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- le Mar 4 Juin - 20:04
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- Sujet: Baromètre immobilier de Meilleurs agents : un marché en voie de résilience ?
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Baromètre immobilier de Meilleurs agents : un marché en voie de résilience ?
À l’image de la météo, le baromètre mensuel des prix immobiliers n'affiche pas encore un ciel complètement dégagé, mais il y a des signes encourageants. Les prix se stabilisent et les biens se vendent plus vite. Paris, en particulier, retrouve quelques couleurs après deux ans de chute vertigineuse des prix. Faisons le point sur la situation.
Stabilisation des prix partout en FranceCe panorama montre une certaine résilience du marché immobilier français, avec des signes de stabilisation qui pourraient indiquer un renouveau progressif, bien que la prudence reste de mise.
Les dernières tendances du baromètre immobilier printanier de Meilleurs Agents montrent une légère reprise du marché. En mai, les prix immobiliers en France ont augmenté de 0,2% en moyenne, une première depuis avril 2023.
Dans les dix plus grandes villes de France, hors Paris, la hausse est identique.
Sept villes sur dix ont vu leurs prix augmenter, Bordeaux en tête avec une hausse de 0,5%.
Cette progression est notable, surtout pour Bordeaux, qui avait connu une chute des prix de 10% depuis le début de la hausse des taux d’intérêt en janvier 2022.
Nantes, Lyon et Montpellier ne suivent pas cette tendance, avec une baisse marquée à Montpellier (-0,7%), la plus significative depuis le début de la hausse des taux de crédit.
Les zones rurales se démarquent particulièrement avec une augmentation des prix au mètre carré de 0,9% en un mois. Cette tendance montre un regain d'intérêt pour les régions moins densément peuplées.
Paris : un répit bienvenu
Pour la première fois en deux ans, les prix immobiliers parisiens n’ont pas baissé en mai, affichant une variation mensuelle nulle. Cette stabilisation intervient après une chute de presque 12% des prix depuis janvier 2022. À l'époque, le prix moyen au mètre carré à Paris dépassait les 10 200 €, alors qu'il se situe maintenant autour de 9 190 €/m².
Cette accalmie est en grande partie due aux grandes surfaces dont les prix ont augmenté de 0,7% en mai, tandis que les petites surfaces ont vu leurs prix baisser de 0,6%. En Île-de-France, les prix suivent également une tendance à la stabilisation avec une légère baisse dans la petite couronne (-0,1%) et la grande couronne (-0,3%) depuis le début du printemps.
Ventes plus rapides dans les grandes villes
Malgré la hausse des taux de crédit qui a incité les acheteurs à négocier davantage, le rapport de force entre vendeurs et acheteurs semble se rééquilibrer. En cinq mois, le nombre de logements négociés a peu évolué. À Paris, près de 80% des biens vendus sont toujours négociés, et dans les zones rurales, ce taux atteint 70%.
La marge de négociation varie selon les régions.
À Paris, elle ne dépasse pas 4,4%, contre près de 5% en janvier. Dans les dix plus grandes villes, elle avoisine les 6,5%, une légère hausse par rapport à décembre dernier.
Les délais de vente ont également diminué dans la plupart des grandes villes. À Paris, les biens se vendent en moyenne quatre jours plus vite qu’il y a trois mois. Toulouse, Bordeaux et Lyon ont vu leurs délais de vente réduire de 8, 7 et 6 jours respectivement. Rennes est la seule exception avec une augmentation des délais de vente de six jours.
En résumé :
- Les prix immobiliers se stabilisent en France avec une hausse de 0,2% en un mois.
Bordeaux sort de la zone rouge avec une augmentation de 0,5% en mai après une chute de 10% depuis janvier 2022.
- Paris affiche une variation nulle en mai, une première depuis deux ans, après une baisse de 12% depuis début 2022.
- Le rapport de force entre vendeurs et acheteurs s'équilibre, réduisant la marge de négociation.
