16 résultats trouvés pour faitsdivers
- le Mer 7 Aoû - 1:30
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- Sujet: Justice : en pleine débâcle financière la PJJ coupe des contrats au 31 juillet
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Justice : en pleine débâcle financière la PJJ coupe des contrats au 31 juillet
Communiqué des syndicats de la Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ) - Ce jeudi 31 juillet, en pleine période estivale (et trêve olympique -ndlr), la Directrice de la PJJ a décidé de convier tous les directeurs et directrices interrégionaux ou leurs représentants à une audience concernant le budget de l'institution, dans un souci de «transparence», selon ses termes.
#lyon #justice #social #politique #jeunesse #faitsdivers #syndicatsNous organisons au niveau de la région Auvergne Rhône-Alpes un :
Rassemblement devant la direction interrégionale de la PJJ
75 rue de la Villette Lyon 3ème,
jeudi 08 août de 10h à 17h30
Le ton de la Directrice est grave et celle-ci nous annonce que la DPJJ doit faire face à certains imprévus budgétaires qui touchent directement la masse salariale de l’ensemble des personnels. Selon elle, trois grands facteurs seraient venus impacter directement le budget 2024 et qui, toujours selon la Directrice, n’ont pas pu être anticipés :
- la prime de fidélisation des personnels exerçant dans le département de la Seine St Denis (93) 700 000 euros amputés par un décret d’annulation en février dernier
- La prime JOP qui devait être abondée pour être finalement prise sur le budget 2024
- A cela s’ajoute une trajectoire de recrutements plus forte que prévue.
Les crédits disponibles pour la masse salariale sont donc déjà dépassés (...).
Les conséquences vont donc être désastreuses pour les collègues dont les contrats ne seront pas renouvelés.
De 240 à 480 contrats de personnels sont ciblés en fonction des économies préalablement réalisées par le gel des contrats d’apprentissage, des détachements ou des mises à disposition entrants.
La DPJJ nous demande donc d’agir vite et de faire des efforts !!!
OUI, il va falloir donc se serrer la ceinture en faisant des économies de l’ordre de 1,6 à 1,8 millions d’euros : un vrai plan social digne du privé ! (...)
Encore une fois, les personnels sous contrat sont la variable d’ajustement de la gestion de la DPJJ.
On touche même le fond lorsque la seule solution préconisée consiste à sacrifier des contrats sur des périodes courtes allant d’un à deux mois, avec l’espoir fou de pouvoir réembaucher de nouveau dès octobre sous conditions d'une levée de la réserve financière qui serait accordée par le Contrôleur Budgétaire et Comptable Ministérielle d’éviter les blocages de recrutement en fin de gestion.
De qui se moque-t-on ?
A quel moment cette direction, en recherche d’ «attractivité», peut-elle s’imaginer que des personnels remerciés de la sorte, au milieu de la rentrée de leurs congés estivaux, vont attendre, confiants, un nouveau contrat (hypothétique) 1 à 2 mois plus tard ? (...)
En tant que représentant.es des personnels, nous avons collectivement fustigé ce manque d’anticipation de cette direction et des arguments avancés qui ne sont ni entendables ni rationnels. (...)
Avec la dissolution de l’Assemblée Nationale le 9 juin dernier, et en l’absence d’un véritable gouvernement, la DPJJ est aujourd’hui en roue libre et prend des mesures complétement disproportionnées. (...)
La casse du service public déjà engagée prend un sérieux coup d’accélérateur. Nous avons toujours dénoncé la privatisation du service public par le recours massif aux contrats en lieu et place de recrutements pérennes pour le bon fonctionnement de notre administration. Pour autant, nos collègues investis malgré la précarité inhérente à leur contrat (souvent trop courts) doivent être entendus et défendus. (...)
