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par LYFtv-Politique
le Sam 30 Mar - 20:18
 
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Politique Actualités France

Sujet: Israël : lettre ouverte à E. Macron pour un embargo sur les ventes d'armes
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Israël : lettre ouverte à E. Macron pour un embargo sur les ventes d'armes

Un collectif lié aux écologistes publie aujourd'hui  dans le journal Le Monde une tribune qui appelle Emmanuel Macron à agir pour stopper les crimes commis à Gaza par le gouvernement israélien.
Monsieur le président, ne rendez pas la France complice des crimes commis par le gouvernement d’Israël.
Depuis le 7 octobre 2023, le débat sémantique fait rage dans l’espace politique. Dans un premier temps, il était nécessaire de qualifier les actes du Hamas sur le territoire israélien. Nous, écologistes, n’avons pas hésité : il s’agissait d’actes terroristes d’une barbarie rare. Tout comme nous n’avons cessé de demander la libération des otages détenus par le Hamas. Nous avons aussi appelé dès le mois d’octobre à ne surtout pas faire l’amalgame entre les juifs en général et en particulier les Français de confession juive et les actions du gouvernement israélien.
Depuis les représailles d'Israël nous n’avons pas hésité non plus à qualifier les faits : des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité sont en cours à Gaza. 
Aujourd’hui, la question posée est celle de la qualification de génocide.
Ce débat est particulièrement difficile sachant ce qu’ont vécu les juifs d’Europe pendant la Shoah et à quel point cela a marqué l’histoire de l’humanité et en particulier de l’Etat d’Israël, créé au lendemain de cette effroyable destruction. Nous refusons les surenchères de certains comme nous n’acceptons pas les œillères d’autres. Selon nous, ce qui doit guider notre analyse est simple : courage politique, lucidité et respect du droit international. 
Le 14 janvier, la Cour Internationale de Justice a relevé un “risque réel et imminent de génocide à Gaza”. En s’apprêtant à lancer son offensive sur Rafah, dernier refuge pour plus d’un million de Palestienniennes et Palestiniens deplacé·es dans une zone de 60 kilomètres carrés, le gouvernement Israëlien de Benyamin Nétanyahou semble toujours plus proche de ce que les juges de La Haye pourraient un jour qualifier de génocide. 
Rappelons que, selon la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1948, ce crime est défini par des « actes commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux », notamment en « tuant des membres du groupe » et en « soumettant délibérément le groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ». Selon le droit international, un génocide se définit donc par la matérialité des crimes et par l’intention de ceux qui les commettent. 
La matérialité des crimes israéliens est indiscutable après cinq mois de guerre. Plus de 30,000 Palestiniennes et Palestiniens ont été tué·es, dont 25 000 femmes et enfants. Plus de 50 % des habitations de Gaza ont été détruites ou endommagées. Plus de 1,7 million de Palestinien·es ont été déplacé·es de force. L’armée israélienne a attaqué - délibérément - des journalistes, du personnel médical, des écoles, des lieux de culte, des hôpitaux, des infrastructures énergétiques. Le blocus et la limitation extrême de l'assistance ont créé une situation de catastrophe humanitaire d’une ampleur inédite qui pourrait entraîner à très court terme des dizaines de milliers morts de maladie et de faim. 70 % des ménages consomment de l’eau salée ou contaminée. Plus de la moitié de la population gazaouie est en situation d’urgence alimentaire, et plus du quart en situation “catastrophique” selon les organisations internationales (IPC).
