujet: Un groupement de coopération sanitaire dénommé «Paris contre le cancer»
Réponses: 0
Vues: 501

Un groupement de coopération sanitaire dénommé «Paris contre le cancer»

« Paris après cancer » se mobilise pour faciliter le rétablissement et prévenir les récidives. Avec la Fondation Cognacq-Jay, La Ligue contre le cancer et HumanEst.
Favoriser le rétablissement et prévenir les récidives après un cancer : le dispositif «Paris Après Cancer» permet aux patients parisiens de bénéficier d’un parcours de soins spécifique et individualisé à la fin de leur traitement contre le cancerDispositif gratuit pour le patient ! 
En 2022, le gouvernement a lancé l’initiative de développer un parcours de soins spécifique pour favoriser l’insertion sociale et prévenir les séquelles et/ou récidives suite à un cancerChaque département a sa propre structure : pour l’agglomération de Paris, La Fondation Cognacq-Jay, le Comité de Paris de la Ligue contre le cancer et l’association HumanEst (qui représente les 6 Dispositifs parisiens d’Appui à la Coordination - DAC) se sont associés pour créer le Groupement de coopération sanitaire, dénommé «Paris contre le cancer» pour porter la mise en œuvre du dispositif.
Le docteur Jean-Noël Collin, administrateur du Groupement de Coopération Sanitaire, souligne l’importance de la prévention dite secondaire dans l’accompagnement des personnes touchées par le cancer : « Améliorer la qualité de vie et la reprise d’une vie «normalisée», réduire les risques de séquelles et prévenir les rechutes : voici les principaux objectifs fixés par ce dispositif. Il y a eu, et aura encore, de nombreuses avancées en termes d’innovations thérapeutiques ou de diagnostic précoce mais, depuis quelques années maintenant, il y a eu une réelle prise de conscience sur le rôle clé du rétablissement et des facteurs qui y contribuent. C’est une notion qui s’invite de plus en plus dans la prise en charge oncologique ». Par exemple, la pratique d’une activité physique après diagnostic d’un cancer du sein diminue de 24% le risque de récidive et de 28% le risque de décès par cancer. Ce dernier est réduit de 39% après diagnostic d’un cancer colorectal.

Page 1 sur 2 1, 2  Suivant

Sauter vers:

Ce site perçoit des commissions sur les ventes de #laboutiquelyftv (cliquer ICI pour découvrir nos sélections livres, mangas, gaming, musique(s), idées cadeaux... - livraison à domicile) Partager cette page :

Translate