- Les délais de vente moyens baissent dans dix grandes villes sur onze, Rennes étant l'exception.
- le Lun 13 Mai - 9:57
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- Sujet: Immobilier : une étude sur les attentes des français
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Immobilier : une étude sur les attentes des français
L'étude exclusive réalisée par Guy Hoquet l'Immobilier en partenariat avec YouGov révèle les aspirations et les tendances du marché immobilier français en 2024. Malgré les défis rencontrés l'année précédente, notamment avec la hausse des taux de crédit immobilier, une forte intention d'achat se dégage parmi les Français de plus de 30 ans, avec 55% ayant l'intention d'acheter un appartement ou une maison d'ici la fin de l'année. Parmi eux, 72% privilégient l'achat d'une maison individuelle.
La recherche met en lumière une préoccupation prioritaire pour le prix du bien, avec 66% des Français considérant ce critère comme le plus important, suivi par la qualité de vie (extérieur, calme, superficie, nombre de chambres, luminosité). Malgré cela, 73% envisagent de contracter un crédit immobilier, tout en veillant à maîtriser leur budget, avec 74% ne souhaitant pas dépasser une mensualité de 1000€.
L'étude souligne également que la préoccupation principale des acheteurs est de se constituer un patrimoine (34%) et de réaliser leur premier achat (27%), avant même l'envie d'acheter un bien "mieux".
Les résultats indiquent que les futurs acquéreurs sont principalement âgés de 30 à 44 ans, habitant dans des villes de plus de 20 000 habitants et cherchant à accéder à la propriété, ce qui laisse entrevoir une année 2024 plus favorable aux primo-accédants que l'année précédente.
Enfin, l'étude met en perspective les caractéristiques recherchées dans un bien immobilier, où le prix reste en tête suivi de près par la qualité de vie, tandis que les performances énergétiques occupent une place moins centrale dans les critères de choix.
Cette analyse, basée sur une enquête en ligne menée par YouGov auprès de 1004 répondants âgés de 30 ans et plus ayant un projet immobilier passé ou futur, offre un éclairage précieux sur les attentes et les comportements des Français sur le marché immobilier en 2024.- le Dim 7 Avr - 22:00
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Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours - Sujet: Capital sur M6 : comment faire face à la crise immobilière ?
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Capital sur M6 : comment faire face à la crise immobilière ?
Dans un contexte où l'immobilier subit des bouleversements majeurs, entre des taux de crédit en hausse vertigineuse et une offre de logements de plus en plus restreinte, l'acquisition d'une propriété peut sembler un défi insurmontable pour de nombreux ménages. Toutefois, au milieu de cette crise, des opportunités se dessinent pour les acheteurs avertis. Naviguer dans la crise immobilière : stratégies pour l'achat intelligent !
Acheter ou louer : une question de contexte
Dans les grandes villes comme Lyon par exemple, suivant la taille de l'appartement, il peut être plus judicieux de louer
La première étape dans le processus d'acquisition immobilière est de déterminer si l'achat ou la location est le meilleur choix pour vous. Alors que les taux de crédit ont quadruplé en deux ans, rendant l'accès à la propriété plus difficile pour de nombreux foyers, la pénurie de logements dans les zones urbaines rend également la location de plus en plus compétitive.
Que vous envisagiez d'acheter ou de louer, les décisions à prendre sont cruciales et méritent une analyse approfondie.
Pour prendre la bonne décision, il est essentiel d'évaluer vos capacités financières ainsi que vos objectifs à long terme. De plus, le contexte géographique joue un rôle crucial. Dans certaines régions où le marché de la location est plus flexible et les prix de l'immobilier moins élevés, la location peut être une option plus attrayante, tandis que dans d'autres, l'achat peut offrir une stabilité à long terme.