Concernant les “intentions” du gouvernement d’Israël, elles sont plus difficiles à qualifier au regard du droit qui définit le crime de génocide. On se souvient cependant des propos du ministre de la défense, Yoav Gallant, le 9 octobre, qui affirmait “nous combattons des animaux humains et nous agissons en conséquence”. Quant à Benyamin Netanyahou, il a bien exprimé le souhait de “réduire la population de Gaza au niveau le plus bas possible” en décembre 2023. Ces expressions publiques suffisent-elles à caractériser l’intention génocidaire qui implique un plan organisé visant à détruire tout ou une partie de la population palestinienne ? La Cour Internationale de Justice devra enquêter et trancher cette question. 
Quant à nous, les Écologistes, nous constatons que les faits sont tels que nous les qualifions de génocide en cours et souhaitons alerter l’ensemble de la communauté internationale de la nécessité de réagir à la gravité des faits. 
Dans ce contexte, constatant notamment que le gouvernement israélien ne répond pas aux injonctions de la CIJ, la France est dans l’obligation d’agir. La convention de l’ONU oblige ses États signataires, dont la France.
Les nations occidentales cherchent-elles vraiment à empêcher le génocide en cours “par tous les moyens” comme l’exige le droit international ? Nous ne le pensons pas. 
Si la majorité présidentielle a certes abandonné sa ligne initiale du “soutien inconditionnel” à Israël, la voix de la France est aujourd’hui peu audible et peu crédible. Lorsque Emmanuel Macron dit son opposition à une intervention sur Rafah le 24 mars dernier, c’est même de façon moins claire et vocale que Joe Biden, pourtant plus grand allié d’Israël et qui a fait de l’offensive terrestre à Rafah une “ligne rouge”.
Olaf Scholz, particulièrement rétif à toute critique vis-à-vis d’Israël, a fini par exprimer des “inquiétudes” pour les victimes civiles le 17 mars dernier lors de sa visite à Jérusalem. 
Tout cela pour quel résultat ? Aucun. Agir pour stopper un potentiel génocide implique un changement radical et urgent de méthode et de discours. A la veille de l’offensive sur Rafah dont les conséquences pourraient être apocalyptiques, les nations occidentales se doivent de réagir avec force et courage.  
Aussi, nous réitérons nos demandes à Emmanuel Macron : 
Monsieur le Président, ne rendez pas la France complice des crimes commis par le gouvernement d'Israël. Décrétez immédiatement un embargo sur les ventes d’armes et l’ensemble des matériels et composants militaires que la France fournit encore à Israël. Rappelez l’Ambassadeur de France, adoptez des sanctions économiques et agissez auprès de vos partenaires européens pour que l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël soit suspendu. Exigez l’entrée des enquêteurs de la Cour Pénale Internationale dans Gaza afin de documenter et préserver les preuves des crimes qui y sont commis. Osez reconnaître, enfin, l’Etat palestinien de manière unilatérale, comme l’Assemblée nationale et le Sénat l’ont d’ailleurs voté. 139 pays l’ont déjà fait ! 
La France et l’Union européenne disposent de leviers concrets pour exercer une forte pression sur le gouvernement Netanyahou afin d’obtenir un cessez-le-feu durable et l’ouverture de négociations de paix. Afin de faire cesser sans délai l’horreur indicible de ce génocide en cours à Gaza.