Vous trouverez ci-joint les différents articles déjà parus dans la presse :
- Article dans La Provence
- La PJJ se prépare à un plan social sans précédent en plein été (lamarseillaise.fr)
- Le Parisien
- le Dim 4 Aoû - 22:01
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- Sujet: Déjeuners de Laurent Wauquiez aux frais de la Région : la réaction du groupe d'opposition socialiste
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Déjeuners de Laurent Wauquiez aux frais de la Région : la réaction du groupe d'opposition socialiste
Déjeuners de Laurent Wauquiez aux frais de la Région : ça continue encore et encore ! Un rapport récent de la Cour régionale des comptes, relayé par le Dauphiné Libéré*, révèle que la Région Auvergne-Rhône-Alpes a engagé une somme de 125 000 € pour financer des déjeuners entre Laurent Wauquiez et des parlementaires de son parti à Paris.
#regionaura #wauquiez #politique #justice #faitsdiversCette dépense considérable, en totale dissonance avec les réalités économiques actuelles, est particulièrement révoltante dans un contexte où les Français sont confrontés à une hausse inédite de l’inflation. Ces pratiques inacceptables, indécentes au regard des difficultés de nombre de citoyens de notre région témoignent d’une perte totale du sens du bien commun.
Le rapport met également en lumière des dépenses supplémentaires dépassant les 200 000 € pour des sondages dont les résultats et les objectifs restent obscurs et non justifiés. Malgré plusieurs demandes d’explications concernant ces sondages, aucune réponse satisfaisante n’a été fournie jusqu’à présent.
En ajoutant ces frais astronomiques aux dîners somptueux, le total des dépenses pour ces repas et sondages atteint la somme vertigineuse de 500 000€. Cette somme est un véritable affront aux contribuables auvergnats et rhônalpins et illustre un détournement flagrant des fonds régionaux à des fins personnelles.
Le départ prochain de Laurent Wauquiez de la présidence de notre Région est une véritable bouffée d’oxygène pour les caisses publiques régionales. Nous espérons que son successeur adoptera une gestion plus transparente et responsable des fonds publics, afin que les ressources régionales bénéficient véritablement aux citoyens et au développement de notre région.
Najat Vallaud-Belkacem, Présidente du groupe Socialiste, Écologiste et Démocrate, Stéphane Gemmani, Jean-François DEBAT, Souhila BOUDALI-KHEDIM, François CHEMIN, Christophe BOUVIER, Coraline SAURAT, Yann CROMBECQUE, Jean-Baptiste BAUD
- le Ven 26 Juil - 15:05
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Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours - Sujet: Communiqué : SNCF, attaque ciblée sur le réseau TGV dans la nuit du 26 juillet
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Communiqué : SNCF, attaque ciblée sur le réseau TGV dans la nuit du 26 juillet
Le réseau TGV a fait l’objet d’une attaque ciblée, préparée et coordonnée, avec la recherche de l’impact le plus important possible sur les circulations. Les équipes de SNCF Réseau sont déjà sur place pour commencer les réparations. Les circulations TGV sur les axes Atlantique, Nord et Est sont très perturbées et un grand nombre de trains vont être retardés ou supprimés. Sauf confirmation de la circulation de leur train, les voyageurs sont invités à reporter leur voyage et à ne pas se déplacer en gare.
Patrice Vergriete, ministre délégué aux Transports condamne avec la plus grande fermeté ces actes criminels à la veille d’un grand week-end de départ en vacances et salue l’engagement des équipes de la SNCF pour rétablir au plus vite les conditions de circulation.
Le ministère des Transports est pleinement mobilisé aux côtés de la SNCF et a activé sa cellule de crise.
"Ces actes de dégradation des installations perturberont fortement les départs en vacances. Tous les acteurs sont mobilisés pour rétablir au plus vite les conditions de circulation", assure le ministre délégué aux Transports.