Immobilier neuf : négocier au milieu de la crise
La crise actuelle a également un impact significatif sur le marché de l'immobilier neuf. Avec des ventes en chute libre depuis un an, les promoteurs sont de plus en plus disposés à négocier. C'est le moment idéal pour les acheteurs potentiels de tirer parti de cette situation en recherchant des offres spéciales, des remises sur les prix ou des avantages supplémentaires tels que des équipements améliorés ou des frais de notaire réduits. Toutefois, il est essentiel de rester vigilant et de ne pas compromettre la qualité de la propriété pour des économies à court terme.
Décrocher un crédit : optimiser ses chances
Dans un environnement où les taux d'intérêt sont à la hausse, décrocher un crédit immobilier peut sembler un défi de taille. Cependant, il existe des stratégies pour optimiser ses chances d'obtenir un prêt avantageux. Tout d'abord, il est essentiel de préparer minutieusement sa demande en rassemblant tous les documents nécessaires et en améliorant sa solvabilité autant que possible. Ensuite, faire jouer la concurrence entre les différentes institutions financières peut permettre d'obtenir des conditions plus favorables. Enfin, envisager des options telles que l'apport personnel ou le recours à un courtier peuvent également être des moyens efficaces pour obtenir un meilleur accord.
En conclusion, bien que la crise immobilière présente des défis significatifs, elle offre également des opportunités pour les acheteurs astucieux.
En évaluant soigneusement ses options, en négociant intelligemment et en se préparant adéquatement, il est possible de réaliser son rêve de propriété même dans un marché volatil.
- le Mer 20 Mar - 15:07
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Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours - Sujet: Rénovation énergétique : Hosman intègre l'application Beelly dans ses annonces
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Rénovation énergétique : Hosman intègre l'application Beelly dans ses annonces
L'innovation digitale au service de l'éco-rénovation des passoires énergétiques. Dans une démarche visant à rendre la transaction immobilière plus fluide et transparente, l'agence immobilière Hosman franchit une étape en intégrant un partenariat avec Beelly, une start-up spécialisée dans l'estimation du potentiel de rénovation énergétique. Hosman s'engage ainsi à offrir à ses clients une meilleure visibilité sur les coûts et les avantages liés à la rénovation énergétique des passoires énergétiques.
Une demande croissante
Les ventes de passoires énergétiques ont considérablement augmenté, représentant désormais 27% des ventes chez Hosman en février 2024, contre seulement 10% en octobre 2023. Face à cette tendance, Hosman a sondé ses clients pour comprendre leurs attentes : 58% des répondants ont indiqué s'intéresser au Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) pour des raisons économiques, tandis que 42% le considèrent pour des raisons écologiques.
Plus de transparence grâce à l'innovation
Pour répondre à ces attentes, Hosman a décidé d'intégrer l'outil innovant développé par Beelly. Cette solution permet aux acheteurs d'obtenir une estimation en temps réel des coûts et des bénéfices d'une rénovation énergétique, ainsi que des subventions disponibles. En projetant la performance énergétique du bien après travaux, cet outil offre une visibilité claire sur les avantages potentiels de la rénovation.
Grâce à cette intégration, les annonces Hosman fournissent désormais aux acheteurs toutes les informations nécessaires pour évaluer le potentiel de rénovation énergétique d'un bien dès leur première visualisation.
Beelly, un allié pour la rénovation énergétique
Beelly utilise une technologie avancée pour estimer le potentiel de rénovation énergétique de chaque bien immobilier en vente. En se basant sur les données brutes du DPE, Beelly lance des scénarios de rénovation pour estimer les coûts, détailler les aides disponibles et évaluer l'impact environnemental.
En fournissant des analyses détaillées et chiffrées, Beelly permet aux acheteurs de Hosman de prendre des décisions éclairées et de définir leur budget en toute confiance. De plus, les partenaires artisans de Beelly et Hosman sont prêts à intervenir pour garantir une transition fluide vers un habitat plus durable.
Des critères écologiques de plus en plus pris en compte
Outre les considérations économiques, de plus en plus d'acheteurs prennent en compte des critères écologiques dans leur décision d'achat immobilier. L'efficacité énergétique, l'isolation, les matériaux utilisés et d'autres aspects liés à la durabilité deviennent des facteurs clés dans le processus d'achat.