Premiers signataires :
Cyrielle Chatelain, députée de l’Isère, présidente du groupe écologiste à l’Assemblée nationale ; Guillaume Gontard, sénateur de l’Isère, président du groupe écologiste au Sénat ; Yannick Jadot, sénateur de Paris ; Raymonde Poncet, sénatrice du Rhône ; Mounir Satouri, député européen ; Sabrina Sebaihi, députée des Hauts-de-Seine, secrétaire de l'Assemblée nationale ; Marine Tondelier, secrétaire nationale Les Ecologistes ; Marie Toussaint, députée européenne, tête de liste Les Ecologistes - EELV aux élections européennes 2024 ; Mélanie Vogel, sénatrice représentant les Français établis hors de France, présidente du Parti vert européen.
par Gilles Roman
le Dim 15 Oct - 8:00
 
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Monde - Actualité des organisations internationales

Sujet: Pétition Avaaz : mettre fin à ces violences atroces contre les enfants !
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Pétition Avaaz : mettre fin à ces violences atroces contre les enfants !

Les rues de Palestine et d’Israël sont baignées de sang, de larmes et de cris déchirants. À #Gaza, des centaines de milliers d’enfants ont eu 24 heures pour fuir leurs maisons ou risquer la mort.
Chères amies, chers amis,
Ce qui se passe me touche personnellement. J’ai vu des amis à Gaza en état de choc chercher leurs proches au milieu des décombres, en extirper de petits corps sans vie. Les cris des familles en Israël traumatisées par les horreurs perpétrées par le Hamas me bouleversent tout autant.
Et la situation est sur le point d’empirer. Israël vient d’annoncer que des centaines de milliers d’enfants à Gaza n’ont que 24 heures pour fuir de chez eux… ou risquer la mort.
Ce qu'il faut pour mettre fin à ces violences atroces contre les enfants, c'est un accord où le Hamas libère les enfants et les familles qu’il tient en otage, parallèlement à la libération par Israël des enfants palestiniens prisonniers, et à l’arrêt de ses assauts militaires contre les écoles et les zones peuplées d’enfants.
C’est là que notre mouvement peut servir à arrêter l'engrenage des violences. Lançons un cri d’alarme planétaire sans précédent, et demandons aux dirigeants des États-Unis, du Qatar, de la Turquie et de l’Allemagne d’utiliser leur influence clé sur Israël et le Hamas pour sauver les enfants des deux côtés
Certains chefs d'États essaient de négocier, et nos sources nous disent que l’opinion publique les aidera à convaincre Israël et le Hamas avant qu’il ne soit trop tard.
C'est l'appel le plus important qu'un mouvement comme le nôtre puisse lancer aujourd'hui pour sauver des innocents piégés au cœur de la guerre.
Notre mouvement doit se faire entendre plus fort que les sirènes de la guerre.
La vérité est qu’il faut du courage pour prendre position sur cette question. Les politiques d’apartheid violentes menées depuis des dizaines d’années par les gouvernements israéliens et les attaques inhumaines du Hamas sont les responsables de ce carnage. Mais la communauté internationales s'est rendue complice en restant silencieuse devant les crimes de guerre commis depuis des dizaines d'années sur les enfants palestiniens.
En Palestine comme en Israël, les familles veulent la sécurité pour leurs enfants. Avaaz, cela veut dire "voix". Nous avons toujours pensé que le silence peut être un allié mortel de l’oppression. Nos voix comptent aujourd'hui plus que jamais. Soutenons cet appel à protéger les enfants sans attendre: signons! Nous le ferons résonner dans les plus grandes capitales, et nous le transmettrons directement aux dirigeants qui ont le pouvoir de négocier cet accord.
Notre mouvement a le pouvoir et l’ampleur nécessaires pour changer les choses et lutter afin de sauver la vie de ces enfants. Nous avons déjà l'attention des acteurs clés qui négocient entre les deux parties. Mais pour qu’ils agissent, il faut qu’un tsunami de voix internationales vienne rendre cette demande plus assourdissante que les bombes qui tombent sur Gaza.
Avec espoir et courage,
Fadi, avec Christoph, Alice, John, 
Mo, Émilie et toute l’équipe d’Avaaz


Pour en savoir plus:
Qu’est-ce que la bande de Gaza ? Comprendre en trois minutes (Le Monde, vidéo)

Guerre Israël-Hamas : 8 films, documentaires et BD sur le conflit israélo-palestinien pour mieux l’appréhender (Huffington Post)

Conflit israélo-palestinien : qu'est-ce que le Hamas et comment comprendre la guerre en Israël ? (BBC News Afrique)

Spécial Israël-Palestine : combien de guerres ? - Le dessous des cartes (ARTE, vidéo)    

Israël-Palestine : les enfants paient le prix de la guerre (UNICEF) 

Gaza est « au bord de l’effondrement », selon l’ONU (ONU)
par Gilles Roman
le Mar 23 Mai - 11:43
 
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Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours
Sujet: Culture : ce que la Palestine apporte au monde !
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Culture : ce que la Palestine apporte au monde !