- le Mer 10 Avr - 15:48
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Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours - Sujet: Anthracite, la série Netflix sur le Temple Solaire tournée en région Auvergne Rhône-Alpes
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Anthracite, la série Netflix sur le Temple Solaire tournée en région Auvergne Rhône-Alpes
Inspirée par le tragique événement du suicide collectif de 16 membres de la secte de l’Ordre du temple solaire en 1995 dans le Vercors, "Anthracite" émerge comme une nouvelle série Netflix qui promet de captiver les spectateurs. Co-produite par Auvergne-Rhône-Alpes Cinéma, cette série explore les profondeurs de la psyché humaine et les mystères enfouis dans le passé.
L’intrigue de "Anthracite" se déroule trente ans après la tragédie, lorsqu’un meurtre réveille les souvenirs douloureux de cet événement, plongeant la communauté locale dans une spirale d'obscurité.
Au centre de cette histoire complexe se trouve Jaro Gatsi, un jeune homme cherchant rédemption, injustement accusé du meurtre. Son destin s'entremêle avec celui d’Ida, une jeune femme au passé énigmatique. Ensemble, ils se lancent dans une enquête troublante, réalisant que leur rencontre pourrait être bien plus que fortuite.
Cette mini-série, composée de 6 épisodes de 52 minutes chacun, a été imaginée par la scénariste Fanny Robert, originaire de La Mure près de Grenoble.
Elle s’est associée au scénariste Maxime Berthemy et au réalisateur Julius Berg, natif de Clermont-Ferrand, pour donner vie à cette histoire poignante.
Les lieux de tournage, dispersés à travers les départements de l’Isère, de la Savoie et de la Drôme, offrent un cadre authentique à l'intrigue captivante de "Anthracite". De Grenoble à Pont-en-Royans, en passant par Chamrousse et Saint-Nazaire-en-Royans, chaque lieu ajoute une dimension supplémentaire à l'histoire.
Le casting réunit une pléiade de talents, avec notamment Hatik, le célèbre rappeur, dans le rôle principal de Jaro Gatsi, et Noémie Schmidt dans celui d’Ida. Ils sont accompagnés par une distribution de haut vol comprenant Camille Lou, Nicolas Godart, Raphaël Ferret, Jean-Marc Barr, Stefano Cassetti, Kad Merad et Vincent Rottiers.
Le tournage, qui s'est déroulé de février à mai 2023, a mobilisé 90 techniciens, 60 acteurs et 1300 figurants recrutés dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, générant plus de 4,5 millions d’euros de retombées économiques. Pour Sophie Rotkopf, vice-présidente de la Région Auvergne-Rhône-Alpes déléguée à la Culture et au Patrimoine, "cette collaboration est une immense fierté pour la Région qui affirme son soutien à la création audiovisuelle française et au rayonnement de nos territoires, puisque la série sera disponible dans 190 pays dès le 10 avril".
Une réalisation dynamique, moderne et un rythme à couper le souffle : "Anthracite" mèle le mystère, le suspense et la profondeur psychologique et marquera sans doute le début d'autres collaborations entre les plateformes comme Netflix et Auvergne Rhône-Alpes cinéma.
Au centre de cette histoire complexe se trouve Jaro Gatsi, un jeune homme cherchant rédemption, injustement accusé du meurtre. Son destin s'entremêle avec celui d’Ida, une jeune femme au passé énigmatique. Ensemble, ils se lancent dans une enquête troublante, réalisant que leur rencontre pourrait être bien plus que fortuite.
Cette mini-série, composée de 6 épisodes de 52 minutes chacun, a été imaginée par la scénariste Fanny Robert, originaire de La Mure près de Grenoble.
Elle s’est associée au scénariste Maxime Berthemy et au réalisateur Julius Berg, natif de Clermont-Ferrand, pour donner vie à cette histoire poignante.
Les lieux de tournage, dispersés à travers les départements de l’Isère, de la Savoie et de la Drôme, offrent un cadre authentique à l'intrigue captivante de "Anthracite". De Grenoble à Pont-en-Royans, en passant par Chamrousse et Saint-Nazaire-en-Royans, chaque lieu ajoute une dimension supplémentaire à l'histoire.