Une avancée majeure pour les clients
Stanislas de Dinechin, CEO et co-fondateur de Hosman, souligne l'importance de ce partenariat : « Notre collaboration avec Beelly est une avancée majeure pour les clients de Hosman, qui peuvent désormais se projeter dans leur achat avec une compréhension claire des travaux à envisager et une vision de leur impact sur l'environnement. »
De son côté, Manuel Letort, CEO de Beelly, se félicite de cette collaboration et met en avant les bénéfices environnementaux potentiels : « Cette collaboration avec Hosman va permettre d'éviter des centaines de tonnes de CO2 par an. »
- le Mar 13 Fév - 22:54
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Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours - Sujet: Modification du DPE petites surfaces : le simulateur de l'ADEME en ligne
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Modification du DPE petites surfaces : le simulateur de l'ADEME en ligne
Le gouvernement annonce une évolution des diagnostics de performance énergétique avec des nouveaux seuils pour DPE petites surfaces. Pour ceux qui ont réalisé un DPE récemment, un simulateur est en ligne. Il donnera lieu à une attestation en juillet 2024. Il n'y a donc pas lieu de refaire le diagnostic.
Les professionnels de l'immobilier ont fait valoir que ces logements sont statistiquement pénalisés pour des motifs objectifs et documentés liés au calcul des indicateurs par unité de surface. A ce titre, un arrêté modifiant les seuils des étiquettes DPE pour les logements d’une surface de moins de 40m² est en cours de consultation. Il entrera en vigueur à partir du 1er juillet 2024.
Si votre logement présente une surface inférieure à 40m², son étiquette DPE est susceptible d’être impactée par cet arrêté :
L’arrêté en consultation ne modifie pas la méthode de calcul du DPE, il n’est donc pas nécessaire de réaliser un nouveau diagnostic ; Vous pouvez simuler ci-dessous, à partir du numéro de votre DPE actuel, l’étiquette de votre logement sur la base de la modification proposée au sein du projet d’arrêté.
Au 1er juillet 2024, cette page vous permettra de générer une attestation permettant de justifier de la modification de l’étiquette DPE de votre logement. Cette attestation pourra être annexée au dossier de location ou de vente de votre logement afin de justifier de la performance de votre logement.
Pour plus d’information, consultez la FAQ sur le site de l'ADEME.
Quels logements seront interdits à la location à partir de 2025 ?
À compter de 2025, le niveau de performance énergétique minimal sera régulièrement rehaussé pour qu’un logement puisse être qualifié de décent et ainsi être loué sans risque. Sont concernés :
- la location vide ou meublée à usage de résidence principale du locataire ;
- le bail mobilité ;
- le bail « logement de fonction » ; il s'agit du logement loué en raison de l'exercice d'une fonction ou de l'occupation d'un emploi ;
Tous les logements classés G interdits à la location dès 2025Si votre logement présente une surface inférieure à 40m², son étiquette DPE est susceptible d’être impactée par cet arrêté :
L’arrêté en consultation ne modifie pas la méthode de calcul du DPE, il n’est donc pas nécessaire de réaliser un nouveau diagnostic ; Vous pouvez simuler ci-dessous, à partir du numéro de votre DPE actuel, l’étiquette de votre logement sur la base de la modification proposée au sein du projet d’arrêté.
Au 1er juillet 2024, cette page vous permettra de générer une attestation permettant de justifier de la modification de l’étiquette DPE de votre logement. Cette attestation pourra être annexée au dossier de location ou de vente de votre logement afin de justifier de la performance de votre logement.
Pour plus d’information, consultez la FAQ sur le site de l'ADEME.
Quels logements seront interdits à la location à partir de 2025 ?