Cet événement d’envergure est une première à l’initiative de #Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe. Il met en valeur l’ampleur et l’originalité de la créativité artistique et culturelle palestinienne.
Tag palestine sur LYFtvNews Ce_que10
LES PALESTINIENS ET LES PALESTINIENNES EN LEURS MUSÉES 
Niveaux -1 et -2 de l’Institut
Commissariat : Elias Sanbar, Marion Slitine, Eric Delpont
Depuis 2016, l’#IMA abrite en ses murs la collection du futur Musée national d’art moderne et contemporain de la #Palestine qui devrait voir le jour à Jérusalem Est. Elias Sanbar, écrivain et ancien ambassadeur de la Palestine auprès de l’ #UNESCO, est à l’origine de ce projet de musée coordonné par l’artiste Ernest Pignon Ernest.
De l’art informel à l’hyperréalisme, l’ensemble est composé de 400 œuvres issues de dons d’artistes des cinq continents à qui il a été demandé de choisir ce qu’ils souhaitent donner à voir aux Palestiniens. Cette « collection solidaire » réunit des questionnements communs aux artistes et à leur futur public : que veut dire être humain, dans son corps et son identité, et que signifie vivre, pour soi et avec ou parmi les autres ?
L’exposition « Les Palestiniens et les Palestiniennes en leurs musées » mettra en lumière les correspondances entre une sélection d'œuvres issues des collections du futur Musée d’art moderne et contemporain de la Palestine et des collections du Musée de l’IMA. 
Les rencontres, les échos et les parallèles parfois inattendus qui en émanent invitent par le regard à imaginer la Palestine de demain.
Au sein de cet accrochage, le projet Sahab (« nuage » en arabe) interroge quant à lui la façon de traiter le passé, d’agir dans le présent et d’imaginer un futur en Palestine. Ce projet est porté par le collectif Hawaf (« marges » en arabe), initié par les trois artistes visuels Mohamed Abusal à Gaza, Mohamed Bourouissa à Paris et Salman Nawati en Suède, ainsi que l’architecte Sondos EL-Nakhala à Gaza.
Un espace sera dédié à Mahmoud Darwich, figure majeure de la poésie palestinienne dont l’œuvre a influencé de nombreux créateurs du monde arabe. Ces textes seront mis en regard avec les œuvres de l’artiste algérien Rachid Koraïchi.  