Le casting réunit une pléiade de talents, avec notamment Hatik, le célèbre rappeur, dans le rôle principal de Jaro Gatsi, et Noémie Schmidt dans celui d’Ida. Ils sont accompagnés par une distribution de haut vol comprenant Camille Lou, Nicolas Godart, Raphaël Ferret, Jean-Marc Barr, Stefano Cassetti, Kad Merad et Vincent Rottiers.
Le tournage, qui s'est déroulé de février à mai 2023, a mobilisé 90 techniciens, 60 acteurs et 1300 figurants recrutés dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, générant plus de 4,5 millions d’euros de retombées économiques. Pour Sophie Rotkopf, vice-présidente de la Région Auvergne-Rhône-Alpes déléguée à la Culture et au Patrimoine, "cette collaboration est une immense fierté pour la Région qui affirme son soutien à la création audiovisuelle française et au rayonnement de nos territoires, puisque la série sera disponible dans 190 pays dès le 10 avril".
Une réalisation dynamique, moderne et un rythme à couper le souffle : "Anthracite" mèle le mystère, le suspense et la profondeur psychologique et marquera sans doute le début d'autres collaborations entre les plateformes comme Netflix et Auvergne Rhône-Alpes cinéma.
- le Mar 19 Mar - 16:42
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- Sujet: Cyberharcèlement : prison ferme pour la meute qui s'en est pris à Magali Berdah
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Cyberharcèlement : prison ferme pour la meute qui s'en est pris à Magali Berdah
Le tribunal correctionnel de Paris a rendu un jugement historique ce mardi 19 mars 2024 en condamnant les 28 prévenus accusés de cyberharcèlement à l'encontre de la lyonnaise Magali Berdah, fondatrice de l'agence d'influenceurs Shauna Events. Cette affaire, qui a duré plusieurs mois et s'est conclue par une série de procès entre novembre 2023 et janvier 2024, aboutit à des peines de prison ferme et à des dommages et intérêts significatifs.
Une campagne de cyberharcèlement initiée par le rappeur Booba ?
Bien que Booba soit également mis en cause dans cette affaire, il fait l'objet d'une procédure distincte pour un procès qui devrait avoir lieu fin 2024. Il n'est donc pas concerné par ce jugement. Cependant, le tribunal a mentionné le rôle du rappeur dans ses publications, affirmant que les prévenus étaient parfaitement conscients des conséquences de leurs actes, inspirés par les déclarations de Booba.
Les prévenus, âgés de 20 à 49 ans, ont été reconnus coupables de cyberharcèlement aggravé, de menaces de mort et de menaces de crime envers Magali Berdah. Parmi eux, 14 ont été condamnés à des peines de prison ferme, allant jusqu'à un an. Un individu, auteur de propos à caractère antisémite, a écopé de 18 mois de prison, dont 12 fermes. Cette sévérité des peines est sans précédent dans une affaire de cyberharcèlement, soulignent les avocats de Magali Berdah.
En plus des peines de prison, les prévenus ont également été condamnés à des peines complémentaires, telles que des obligations de stage de citoyenneté et la privation des droits d'éligibilité pendant deux ans. De plus, ils ont l'interdiction formelle d'entrer en contact avec Magali Berdah, même sur les réseaux sociaux, pour une durée de deux ans. Enfin, ils devront lui verser solidairement 54 000 euros de dommages et intérêts.
Magali Berdah, en réaction à ce jugement, a souligné l'importance de cette décision, affirmant que cela enverrait un message fort aux auteurs de cyberharcèlement quant aux conséquences réelles de leurs actes sur la vie des gens. Elle a décrit les prévenus comme une meute, soulignant l'impact psychologique et émotionnel du harcèlement subi.
Ce jugement marque un tournant dans la lutte contre le cyberharcèlement en France, en montrant que de telles actions ne restent pas impunies et que les auteurs de cyberharcèlement peuvent être tenus responsables de leurs actes...
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