À compter de 2025, le niveau de performance énergétique minimal sera régulièrement rehaussé pour qu’un logement puisse être qualifié de décent et ainsi être loué sans risque. Sont concernés :
- la location vide ou meublée à usage de résidence principale du locataire ;
- le bail mobilité ;
- le bail « logement de fonction » ; il s'agit du logement loué en raison de l'exercice d'une fonction ou de l'occupation d'un emploi ;
[left]- la location consentie à un travailleur saisonnier.
À partir du 1er janvier 2025, tous les logements classés G (environ 600 000 logements en France) seront interdits à la location car leur performance énergétique sera devenue insuffisante. À cette date, pour être mis en location, il faudra donc que le logement soit au moins classé F.
À partir du 1er janvier 2028, en plus des logements classés G, tous les logements classés F (environ 1 200 000 logements) seront interdits à la location. À cette date, pour être mis en location, il faudra donc que le logement soit au moins classé E. Si le calendrier prévu par la loi Climat est respecté, c'est donc l'ensemble des « passoires énergétiques » qui aura été éradiqué en 2028, soit environ 17 % du parc de logement actuel. L'objectif est pour le moins ambitieux !
À compter du 1er janvier 2034, en plus des logements classés F et G, tous les logements classés E (environ 2 600 000 logements) seront interdits à la location. A cette date, le niveau de performance d’un logement décent sera donc compris entre la classe A et la classe D.
Ces échéances découlent des lois «énergie-climat» de 2019 et «climat et résilience» de 2021. Le maintien, l'accélération ou le report de tout ou partie de ces échéances dépendra des orientations prises par le Gouvernement, du niveau des aides aux travaux qui existeront à l'avenir et de la disponibilité d'une main-d’œuvre suffisante pour réaliser les travaux de rénovation énergétique.
La durée de validité du DPE après la réforme de 2024
Il n'est à ce jour pas question de modifier la durée de validité du DPE qui restera donc certainement de dix ans. Enfin, jusqu'à une prochaine réforme...
En revanche, les DPE antérieurs à la réforme (date prévisionnelle au 1er juillet 2024) devront être corrigés, gratuitement via le simulateur de l'Ademe, soit pour avoir un meilleur classement, soit pour rassurer acheteurs et locataires, soit enfin pour savoir à quoi s'en tenir quant à ses propres obligations de travaux.
Qu'il s'agisse de la vente ou de la location d'un logement, le diagnostic de performance énergétique joue en 2024 un rôle important sur le marché immobilier. Le DPE est à prendre en compte pour fixer le prix de vente mais si le DPE est un des éléments de la fixation du prix, son résultat n'interdit jamais de vendre.
Le diagnostic de performance énergétique a d'ores et déjà une influence sur le prix de vente d'un logement. En effet l'importance de la « valeur verte » d'un logement est grandissante du fait d'une part de la prise de conscience de l'impératif de la rénovation énergétique et d'autre part de son coût et de sa complexité. Le résultat du DPE est donc logiquement et légitimement pris en compte par le candidat acquéreur pour fixer son prix et formuler son offre d'achat. Ainsi, un appartement classé A ou B se vend en moyenne 20 % plus cher par rapport au prix d'un logement moyennement classé alors que la décote d'un appartement énergivore est de 11 %. Une maison dont le DPE est A ou B a un prix en moyenne de 15 % supérieur tandis que la décote d'une maison très mal isolée atteint 21 %.
Le DPE classe les logements par niveau de performance décroissant, en fonction de leur niveau de performance énergétique et de leur performance en matière d’émissions de gaz à effet de serre. Ce niveau de performance est exprimé en kilowattheures d’énergie primaire par mètre carré et par an, s’agissant de la consommation énergétique, et en kilogramme de dioxyde de carbone par mètre carré et par an, s’agissant des émissions de gaz à effet de serre induites.
Comment fonctionne le simulateur de l'Ademe ?
C'est facile, si vous avez un DPE en cours de validité réalisé par une entreprise assermentée, il suffit d'inscrire son code de validation pour savoir si votre DPE a changé.
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