IMAGES DE PALESTINE : UNE TERRE SAINTE ? UNE TERRE HABITÉE !
Espace des Donateurs
Commissariat : Elias Sanbar, Marion Slitine
L’espace des Donateurs accueillera un fonds inédit de photographies colorisées du XIXe siècle provenant d'une collection privée. Les images seront exposées face aux œuvres de photographes palestiniens contemporaines, opposant deux regards, deux approches et conceptions de La Palestine.
Le premier ensemble réunit une trentaine de photographies - paysages, scènes de genre et portraits - tirées selon le procédé Photochrom, breveté en 1889 par le Suisse Orelle Füssli. Le regard orientaliste qu'il illustre aura de lourdes conséquences, des décennies durant, faisant de la Palestine une Terre sainte, figée dans le temps, prisonnière d’un passé jamais révolu, promise à une quête infinie d’une gloire ancienne, en attente de ses sauveteurs « légitimes », missionnaires et colons, pour revenir à la vie.
Le second ensemble, actuel, manifeste l’énergie tout simplement vitale d’artistes palestiniens, hommes et femmes. À Gaza, en Cisjordanie, à Jérusalem ou sur les territoires occupés, ils et elles se réapproprient l'espace public par le corps qui l’habite tout autant qu’il le performe, faisant acte de résistance à la colonisation. En contrepoint des images idéalisées du XIXe siècle, la sélection rassemble des photographes nés entre les années 1960 et 1990 qui vivent et travaillent sur place ou dans la diaspora : Shady Al Assar, Mohamed Abusal, Taysir Batniji, Rehaf Al Batniji, Raed Bawayeh, Tanya Habjouqa, Rula Halawani, Maen Hammad, Safaa Khatib, Eman Mohamed, Amer Nasser, Steve Sabella, Raeda Saadeh, dont les œuvres ont toutes été exécutées dans les années 2000.
LES VALISES DE JEAN GENET
Belvédère de l’IMA, 5ème étage
Commissariat : Albert Dichy, Elias Sanbar, Eric Delpont
Réalisée en partenariat avec l’IMEC (Institut des mémoires de l'édition contemporaine) de Caen, cette exposition dévoile le contenu des deux « valises » précieusement conservées par Jean Genet tout au long de sa vie et remises, quinze jours avant sa mort, à son avocat Roland Dumas.
Elles renferment de multiples lettres, factures d’hôtel, notes diverses, sur la prison, l’écriture, l’homosexualité ou le cinéma, et surtout les traces vives d’un compagnonnage de seize années avec les Black Panthers et les Palestiniens. Un mois après la disparition de Jean Genet parait Un captif amoureux, le plus grand livre écrit par un auteur occidental sur les Palestiniens en lutte. C’est ce cheminement secret qu’éclaire cette exposition à travers des manuscrits jusqu’alors inconnus.
Outre les valises, sont également présentés le manuscrit et le tapuscrit des textes de Jean Genet qui commentent en toute liberté les photographies que Bruno Barbey (agence Magnum) a prises, « avec l’œil d’un témoin objectif », en Palestine entre 1969 et février 1971. Ils ont été publiés dans le magazine de l’image Zoom, en août 1971. Ces textes annoncent certains passages d’Un captif amoureux.
Une partie de ces documents a fait l’objet d’une exposition à l’IMEC de Caen interrompue dans le cadre de la crise sanitaire après quelques jours d’ouverture. Le public découvrira donc en quasi-exclusivité le contenu historique de ces valises.
***
UN ARABORAMA DÉDIÉ À LA PALESTINE
Nulle part ailleurs se mêlent à ce point l’histoire, les religions, l’imaginaire et la politique. Chaque pierre recèle son secret.
Tag palestine sur LYFtvNews Ce_que11

Christophe Ayad, Introduction
Un regard complet sur la Palestine, qui sans occulter les tragédies dans son histoire, met en valeur sa vitalité et sa source d’inspiration pour le monde. Ce que la Palestine apporte au monde n’est pas une monographie de la Palestine. C’est une étude et un hommage à ce qu’elle représente, au-delà de ses frontières. La Palestine a un statut à part, car elle rayonne sur le monde : elle est symbole de résistance pour les peuples opprimés, elle est source d’inspiration pour les artistes de toutes disciplines. Elle est désormais un horizon politique et culturel.
Si la Palestine embrase les territoires, les médias et les réseaux sociaux – et tout dernièrement en mai 2021 –, il nous a paru d’autant plus nécessaire de donner à voir, et à comprendre les réalités de ce pays, de ce peuple : son histoire, sa géographie et sa diaspora, les forces politiques en présence, les figures palestiniennes éminentes, pour dissiper les zones d’ombres et mieux appréhender une situation complexe. En somme, sortir la Palestine du prisme du conflit et la décortiquer telle qu’elle est, et telle qu’elle inspire le monde arabe.
Articles, témoignage, entretiens, bandes dessinées et illustrations ; au féminin comme au masculin, historiens et historiennes, philosophes, écrivain(e)s, journalistes, militant(e)s, artistes et créatrices et créateurs, bâtisseurs et bâtisseuses du monde arabe livrent leurs analyses et lectures de la Palestine.
Avec les contributions de Christophe Ayad, Bertrand Badie, Farah Burqawi, Jean-Paul Chagnollaud, Leyla Dakhli, Jean[1]Pierre Filiu, Sabyl Ghoussoub, Jadd Hilal, Bernard Hourcade, Karim Kattan, Abdellatif Laâbi, Henry Laurens, Elias Sanbar, Shlomo Sand, Larissa Sansour, Leïla Shahid, Dominique Vidal…
L’Institut du monde arabe et le Seuil ont lancé en 2020 la collection ARABORAMA pour décrypter les mondes arabes et mieux les saisir dans leur complexité, leur inventivité et leur pluralité.

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